Prénom: Armël
Surnom: Elle n’en possède pas encore mais faites attention si vous vous avisez de m'en donner.
Âge: J’ai 16 ans mais ne vous avisez surtout pas de me traiter de gamine!
Clan: J’ai appartenu au Clan de Thianra mais depuis ma capture je n’en ai plus entendut mots.
Croisement: Panthère noire.
Description physique:
Vous ne voyez pas à quoie je ressemble?
J’ai des cheveux noirs lisses et raides qui me retombe légèrement au bas des hanches et soyeux tel le pelage noir et doux d’une panthère sauvage. J’ai des yeux d’un vert émeraude dont les pupilles sont en fente comme chez les chats et les autres félins. La nuites mes pupilles sont alors très dilatées. J’ai aussi une frange, peu ordonnée je l’avoue, mais qui s’arrête à la hauteur de mes yeux. Elle a beau être en bataille ou en désordre mais c’est ca qui lui donne son aspect rebel. J ‘ai aussi une longue queue et de grandes oreilles colorées du même noir ténébreux de mes cheveux. Je suis plutot mince et svelte, j’ai de longues jambes élancée et fines. Je préserve des ongles longs pour toujours garder une arme et puis de simples ongles sont amplement suffisants lorsqu’on sait s’en servir ! On ne peut pas dire que le possède une grande garde-robes, je ne possède même qu’une tenue, une tenues de colégienne constituée d’une jupe mi-longue plissée et d’une chemise blanche aux manches mi-longues. Je possède également un collier ténébreusement noir, signe de mon appartenance à l’humain.
Description mentale:
Tout simplement puérile ! Je possède mon propre caractère bien marqué et je ne cacherait pas le fait que je soit rellement insupportable et abjecte. Je ne renonce jamais et suis vraiment têtue. Il ma'rrive aussi parfois de paraitre dans la lune, je ne sais pourquoi mais j'ai toujours été quelque peu mélancolique au fond de moi, je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression de vide, comme un manque au plus profond de moi. Regarder le ciel m'atoujours aider à enfouir se sentiment car je n'en connait pas la cause, cela est très complexe même moi il m'est difficile d'expliquer ceci. J’ai toujours eu horreur que l’on me sous-estime ou que l’on puisse me comander. Je suis très têtue et surtout vraiment très agressive, je ne reste jamais calme très longtemps. Lorsque je parle c’est toujours pour vous répondre d’une réplique singlante ou pour vous montrer mon désaccord et ainsi vous contredire. J’ai toujours aimé ca, contredire les gens et pousser leurs nerfs à fleur de peau. Voir un visage grimacer sous la colère ou la douleur m’a toujours procurer un extrème bonheur mais pas aussi êxtrème que lorsque je peut entendre les cris de désespoir s’échapper de humains que j’égorgeais. Je suis tout bonement insupportable et carrément indomptable. Je ne dit que ce que je pense même s’il n’est parfois pas bon de l’entendre. Rien ne peut me faire changer d’avis lorsque je décide quelque chose, j’arrive toujours à mes fins. Je rendrait votre vie infernale !
Histoire:
Je ne vois pas pourquoi je doit vous raconter l’histoire de ma misérable vie mais je vais le faire car puisque vous y tenez.
Tout d’abord je doit vous dire que mon père étaiet bien lâche, ma mère était morte lors de ma naisance, tant mieu, elle avait l’air encore plus misérable que mon père. Je me souvient bien de lui : orgueilleux et bien loti, il voulait la vie calme et paisible que l’on montre parfois dans les films banaux. Je n’ai jamais été de cet avis et je le lui fit bien vite comprendre. Lui qui voulait une petite fille parfaite, sage et disciplinée, je le décut bien rapidement. Je lui montra mon caractère aussi puéril et barbare qu’il soit. Je fit tout pour l’énerver, et j’arriva à le pousser à bout. Il m’avaiet sous-estimer et je ne lui avait pas fait de cadeaux, de toute façon il l’avait bien chercher !
Il fut bien vite hargneux envers moi, et je ne m’en plaignait pas. Il m’abandonna dans cet endroit rongé par la pourriture et par le temps. Ce n'était qu'un établissment de mauvaise réputation et ils ont, certe difficilement, accepté mon inscription car mon père étant influent et cet établissement en manque d'adhérants. Endroit où l’on devait se tenir comme des jeunes filles modèles, ce que je ne fit pas. J’ai toujours détester ces manières polies et droites, j’en vomissait presque ! Un orphelina pour filles, quelle horreur ! Je me retrouva dans un endroit bien pitoresque, ce bâtiment me faisait pitié ! Mais là ne fut pas le pire, je fit bien vite encerclée par elles, les pensionnaires de ce lieu étaient des représentations conformes de mon abération même ! Elles étaient toutes intriguées par moi et me traitaient comme une peluche. J’était encore jeune et ne savait pas à quel point j’était spéciale. On ne peut pas dire que j’ai mit longtemps à m’intégrer car je ne m’intégra jamais à cette ambiance. Je resta seule, chaque fois qu’elles éssayaient de m’approcher je leur faisait comprendre que si elles tentaient d’avancer de ne serait-ce qu’un millimètre elles pouvaient déjà préparer leur boite de pansements.
Je fut enfin soulagée, j’avait été renvoyée de l’établissement. Mauvaise conduite m’on-t-il expliqué. J’avais beau être encore bien jeune, je m’adapta bien mieux qu’on n’aurait put le croire. Je vivait dans un vieil immeuble désafecté et volait pour me nourrir. Et je ne laissa personne marcher sur mes plates bandes. J’en ai connue bien des bagarres, avec le temps je me suis endurcie. Et finalement je me fit un nom, finalement je me suis faites connaitre. J’était l’une des pires voyoux de Paris. Les gens des rues ne connaissent que mon surnom. Pourquoi divulguer ainsi mon prénom ? Cela ne sert à rien !
J’entendit que certains me nommaient, le monstre ou encore la mutante. Je ne donna pas cher de leur peau ! Je savait que j’était différente, j’éssaya de cacher le plus possible cette différence, je cacha mes oreilles sous un bandeau, portait des jupes longues pour dissimuler ma queue mais je ne pouvait pas cacher mes yeux. Ces pupilles en fentes intriguaient bien du monde. C’est là que j’ai entendu parler de la Thianra, le mouvement de libération des créatures. J’essaya bien vite d’intégrer ce mouvement, j’avait envie de connaitre mes semblables. J’y parvint, après beaucoup de recherches certe mais j’y était parvenue. Ils commencèrent par m’apprendre à sortir mes griffes, griffes que je n’avait jamais vues. Plus tard je fut engagée comme tueuse, et je pris vite goût à cet emploi. J’aimais voir le sang s’échapper en suivant le tracé des mes griffes assérée, entendre les cris déchirant s’évacuer de leurs bouches, voir la peur envahir leur regard avant la mort. Ils l’avaient bien cherché, ces humains ne valaient rien !
Lors du massacre perpetuée par les Arnaihts, je réussit à survivre, mais je me voyait capturée pour ensuite être vendue à un humain tel un animal domestique. C’est pour cette raison que je me suis retrouvée en cage, attendant que quelqu’un viennent «m’adopter». J’était en rage, ils m’avaient qualifié de « moins dangereuse » et j’aimais encore moins l’idée de devoir me soumettre à un humain. Et c’est là qu’il est entré, j’ai vu celui à qui j’appartenais à présent. Aujourd’hui je vit chez lui, mais ce n’est pas par-ce que c’est mon «maitre» que je doit être sage avec lui, bien au contraire, je ne ferait aucun cadeau. S’il veut me posséder il devra me supporter !
Talent(s) particulier(s): Quelle question, je possède d’assez longs ongles et 3 griffes de 30 cm assérés et prêts à déchirer la chair humaine. J’ai également l’agilité, la rapidité et la souplesse du félin, je peut aussi voir dans le noir.
Propriétaire: Sue Ryuga
Style de combat: Je combat en général au corps à corps, mais je manie aussi le sabre, mais rarement. Les humains ne valent pas la peine que j’utilise cette arme, elle ne m’est utile que lorsque je combat quelqu’un de bon niveau.
Autres: /