Epuiser

Cela faisait maintenant trois jours que Silue chercher. Trois jours perdus inutilement. Sur une semaine entière... Elle n'avait rien manger et rien but. Elle errer donc dans les rue, valsant de murs en murs, tribuchant et chancelante au moindre coup de vent. Elle avait tout visiter, et son instinc lui disait que c'était cette maison. Il vallait mieu pour elle, car elle ne pourrait pas aller plus loin de toute facon. Elle était a bout de force.

Elle gravit difficilement les marche de l'entrer puis elle s'ecroulat sur la porte. Reprenant son souffle extremement difficilement, c'est poumon n'ayant plus asser de force pour ce soulever, elle restat donc là pendant quelque minutes.

Puis, dans un trés gros effort, elle levat son bras vers la sonnerie. Elle appuyat puis elle ci dans un leger clique. Elle s'appuyat sur le mur et reprit son souffle. Sa aller deja mieu.

"Ding Dong..."

Elle attendit donc, reprenant son souffle petit a petit.

Algol lisait. Il avait du mal à y croire, mais effectivement il lisait. Catelyn était arrivée un peu plus tôt dans l'après-midi avec deux ouvrages, un pour elle et un autre qu'elle lui avait lancé à travers les barreaux de la cage. Pour qu'il la laissât tranquille, soi-disant. Mais elle lui avait dit cela avec un sourire en coin qui poussait l'ancien sous-chef à douter de son cynisme. Elle pouvait faire preuve de gentillesse à son égard, et c'est pourquoi il lui arrivait aussi de retenir ses propres sarcasmes. Après tout, il leur fallait bien cohabiter. Algol avait ramassé le livre et s'était assis sur le matelas qui faisait l'angle de la cage pour en déchiffrer le titre. Germinal, Emila Zola. Eh bien, elle pouvait être certaine qu'il la laisserait tranquille pendant quelques jours avec un pavé pareil...

Il lisait depuis moins d'une demi-heure lorsqu'une odeur peu commune vint titiller ses narines sensibles. Intrigué, il leva la tête vers la fenêtre entrouverte et inspira de plus belle tout en tendant l'oreille (presque littéralement). Doucement, il adressa la parole à la jeune femme qui lisait dans un fauteuil tout proche:

"Il y a une créature blessée à la porte..."

Deux secondes plus tard, on sonnait. Algol referma son livre en fronçant les sourcils: ce n'était pas dans les habitudes des hybrides affaiblis de venir frapper à la porte de la chef des Arnaiths... Et pourtant il ne pouvait se méprendre, il sentait distinctement l'odeur du sang - un peu vieilli, peut-être deux ou trois jours, mais du sang tout de même. Il se leva tandis que Catelyn se dirigeait vers l'entrée, en la suivant du regard. Il ne savait pas trop s'il avait envie de la voir refermer la porte du petit salon ou pas: d'un côté il était curieux de découvrir ce visiteur inattendu, mais de l'autre il redoutait d'avoir à faire face à un ancien de la Thianra alors qu'il était en cage...

Catelyn lisait tranquillement dans son coin, ses longs cheveux noirs dénoués et étalés autour d'elle en une flaque sombre. Elle portait un jean et un T-shirt ample, qui ne parvenait pourtant pas à dissimuler la finesse de sa silhouette. Algol lisait lui aussi et la journée aurait pu s'éterniser ainsi au rythme lancinant du balancier de l'horloge lorsqu'on sonna à la porte.

Le jeune femme sursauta, surprise. Elle avait rarement de la visite... ce fut alors qu'Algol lui annonça qu'il y avait une créature blessée à la porte. Elle lui jeta un regard étrange.

- "Tu en es certain?"

Elle reporta son attention sur la porte avant de demander à nouveau :

- "Mais que diable viendrait faire une créature chez moi? Je suis le chef des Arnaiths, pas un refuge!"

De mauvaise grâce, elle se leva et alla chercher un pistolet. Cela pouvait fort bien être un piège... c'était tellement invraissemblable qu'une créature blessée frappe à sa porte à elle! Elle jeta un coup d'oeil à Algol. Que faire? Fermer la porte ou le laisser voir au cas où? Elle opta pour la deuxième solution et se dirigea vers la porte. Elle ouvrit violemment la porte et pointa la créature de son pistolet.

- "Que veux-tu?"

Soudain, elle écarquilla les yeux de surprise. Cette créature... Elle la connaissait!

- "Silue?"

Malgré sa surprise, elle ne relâcha pas sa concentration.

Alors que c'est pensée était perdu dans les étoiles, que difficilement elle reprenait son souffle et qu'elle reflechissait si un Catelyn la reconnaiterait, la porte souvrit.

Elle faillit perdre l'equilibre lorsque la porte souvrit. Elle était tellement epuisser qu'elle ne supporter pas le moindre chocs.

Elle esseyat veinement de se decoller du mur au quel elle était appuyer pour fair face a Catelyn mais elle renocat bien vite. Elle se tournat en sort pour que Silue la cadre bien.

Elle eu un sourire vraiment serieux lors de l'exclamation de CAtelyn. Ainsi, elle ne l'avait pas oublier? Alors, dans un murmuure, elle commencat son recit.

"Aprés l'attaque des Arnaiths a cette reunion, l'homme du quel tu m'avais epargner la nuit de notre rencontre est devenus mon maitre..."

Elle eu un rictus de meprise en disant cette dernière phrase.

"... Il ma demander comment je pouvait etre encore en vie alors qu'il m'avait laisser a tes bon soins. Je lui alors dit que tu m'avait epargner et... Je pense que j'ai brisé son ideal...."

Elle soupirat puis elle plantat son regards dans celui de la jeune Arnaith.

"Il veut que je te tue Catelyn. Mais j'ai une dette envers toi..."

Elle avait un regards insitant et desamparer. Silue était totalement perdus car elle avait peu de temps et elle avait peur de se collier autour de son cou...

Catelyn resta interdite devant ce que Silue lui racontait.

- "Tu es devenue la créature de Cornelulus?"

Elle fit une petite grimace sans équivoque quand à ce qu'elle pouvait penser de la condition de Silue.

*Pas de chance... Elle n'est pas tombée sur le plus doux...*

C'était le moins qu'on pouvait dire.

Quand la créature lui raconta qu'elle avait avoué à l'adolescent que Catelyn l'avait laissée en vie, celle-ci soupira. Il fallait bien se douter que cela arrive un jour...

Mais quand Silue lui avoua pourquoi elle était là, elle fut tout simplement stupéfaite. Avant d'entrer dans une colère noire. Soudain, elle explosa :

- "Quoi? ce morveus a l'audace de juger mes actes et de les condamner? Mais pour qui se prend-il? Etre psychopathe ne fait pas de lui un meilleur Arnaith que les autres! Comment ose-t-il m'envoyer ses assassins? Le lâche! Même pas fichu de se charger de la besogne lui-même! Il va me le payer... Il va voir de quoi le chef des Arnaiths est capable!"

La jeune femme fulminait de rage. Elle jeta un regard meurtrier à Silue... et se calma. Malgré elle, elle eut pitié de la créature.

- "Pourquoi ne veux-tu pas t'acquitter de ta tâche? Tu as une dette certes... Mais que va-t-il arriver quand il apprendra que tu as échoué?"

Elle plissa les yeux.

- "A moins que tu ne veuilles me faire croire cela pour mieux me frapper en traître après?"

Un sourire mauvais se dessina sur ses lèvres fines.

- "Je pourrais te tuer maintenant non? Ainsi, moi je serais vivante et toi, tu n'aurais plus à subir le courroux de ton maître..."

Son arme était toujours braqué sur la créature.

- "Qu'en penses-tu Silue?"

Son sourire disparut, pour laisser place à une expression neutre. Les yeux ambres de la jeune femme ne reflétaient aucune malveillance ou folie. Au contraire, ils étaient doux et compatissants.

Silue était entraine de respirer lorsque Catelyn sortit sa tirade.

- "Quoi? ce morveus a l'audace de juger mes actes et de les condamner? Mais pour qui se prend-il? Etre psychopathe ne fait pas de lui un meilleur Arnaith que les autres! Comment ose-t-il m'envoyer ses assassins? Le lâche! Même pas fichu de se charger de la besogne lui-même! Il va me le payer... Il va voir de quoi le chef des Arnaiths est capable!"

D'un sens, Silue appreciait Catelyn. C'était une femme de courage et surement l'une des meilleurs Arnaiths qu'il pouvait exister. Alors qu'elle était entrain de reflechir a cette hypothèse lorsque l 'attaquepsycologique de catelyn la prit de cour.

- "Pourquoi ne veux-tu pas t'acquitter de ta tâche? Tu as une dette certes... Mais que va-t-il arriver quand il apprendra que tu as échoué? A moins que tu ne veuilles me faire croire cela pour mieux me frapper en traître après?J e pourrais te tuer maintenant non? Ainsi, moi je serais vivante et toi, tu n'aurais plus à subir le courroux de ton maître... Qu'en penses-tu Silue?"

Certe, la proposition était tentante. La mort serait une liberation mais c'est un chemin trop facile pour qu'une fille au caractère aussi tremper que Silue ne puisse l'accepter.

Alors Silue se mit a parler d'une voix forte, les yeux brillants d'une nouvelle lueur. C'était comme si la phrase de Catelyn venait de reveiller en elle une energie nouvelle a depensée a la qu'elle elle ni manquerait pas a depenser d'ailleurs.

Comment? Tu doutes de la parole d'une Creature? Je comprend tes reticences a me croire, mais sache que si j'ai une dette envers toi, je la respecterait jusqu'au bout, même si je doit mourire pour cela.

Puis, parlant d'une voix plus posé et fatiguer, mais toujours aussi peu hesitante, elle lui dit.

Et pour le collier, j'aurait pense que, etant chef des Arnaiths, tu aurait put faire quelque chose...

Mais, face a ca propre mediocrité, elle eu un sourire.

Catelyn eut un rictus quand Silue lui reprocha de douter de sa parole.

- "Ah la paroles des créatures... j'ai appris à m'en méfier justement. Vois-tu quand on se fait trahir par son meilleur ami, on a quelques difficultés à refaire à nouveau confiance..."

Elle jaugea Silue, avant de baisser son arme et de s'effaçer.

- "Rentre."

Elle n'avait pas prémédité cette invitation. Mais elle préférait qu'on ne la voie pas en grande discussion avec une créature. Le comportement de Catelyn pouvait étonner. Elle n'était pas un chef tyrannique, avide de sang et de combats. Silue était faible et domestiquée... A quoi bon s'attaquer à elle?

- "Je ne peux rien faire pour toi... Seul Cornelulus peut t'enlever ce collier. Je pourrais exiger ta libération bien sûr, mais pourquoi le ferais-je?"

Ses paroles, aussi sévères soient-elles étaient dites d'un ton doux et dénué d'animosité. Elle jeta un coup d'oeil vers Algol. Il avait du suivre avec intêret tout cet échange. Et maintenant, elle avait introduit une de ses anciennes recrues chez elle...

Silue était un peu embeter d'avoir hausser le ton. aprés tout, elle n'était qu'une creature? Une esclave... Rien de plus... Elle repoussat loin cette idée. C'était une creature qui respire, pense a et des sentiments. C'est donc plus qu'une vulgaire bete a son maitre.

- "Ah la paroles des créatures... j'ai appris à m'en méfier justement. Vois-tu quand on se fait trahir par son meilleur ami, on a quelques difficultés à refaire à nouveau confiance..."

C'est vrai, elle pourrait tuer Catelyn. Au moins, elle aurait la vie sauve. Mais, même si elle devait perir pour sa, jamais elle ne renirait cette dette. Catelyn lui a sauver la vie a elle dans faire autant. Elle comprenait parfaitement la reticences de Catelyn.

- "Rentre. Je ne peux rien faire pour toi... Seul Cornelulus peut t'enlever ce collier. Je pourrais exiger ta libération bien sûr, mais pourquoi le ferais-je?"

Sa queue noir, dans un état de crase incroyable, s'agitat dans tous les sens signe d'un enervement soudain. Elle mit c'est oreilles en avant, tel un chat aux aguets. A petit pas, peu rassurer, elle penetrat dans la piece.

Puis, elle flerat l'odeur d'une autre creature. Cette odeur... Elle avait deja sentit. C'était a la reunion... Algol! Elle le cherchat des yeux. Lorsqu'elle le vie derrière ces barreaux, elle voulut protester. C'était son chef... Comment osser t il l'enfermer ainsi? Puis, voyant qu'il était propre, qu'il paraissait bien nourris et même... Peut etre est ce que c'était abuser mais il parassait même heureux!

Elle était asser perturber mais elle n'en montrait rien. Elle était heureuse qu'il parraise en si bonne forme bien que l'ont voyait distingtement qu'il s'ennuyait. Ca crever les yeux. Elle s'approchat de la cage et lui parlat dans un murmure tant le faite de ce tenir debout en parlant était devenus un effort magistral.

Bonjour, comment allez vous?

Elle c'était baisser de sorte a etre a un,e hauteur egal de la creature enfermer. Elle tattat de la main son collier...

Heureusement qu'Algol était d'un naturel patient: il détestait entendre les bribes d'une conversation importante sans pouvoir la saisir en son entier, et c'était d'autant plus vrai lorsque cette incompréhension était dûe aux barreaux d'une cage. Excédé, il se laissa retomber sur sa couche avec un soupir frustré. Il avait une ouïe exceptionnelle lorsqu'il s'agissait de percevoir des sons, mais comprendre des paroles articulées, c'était une autre paire de manches. La seule chose qu'il put déterminer avec exactitude, c'était que l'intrus qui avait sonné était bien une créature, de sexe féminin apparemment. Et que ce qu'elle avait dit à Catelyn avait déplu à celle-ci au point de provoquer une considérable explosion de la chef des Arnaiths. Algol ne put retenir un petit rire désabusé: cette jeune femme avait un tel caractère qu'il mettrait beaucoup, beaucoup plus longtemps que prévu à la faire entrer dans son jeu.

Un grincement en provenance de la porte du petit salon lui fit relever la tête, et pour la première fois depuis huit mois ses iris ambrés plongèrent dans un autre regard aux pupilles oblongues. Destabilisé et surpris par le fait que Catelyn laisse rentrer une autre créature dans la maison, Algol resta un long moment totalement immobile. Seuls ses yeux bougeaient et détaillaient la créature qui se tenait dans l'encadrement de la porte. Il était à peu près certain de l'avoir croisée à la Thianra - il n'y avait pas trente-six créatures qui véhiculaient à la fois l'odeur d'un tigre et celle d'une panthère. Mais se souvenir de son nom...

La créature s'approcha de la cage et Algol eut l'impulsion de se lever, mais il interrompit son mouvement en voyant que la jeune féline vacillait sur ses jambes. En fait, elle était dans un état déplorable qui serra le coeur de l'ancien sous-chef: sale, famélique... A croire qu'elle n'avait pratiquement rien mangé depuis des semaines. Algol lui-même avait perdu beaucoup de sa superbe, et le stress de se voir enfermé en permanence l'avait considérablement amaigri, mais en comparaison de cette malheureuse il devait paraître brillant de santé. Il répondit à son salut d'un signe de tête et passa un bras entre les barreaux pour la pousser délicatement à s'asseoir contre les barreaux.

"Je vais bien mieux que toi... mon Dieu, ces humains sont fous..."

Lentement mais sûrement, Algol sentait la colère le prendre à la gorge. Comment pouvait-on traiter un autre être vivant de la sorte? Il remarqua la gêne que la créature avait de se présenter avec un collier autour du cou, et il secoua gentiment la tête:

"Ne t'inquiète pas pour ça, il n'y avait que Noah pour faire une fixation sur les colliers."

Sa gorge se serra et sa voix défaillit légèrement sur la fin de sa phrase. Parler de son ami au passé lui contractait toujours l'estomac, et il redoutait fort que ce ne soit pas un état temporaire. Les yeux dorés d'Algol cherchèrent ceux de Catelyn:

"Elle a besoin de manger quelque chose..."

Il avait pris soin de garder un ton neutre, bien conscient que Catelyn n'aurait pas levé le petit doigt s'il avait eu l'air de lui donner un ordre. Mais il savait également que la jeune femme n'était pas du genre à laisser quelqu'un crever de faim sous son toit. Enfin, en général. Algol revint à la créature, qu'il soutenait toujours d'un bras à travers les barreaux:

"Crois bien que je suis désolé de devoir te parler depuis une cage... Excuse-moi, je me souviens de toi et de ton odeur à moitié tigre, mais je ne parviens pas à le rappeler de ton nom."

Silue, chancelante sur ces faibles jambes, se raccrochait aux barreaux qui étaient maintenant sa seul source d'equilibre. Mais malgrés sa fatigue grandissante, malgrés cette douleur qui la lancait terriblement, elle soutint sa tête droite pour pouvoir continuer a regarder son chef. Lorsque les bras d'Algol la firent s'asoire contre les barreaux, elle lui en fut milles fois reconnaisante. Et lorsque cette voix douce de creature lui traversat le tympan, elle ne put que etre heureuse.

"Je vais bien mieux que toi... mon Dieu, ces humains sont fous..."

Il n'avait pas tort. Oh non. Loin de là même. Elle fermat les yeux. Ces odeurs, ces sensations qu'elle avait même pratiquement oublier tellement elle avait vecus de choses.

"Ne t'inquiète pas pour ça, il n'y avait que Noah pour faire une fixation sur les colliers."

Une fixation sur les colliers? Elle ne comprit pas tout de suite cette phrase. Son cerveau marchant au ralentit pour ne pas la tuer au labeur, elle dut mettre 5 minutes pour ce souvenirs de son propre regards de honte face au collier. Noah ce faisait une fixation sur les colliers? Il avait raison. Lorsque l'ont savait ce que c'était, c'était franchement horrible...

"Elle a besoin de manger quelque chose..."

Le ton sur le quel avait-il parler ne lui interreser peu. C'était le sens même de la phrase qui la fit reagir. Manger? A ca, c'était l'un des mots qu'elle avait rejeter de son vocabulaire pour ne pas devenir folle. Mais maintenant que l'ont lui proposait... Enfin, fallait-il encore que Catelyn accepte...

"Crois bien que je suis désolé de devoir te parler depuis une cage... Excuse-moi, je me souviens de toi et de ton odeur à moitié tigre, mais je ne parviens pas à le rappeler de ton nom."

Desolé? Mais ce n'était pas a lui d'etre desole. aprés, ni l'un ni l'autre ne devrait l'etre...

Silue...

La voix de CAtelyn lui fit tourner la tête.

- "C'est un ordre? Va l'installer dans le salon, je reviens avec ce qu'il faut."

Elle était ironique. Avec une certaine apprehantion, elle se dirigat vers le salon. La queue noir, emplis de saltées et de boue, gigotait dans tout les sens comme une furie. Les oreilles bien levé vers l'avant, elle marchait d'une demarche longue vers la salon. Manger! Elle ce laissat mollement tomber sur un canapé. Trés confortable d'ailleurs...

Lorsque le plateau arrivat elle était totallemet hors d'elle mais elle ce controlat a grande peine. Son estomac hurlait de protestation devant cette nourriture. Mais Silue ne voulut paraitre malpolis, ne touchas pas a la nourriture. Elle attendis bien sagement la reponse de Catelyn.

Aprés tout, peut etre avait-elle envie de la faire chanter avant? Avec cette atout dans son jeu, Cateyn reussirait surement...

Silue vie Algol s'eloigner de quelque pas. Elle ne comprit pas vraiment ce geste puisque, dans tous les cas, cette conversation devait l'interreser non? Puis Catelyn vint s'assoir prés d'elle. Elle ne bronchat pas tant son esprit était absorber par cete odeur et cette visions de ce bon morceau de viande. La voix de CAtelyn la fit quelque peut sursotter...

- "Si tu tiens vraiment à écouter, assois-toi dans un fauteuil! Sinon, laisse-nous franchement! Je ne suis vraiment pas d'humeur pour l'hypocrisie. Tu m'as habituée à mieux."

Hypocrisie? Qu'est ce qu'elle vouler bien dire par là? Bof... Ce n'était pas ses oignons aprés tout... Mais c'était plutôt le ton sur le quel elle avait parler qui l'avait quelque peut titiller. C'était peut etre une creature a ces yeux, mais pas n'importe la qu'elle creature! C'était Algol, sous chef de la Thianra!

Enfin bon, elle était trop epuiser pour se permettre ce genre de reflexion surtout envers le chef Arnaith. Puis, lorsqu'elle se sentit fixer par Cately, elle detournat les yeux d'Algol vers ce de Catelyn.

- "Ce n'est pas empoisonné, tu sais? Si j'avais voulu te tuer, je t'aurais tiré une balle..."

C'était peut etre ironique, mais un frisson glacée, plus puissant que ceux qui lui parcourais deja son dos, lui travesat le corps a la manière d'un poignards. C'était aprés tout fort possible... Mais dans l'etat ou elle était, de toute facon, elle n'allait pas vivre longtemps en plus. D'autant qu'il ne lui rester que 3 jours...

Soudain, un petit micro placé dans le collier de Silue se mit a grésiller. Une voix encore infantile s'adressa à elle.

"Ce petit jeu est trop long, je raccourci ton délais, il te reste une heure pour tuer Catelyn Jadenoire avant que la charge explosive de ton collier ne s'active... Bon jeu!!"

Lorsqu'elle entendit cela, elle fut agiter d'un hoquet violent. Elle crachat de la terre et tous ces boiyaux et ces intestints. (HJ: C'était une espression, sa ne craint pas pour t'est tapis! ^^) Les yeux equarquiller comme jamais, sa fente de ses yeux omblongues presque invisible.

Face a cette voix encore trés infantile, emais imperieuse et rieuse malgrés la duretée de ses parole, une seule pensée s'imposer dans son esprit.

*Elle allait mourire.... Mourire....*

Ce mot ressonner dans sa tête faisant vibrer toutes les parties de son corps. Elle était donc agiter de spasme incontrolable, petit, comme des frissons. Les yeux ecarquillaient comme si elle fixait un point totallement invisible et inutiles.

Elle tournat le regards vers Catelyn. Une pensée lui traversat l'esprit, un reflex de survie, un desir ardent de vivre.... Elle voulut sauter sur Catelyn et lui planter ses griffes dans l'estomac, lui lacerer le corps, lui arracher chaque partit de son corps avec les dents... Ses yeux s'allumèrent d'une vive lumière de folie et de meurtre...

Mais elle se controlat, difficillement, certe, mais elle fit cette effort pour Catelyn et surtout, parce que ce n'était pas du tout son style que de tuer les Arnaiths comme cela. Il fallait maintenant qu'elle ce leve. Qu'elle s'enaille loin de toute forme de vie.... Pour etre sur de ne blesser personne...

Elle se radouccit dans le canapé. Elle baissat les yeux et les fermat si fort qu'une larme apparut. Elle la sechat aussi vite...

- "Tu n'es pas végétarienne quand même?"

A oui, ces vrai, on en était toujours a là... Elle relevat la tete et ne touchat pas au plateau que l'ont lui tendait. Malgrés la douleur lancinante qui lui percait le corps, elle ne touchat pas au plateau.

Elle regardat Catelyn avec un regards possedant une tristesse infinie. Elle était dechirer car il y avait bien une chose qu'elle ne voulait pour rien au monde, c'était mourire... Mourire....

[Pardon, je ne vois pas très bien quoi dire...]


Algol encaissa les reproches de Catelyn avec le silence que sa condition d'esclave lui imposait. Bien sûr que non il n'était pas hypocrite, il désirait simplement faire preuve d'un peu de tact. Encore un réflexe suranné qui lui venait de son éducation en centre de dressage. Le parfait petit domestique pour une famille bourgeoise. L'ancien sous-chef balaya ces considérations acidulées en prenant place dans un fauteuil du salon, comme la propritétaire des lieux le lui avait plus ou moins ordonné. Au point où il n'en était plus à une marque d'irrespect parmis tant d'autres. Et puis il fallait reconnaître qu'en temps normal Catelyn le traitait plutôt convenablement, ce n'était pas pour une fois qu'elle se mettait en colère que...

Un grésillement on ne peut plus dérangeant le fit grimacer et l'obligea à porter une main à son oreille gauche, agressée par la nuisance sonore. Qu'est-ce que c'était que ça? En plus ça venait de Silue, s'il ne se trompait pas. Algol tourna la tête, et à la réaction de la panthère il constata qu'il avait vu juste. Un être affamé n'aurait pas dû pris de ce genre de spasmes à la vue de la nourriture, il se serait jeté dessus sans plus de formalité. Or non seulement la créature ne mangeait pas, mais en plus elle semblait soudain complètement tétanisée dans son canapé. Inquiet, Algol se redressa légèrement dans son fauteuil, les mains sur les accoudoirs:

"Silue?..."

Alors seulement il nota l'odeur étrange de la panthère, odeur qu'il avait d'abord assimilée à celle de son propriétaire humain. Non, c'était une senteur artificielle, quelque chose de néfaste, de très néfaste...

*Ca ne sent quand même pas les explosifs, j'hallucine...*

Silue n'en pouvait plus. Son estomac hurlant de douleur face a cette nourriture qu'elle ne voulait manger, les paroles singlantes que venait de prononcer son maitre, et cette envie de tuer qui lui ravager l'interieur... Cette envie incroyable de survivre...

Elle se seccouat la tête. L'effort qu'elle devait fournir pour eviter de ce goinfrer tel une meute de loup, pour ne pas sauter sur Catelyn et l'ecorcher tel une meute en furie d'ailleurs.

"Je... "

Toujours avec cette air ebahis a cause de les dernières paroles de son maitre, elle begayat la fin de sa phrase sans trop savoir pourquoi. Elle était epuiser, elle voulait juste dormir... Dormir et manger... Manger... Juste se reposer au moins une heure... Mais dans une heure, elle serait morte. Morte exploser. Il fallait qu'elle s'ennaile. Qu'elle cour loin dans un endroit reculer pour que personne ne puissent mourire... Ce sacrifier en quelque sorte car en une heure, elle ne pourait jamais regler ce problème.

"Cornelulus vient de me dire que je n'avait plus qu'une heure!"

Elle insistat sur le "une" puis elle hurlat carrement les dernière phrase.

"Une heure! Je vais mourire! Il faut que je m'en aille loin pour vous evitez d'exploser avec moi!"

Elle se relevat d'un bond avec une energie totallement renouveler. Puis, avec un regards indecis vers les plateau de nourriture. Elle prit un vers de lait rapide qu'elle but avec aviditée. Elle prit une tranche de viade qu'elle se fourrat dans la bouche. Elle avalat dificilement, manquant de s'etrangler.

Elle était deboussoler. Elle toussait comme une perdue, elle crachotait quelques goutes de sang dans sa main qu'elle s'essuyat sur son vetemant en cuir noir lacerer de plein d'endroit.

Soudain, elle fit une chose totallement incongrus. Elle mit sa tête entre ses genous puis, n'eyant plus asser de forces pour ce controler, ne se controlant plus, elle fondat en larmes. Des larmes de rages, des larmes d'inpuissances, des larmes peur et des larmes d'epoirs...

C'était la première fois qu'elle pleurait depuis deja au moins 7 ans... Elle allait mourire, et elle n'avait aucune envie...

Lorsque Catelyn lui avait demandé ce qu'il sentait, Algol avait secoué la tête de droite à gauche sans trouver quoi répondre. Il avait continué à dévisager la panthère affamée, trop sceptique pour croire qu'elle sentait vraiment les explosifs, trop méfiant pour se laisser retomber dans son fauteuil alors que la créature avait l'air de plus en plus instable. Et lorsque Silue s'était enfin justifiée, il ne l'avait tout d'abord pas crue. Un collier piégé? C'était du délire! Et pourtant cette tenace odeur de plastique, cette panique et ce désespoir évident dans les larmes que la créature avait commencé à verser...

Algol se tassa dans son fauteuil avec l'expression ahurie de quelqu'un qui vient de se prendre un monumental coup de poing. Si Catelyn était très visiblement folle de rage, lui-même ne parvenait presque pas à comprendre. Comment... quel être était assez cinglé pour envoyer quelqu'un d'autre à la mort sans sourciller? Non, il se trompait. Après tout ce Cornelulus était apparemment un humain, et Silue n'était rien qu'une misérable créature, non?... Les traits du léopard des neiges se fermèrent. Pourriture Arnaith... s'il lui mettait les griffes dessus...

Il n'attendit pas l'ordre de Catelyn pour se lever et poser un genou sur la moquette près de Silue. La chef des Arnaiths avait raison, retrouver ce malade au plus vite était la seule solution envisageable. Le félin s'efforçait d'ignorer le fait que si la jeune femme ne s'était pas trouvée menacée en personne, elle aurait certainement laisser mourir la panthère sans sourciller... Mais là n'était pas la question. Catelyn était la seule à pouvoir agir, et tandis qu'elle se préparait, il se devait de remettre Silue sur pattes.

"Silue? Silue, écoute-moi... calme-toi et écoute-moi..."

Algol parlait d'une voix douce et posée qui ne laissait aucunement transparaître la haîne qu'il éprouvait envers le barbare qui maltraitait la panthère de la sorte. Il glissa sans hésiter sa main sous la tête de Silue pour lui attraper le menton et l'obliger à le regarder dans les yeux, avant de reprendre sur le même ton apaisant:

"Il ne gagnera pas. Catelyn a raison, il faut que vous le trouviez et que tu te trouves à côté de lui dans une heure, c'est le seul moyen de te sauver, tu m'entends? Mais pour ça il faut que tu sois encore courageuse, encore un tout petit peu. Après cela je te promets de ne pas lâcher Catelyn jusqu'à ce qu'elle ait pris soin de toi et que tu te sois remise. On ne te laissera pas mourir, tu m'as bien compris? Tu ne mourras pas."

Au fur et à mesure qu'il parlait, ses yeux de miel s'enflammaient. Cet infect petit humain... Alors que Catelyn revenait et répondait au téléphone, Algol se fit la réflexion qu'il aurait aimé égorger ce monstre de ses propres mains. Jamais auparavant il n'avait éprouvé une haîne aussi spontanée envers quelqu'un qu'il ne connaissait même pas. Et ce fut avec un temps de retard qu'il comprit la proposition de Catelyn:

"Algol, tu veux nous accompagner?"

L'ancien sous-chef se tourna vers l'humaine pour la dévisager. Son visage restait neutre, comme s'il ne parvenait pas à décider quelle émotion cette question provoquait en lui. Les accompagner? Sortir? Sortir dans la rue, dans la ville? La bouche d'Algol s'entrouvrit, mais aucun son ne s'en échappa. Huit mois qu'il était cloîtré dans cette demeure, et voilà que du jour au lendemain... Une occasion de s'échapper? Non, Catelyn n'était pas folle, elle emmènerait avec elle la télécommande qui pouvait déclencher le collier électrique du félin. Mais sortir, et en plus pour aller punir l'être immonde qui avait osé faire cela à Silue... Muet de stupeur et d'une certaine forme de reconnaissance, Algol ne put que hocher la tête vers Catelyn. Oui, bien sûr qu'il voulait les accompagner. S'il avait compris que cela impliquait de remettre les pieds dans les anciens locaux de la Thianra, il y aurait certainement réfléchi à deux fois.

( Vraiment desole du retards. Il y a eu les vacances, et puis j'ai perdus mon mots de passe du forum (OUi bon je sais!^^) Et j'ai était prive d'ordi pour "insolence" et même internet buger. Je m'excuse reelement.... )

- "Où est-il Silue? Si nous le trouvons avant, il ne se fera pas exploser avec toi! Algol occupe-toi d'elle."

Puis elle partit en courant. Comme si Silue pouvait s'en souvenir. C'était impossible... Et Silue n'en pouvait plus. Mais alors vraiment plus. Agiter de spasmes de plus en plus violent a cause des pleures incontrolables qui s'ecouler de ses yeux rougis par la colère, la fatigue et la faim. Plus le temps passer, ne serresse que les minues ou même les secondes qui passer était une veritable torture. Le temps raccourciser et ces chances de survies avec. C'était une tortures qui ne pouvait pas etre sous tenus plus longtemps même pour une personne possedant une force mental extraordinnaire suporter cela était inssuportable justement.

"Silue? Silue, écoute-moi... calme-toi et écoute-moi..."

Silue s'efforcat de ce calmer mais elle ne pouvait rien faire. Pour empecher les larmes de couler sur ces joues. Neanmoins, elle ecoutat attentivement les paroles d'Algol entre deux reniflement.

"Il ne gagnera pas. Catelyn a raison, il faut que vous le trouviez et que tu te trouves à côté de lui dans une heure, c'est le seul moyen de te sauver, tu m'entends? Mais pour ça il faut que tu sois encore courageuse, encore un tout petit peu. Après cela je te promets de ne pas lâcher Catelyn jusqu'à ce qu'elle ait pris soin de toi et que tu te sois remise. On ne te laissera pas mourir, tu m'as bien compris? Tu ne mourras pas."

Elle ne mourrait pas? Elle ne souffrirait plus? Tous cela juste en retournant chez ce malade? Bien qu'elle est peure d'y retourner, elle irrait parce que ca mère lui avait dit, avant de mourire, de ne jamais avoir peur et de toujours ce battre jusqu'au bout. C'est ce qu'elle ferrait. Elle relevat la tête et sourit a Algol esseyant au mieu d'articuler un vague merci. Mais rien ne sortit de sa bouche. La fatigue ou la soif...

Elle s'essuyat les yeux d'un revers de manches et reniflat un coups sec. Se controlant avec peine, elle prit une cuisse de poulet poser sur le plateau devant elle et croquat avidement dedans. Ont aurais dit une enfant qui venait de se remettre d'une grosse crise de colère. Seule difference, celle ci était aussi frèle qu'une fourmis et aussi affamer qu'un lion. Elle commencer a manger comme ci sa vie en dependait ce qui n'était pas totallement faux mais maintenant au moins elle avait Algol et CAtelyn avec elle. C'était ces amis et elle avait confiance en eux. Elle allat ce noyer dans son vers de lait mettant de l'ordre dans ses idées et ses souvenirs.

Puis la voix de Catelyn la fit leve les yeux sans arreter cependant de devorer avidement sa nourriture.

"Je sais où il est! Viens avec moi." "Algol, tu veux nous accompagner?"

Elle savait ou il était? C'était impossible, comment le serait-elle, même Silue serrait incappable de s'en souvenir. Mais bon, c'était bien. Plus elle manger, plus elle reprener de forces pour marcher ou courire. Mais deja elle ce sentait mieu et deja le flot de courage et d'espoire qui courait habituellement dans ces veines revener. Elle allait vivre. C'était une trés bonne pensée pour ce mettre dans l'ambiance et reprendre des forces.

Elle regardat le sous chefs de la Thianra hocher la tête. Il venait avec elle alors c'était merveilleux. Même plus encore. C'était fantastique. Extroordinaire... Elle affichat un vrai sourire et dit, d'une toute petite voix mais tout de même asser fortes pour etre entedus.

"Merci. Je vous remercis infiniment et..."

Elle sourit encore plus et parlat avec plus d'assurance.

"...Et un jour je vous revaudrais ca, je vous le promais!"

Le tons de sa voix était si determiner, si sur d'elle que pour une personne de cet etat, c'était incossevable. Ses oreilles, peu a peu, ce redresserent sur le sommet de son crâne et sa queue s'agiter frenetiquement en signe d'attente.Elle se mit debout mais chancelat et retombat ,sur son derrière, sur le canapé. Elle se remit alors en manger sans trop se preoccuper des convenances...

[C'est pas grave ]

Algol hocha la tête à la proposition de Catelyn. Bien. Elle se doutait qu'il avait du y voir une façon de s'échapper, mais peu importe. Le connaissant, il aiderait Silue, parce qu'il aimait ses semblables et ne pouvait rester insensible à la détresse de la créature. Ainsi, avaient-ils le même but pour le moment : punir Cornelulus.

Silue reprenait courage et mangeait avec appétit et détermination. Mais malgré tout, le temps pressait. Avec un sourire sans joie, Catelyn ne put s'empêcher de réfréner l'ardeur de Silue :

- "Je ne fais pas ça pour toi. Tu es une créature et tu as un maître, je n'ai donc pas à te faire la chasse. Cependant, le fait qu'un de mes subordonnés t'envoie pour me tuer est inacceptable! Tu n'as pas à vouloir te montrer reconnaissante. Je t'ai sauvé la vie dans ce parc, tu viens de sauver la mienne en n'exécutant pas les ordres, alors que tu savais que cela entraînait ta mort. Je ne peux pas laisser passer ça. Mais une fois, l'affaire réglée, je ne veux plus te revoir. Nous ne sommes pas amies et nous ne le serons jamais. C'est ainsi."

Paroles dures et peut-être cruelles, mais nécessaires. Pour son bien et le bien de Silue. Elle veillerait à ce que la créature ne soit pas malheureuse mais c'était tout. Elle était la chef des arnaiths, elle ne pouvait se permettre de faire amie avec une créature!

Elle prit le bras de Silue et la tira à elle pour la faire se relever, avec douceur mais fermeté.

- "Allez, il faut y aller. Je sais où il est, mais le temps presse toujours."

Elle eut un rictus de haine.

- "Au moins, dans l'état où il est, il ne se sauvera pas."

Puis, elle entraîna les deux félins à sa suite, prit la voiture et se dirigea vers les locaux arnaiths.


[Suite "Souvenirs, souvenirs"