† Lost soul †
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 Damie, le Lys de Paris

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Damie De
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MessageSujet: Damie, le Lys de Paris   Damie, le Lys de Paris Icon_minitimeDim 9 Avr - 0:12

Nom : Deflow
Prénom : Damie
Âge : 22 ans
Clan : Humain
Métier : Tenancière de la boutique "Le Lys de Paris"

Description physique : Après des années de corruption, de mort, de haine, le monde sombrait peu a peu vers des ténèbres de plus en plus proche. Les humains devenaient noirs, autant mentalement que physiquement, les créatures en faisaient de même et chaque parcelle de vie se gorgeait de noirceur. L’espoir et la lumière étaient pourtant toujours de ce monde, mais celle-ci était bien plus que faible, au bord de l’agonie, prête à disparaître. Un élément de pureté sur ce monde en décomposition, parcelle de vie, parcelle de chaleur et de douceur, elle resplendit au milieu d’un puit de lumière flamboyant. Les rayons sacrés parcourent chaque parcelle du corps de cette Ève encore toute jeune. Ses longues jambes fines et blanches, ses chevilles bien dessinées, des pieds fins d’une grâce divine. Plus haut les hanche jouissent d’une largeur moyenne, dans les proportions; juste ce qu’il faut.
Le ventre est plat, les seins bien ronds aux bouts légèrement rosées. La silhouette est voluptueuse, aérienne, les formes sont belles, la peau luise d’un reflet nacré et d’une imposante pureté. Un ange ? Une création divine ? Non, une simple humaine voila tout, une humaine bien belle il est vrai, au long coup soutenant un visage des plus exquis, alliant charme et noblesse. Des yeux d’une couleur azur prononcée et enfin des cheveux qui n’en finissent pas de reflets éblouissants. La jeune fille possède un léger grain de beauté sur la droite de son visage, la seule marque obscure de son corps.

Si la beauté est au diapason de celle du soleil en plein midi, la jeune fille possède cependant une incroyable faiblesse. Déjà victime de narcolepsie, elle ne parvient pas à trouver le repos dans ses sommeils a répétition et a développé une importante insomnie. Ce résultat n’a pas de conséquence sur son aspect extérieur cependant il la dote d’une mauvaise résistance à l’effort. Elle ne peut ni courir, ni marcher sur de grandes distances. Elle tomberait rapidement et serait sans doute violée ou dévorée. Non elle ne peut se résoudre au moindre effort, et sa vie entière se base sur ce principe, pas de mouvements inutiles. Elle ne quitte pas souvent son magasin de fleur et reste posée derrière son comptoir non loin de son fauteuil confortable. La vie est difficile mais pas malheureuse.

Description mentale : Le traumatisme de son enfance a énormément interagis sur ses capacités mentale. A certains moment elle peut paraître un peu hors sujet, voir carrément folle, cependant cet état n’est que le rejet de sa maladie narcoleptique. Sa grande beauté, lui attire des tas de compliments, elle les saluent d’ailleurs d’un large sourire aux yeux plissés, cependant en elle la paralysie due a sa faiblesse l’accable. En chaque mouvement, en chaque pas, elle ressent ce flot de douleur et de pompe vie qui lui parcours les veines. En chaque long discours elle sent l’air dans se poumons se tarir. Elle lutte, parfois violemment, se frappant, allant même jusqu’à s’entailler pour essayer de faire couler avec son sang cette faiblesse omniprésente.

Vis-à-vis des autres personnes, elle agit en adulte responsable; tenancière de sa boutique, elle la gère d’une manière habile, alliant période de repos et ouverture prolongée. Elle est aussi très au courant de ce qui se passe dans Paris. Que ce soit pour les deux organisations ennemies, que pour des cas plus particuliers, comme le familier de madame Pilot qui vient assez souvent acheter deux roses rouges pour les invités de sa maîtresse le mardi matin. Très accueillante dans son magasin, elle est en fait en total paradoxe lorsqu’elle se trouve seule. Sa condition la hante et sa solitude lui pèse énormément. Elle ne recherche cependant pas la compagnie, car elle a peur de revivre de funestes instants. Sa vie va et viens comme la marrée, au grés des vagues, elle s'élance, percute, puis s’évanouie.


Dernière édition par le Lun 10 Avr - 13:38, édité 1 fois
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Damie De
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MessageSujet: Re: Damie, le Lys de Paris   Damie, le Lys de Paris Icon_minitimeLun 10 Avr - 1:10

Maladies : l’hyper somnolence diurne, due à des accès irrépressibles de sommeil survenant plusieurs fois par jour et durant de 2 à 30 minutes. Le malade s'endort brusquement en mangeant ou pendant une conversation. L'activité en cours peut se poursuivre sous forme de comportements automatiques. Cette somnolence irrite souvent l'entourage qui la ressent comme un manque d'intérêt et de participation plutôt que comme le symptôme d'une maladie. Ces fluctuations continuelles de la vigilance s'accompagnent de difficultés d'attention et de mémoire. Elles peuvent entraîner des automatismes - phrases sans sens - rangements d'objets dans des endroits insolites - conduite d'une voiture dans un endroit imprévu ... L'éveil de ces malades est un état d'éveil actif, comme s'ils étaient incapables de maintenir un éveil calme sans s'endormir.

Les attaques de cataplexie sont une perte brusque du tonus musculaire sans altération de la conscience pouvant toucher quelques muscles seulement (chute de la tête, impossibilité d'articuler ou fléchissement des genoux) ou être beaucoup plus globale, entraînant une chute. Le malade ne perd pas connaissance mais reste cependant incapable de réagir à toute stimulation, ces perceptions sensorielles restant parfaitement conservées. Il garde le souvenir de tout événement survenu au cours de son accès. Ces épisodes sont déclenchés par une émotion: surprise, plaisir, rire ou colère.
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Histoire :



Des destinée il y’en a chaque jours des brisées, d’autres qui s’effacent, certaines qui arrivent à leur terme et se finissent brutalement, d’autres part un acte qui relève du plus pur sadisme, se voient à jamais réduite à la souffrance et aux fantômes. La destinée d’une jeune fille nommée Damie, est aujourd’hui emplie d’un malheur sans nom, que seul une mort brutale pourrait faire cesser, mais le sadisme demeure et la mort tarde a venir.

Arrondissement numéro seize, banlieue chic et prisée. Entre deux gros blocs à trois étages se trouvent une maison plus réduite, de seulement un étage. Il fait nuit… Il est 20h30. C’est l’Hiver. Les lumières sont allumées et par toutes les grandes vitres propres, on aperçoit l’intérieur raffiné de la demeure Deflow. Si l’on se rapproche l’on aperçoit une façade d’un blanc unie, trouée de fenêtre aux volets de bois marron. La porte d’entrée est double et est elle aussi en bois. Mais ce n’est pas cela l’important, car les choses meurent avec le temps. La table est mise dans le salon, quatre personnes y sont installés, chacun aux quatre points cardinaux. Quatre personnes… Une au teint nacré, et à la beauté surnaturelle fait concurrence aux lumières des lustres qui flamboient. Les trois autres sont malheureusement floues et distordus. Pourquoi sont-elles ainsi ? Pourquoi ne sont elles pas reconnaissables ? Pourquoi se poser de telles questions ? Si il n’est pas permis de les voir, alors c’est qu’il ne faut pas…
Une voie matriarche s’élève, une petite silhouette suivit de la silhouette nacré se lèvent et se dirigent vers l’escalier. Il semble que le repas soit terminé. Le couple flou du salon reste et demeurera ici. Pour l’éternité. Plus haut s’en suit un balai habituel, changement de vêtement, brossage de dents, petits cris dues au peigne tiraillant les cheveux blonds de l’être distinct. Balai de pas, balai de corps, balai de voix, balai de sons… Le binôme se pose enfin dans une chambre espacée, aux murs bleus et a la décoration enfantine. Le cadre se fait plus restreint et se limite maintenant aux contours d’un lit. Les deux silhouettes sont là, l’une plus distincte que l’autre, mais ce n’est pas important. C’est un petit garçon, d’après ce que l’on entend dire de la jeune fille nacré. Son petit frère qui plus est…
Elle tient sa tête entre ses mains fines et blanches et caresse de ses doigts légers une petite mèche de cheveux brune appartenant au garçon.

*Vois tu marc, ce que t’a dit maman au repas, il ne faut pas le prendre mal, elle veille a ton bien, et cette punition, qui selon moi était méritée n’est pas réellement insurmontable. Après tout, tu vas passer le week-end avec moi à la maison, certes tu ne verras pas tes amis, mais fais moi confiance nous sortirons de la maison !*

A cela, le jeune garçon ne réagis que par un mouvement de la tête désordonné, que sa sœur a bien vite fait de calmer par une caresse à la tempe. Le garçon est enfouit dans son lit sa sœur assise a ses côtés en train de lui raconter maintes et maintes choses. La lumière de la chambre est allumée et il faudra sûrement l’éteindre avant d’aller dormir.

*Dit moi marc, qu’a tu envie de faire ce week-end hein ? Je crois qu’ils ont installé une nouvelle attraction au parc de jeux, si tu veux je prendrais la voiture et on ira tout les deux. Ça sera bien tu verras, on mangera une glace, a la van… Ah non au chocolat, ton parfum préféré. Puis si tu veux on achètera quelques trucs, je crois que maman nous à laissé des sous. Puis il se pourrait bien que tu vois tes amis las bas aussi, un coup de fil est si vite passé, on se sait jamais…*

Le visage de la jeune demoiselle affichait un petit sourire complice lorsqu’elle diluait ses paroles. Le jeune garçon quand a lui ne montrait plus signe de lutte, il semblait endormi. Cependant sa sœur ne s’arrêtait pas pour autant de discuter en regardant l’ampoule brillante à demi tamisée. L’ampoule, si brillante si chaude, cette lumière si douce… Si confortable…
La jeune fille continu de parler, elle parle, et parle encore de son week-end a son petit frère dont elle tient toujours la tête entre ses mains, elle parle a l’ampoule, mais l’ampoule et maintenant éteinte, la chambre est dans la pénombre, aucun bruit ne perce le silence mis a part les paroles de la jeune nacré qui prend du plaisir à les raconter. La porte de la chambre est défoncée, mais elle ne le remarque pas, la moquette est froissée, souillée, et pleine de sang, mais elle ne le remarque pas, elle parle sans s’arrêter, toujours vers l’ampoule qui demeure et reste coi. Le lit est déplacé, mais elle ne le remarque pas, l’armoire est en désordre et tout est déchiré, mais elle ne le remarque pas, elle parle sans s’arrêter, toujours vers l’ampoule qui demeure et reste coi. Elle baigne dans des draps tachés de sang, mais elle ne le remarque pas, elle tient la tête ensanglantée et entrouverte de son petit frère entre ses doigts, mais elle ne le remarque pas, elle parle sans s’arrêter, toujours vers l’ampoule qui demeure et reste coi…

La mort l’accable, la percute mais jamais ne la prend.
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Noah
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MessageSujet: Re: Damie, le Lys de Paris   Damie, le Lys de Paris Icon_minitimeLun 10 Avr - 13:49

Validée ^^
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MessageSujet: Re: Damie, le Lys de Paris   Damie, le Lys de Paris Icon_minitime

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