† Lost soul †
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 Judicael Schinken: Bam...

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Judicael Schinken
Humain(e)

Judicael Schinken


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Race : Au creux du cycle violent.
Clan : Humain, aucun clan pour l'instant.
Âge du personnage : 18 ans
Date d'inscription : 17/06/2006

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MessageSujet: Judicael Schinken: Bam...   Judicael Schinken: Bam... Icon_minitimeDim 18 Juin - 19:22

Nom : Schinken. Il signifie Jambon en Allemand.
prénom : Judicaël
Surnom : Judicachounet qui lui vient de petite sœur d’amour Aline. Cette dernière le surnomma ainsi en l’honneur d’un ourson en peluche qu’il lui avait remis et qui portait les initiales J.S. Judi, c’est simple, tout le monde l’appelait ainsi et se malgré le fait que Judicaël détesta se surnom ridicule.
Le cul de la putain. Ces voisins l’appelaient ainsi, a cause de sa mère…
Bam, Flash news : Bam ! Le pyromane de St Peters bourg à encore frapper !

Âge : 18 ans. Si jeune…Et pourtant tellement… Et même plus !
Clan: Aucun…Pour le moment du moins.

Description physique (Baouuhhm !!XD)
Au bout de quelques temps, lorsqu’un regard délicieusement modifié par la technologie des lentilles de contacts mauves pâlichonnes vous auras observé plus de quelques heure de fixation, vous ne vous étonnerez même plus d’y trouver profondément encré toute la mesquinerie et l’irresponsabilité de terre mère. Pourtant, ce regard vous hypnotisera par le mystère que cache la couleur naturelle. Cette dernière d’un gris apprivoisé par le bleu foncés et la clarté du vert qui s’Y mélange habillement. Dans ce regard, une petite lueur y brille en permanence. Personne ne sait ce quelle représente ni ce quelle fait dans ces yeux. Peut-être un point de lumière qui s’y reflète ? Fort possible, puisse que malgré la douceur de ces yeux, une rude parcelle de réalité reste et miroite de tout ce qui l’entours. Judicaël déteste ces yeux, les hais, ils sont sa honte malgré leur sensualité acquise. Les pupilles de ces derniers sont toujours dilatées, tel est l’effet voulu des lentilles. Ce petit détail ajoute quelques chose de plus selon la façon dont Bam vous regarde ; Si , par exemple, il vous montre un regard agressif, cette pupille dilatée approfondira ce sentiment, si par contre il ne vous montre aucun respect, cette pupille rira de vous autant que Judicaël. Ce regard se perd dans la fantaisie mortelle et la non régulation des mèches teintes rousses foncées qui tombe en barrière devant ces mêmes yeux. Si doux et soyeux que ces cheveux puissent être, ils sont coupés d’une façon très irrégulière qui empêche le dégradé de s’y tracer. Le devant, couvrant son front d’à peine quelques mèches, est en réalité de couleur noir corbeaux. Mais Judicaël à fait teindre quelques mèche de roux foncé afin de pourvoir sa marginalité et d’afficher son dégoût de la normalité…Et peut-être bien pour montrer qui est Bam, inconsciemment évidement… Ces quelques cheveux sont plus long que ceux de derrière qui eut, on gardé la couleur naturel des ailes des oiseaux de la mort. La coupe volage de Judicaël est impossible à emmêler, pourtant les cheveux de ce dernier son épais et nombreux. Peut-être que le fait qu’il soit si lisse aide à ce détail ? Cette même coupe, laisse percer les oreilles légères de Judicaël qui tombe légèrement, imperceptiblement. Percées en maints endroits, ces dernières comptes 5 boucles à droite ; trois anneaux, dont un plus large, ainsi que deux petites boules de métal brillantes. Sur celle de gauche, c’est sensiblement la même chose excepté qu’un quatrième anneau vient s’y ajouter afin de relier une chaîne jusqu’à la lèvre inférieure de Judi qui est, elle aussi, percé. Judicaël est aussi percé au niveau du sourcil droit. La raison de se nombre ? Allez savoir… Ces piercings ne gâche pas pour autant la beauté de son visage, légèrement rondelet, il témoigne de l’enfant en lui et présente un nez parfaitement symétrique, si doux qu’il est un peu pointue montrant un aperçus de sa silhouette légèrement élancé, il n’est pourtant pas si grand, a peine 176 Cm. Cette même silhouette est dessiner par une peau maladive, pâle peut-être un peu trop, pourtant, Judicaël est frilliant de soleil ce doit être ce dernier qui ne l’aime pas puisse qu’il ne bronze que peu voir pas du tout. Cette peau est douce et presque parfaite si ce n’est de ces marques de brûles, ces cicatrices attirant l’attention du moins curieux marque personnel de Bam.
Non, Judicaël n’est pas à proprement dit un maître de la beauté, par contre, son physique à quelques chose d’attachant, quelque chose de léger et pourtant de lourd à porter. Un éternelle sourire sarcastique colore les lèvres bien dessinée de Judi. Musclé ? De muscles cacher probablement. Tout de l’être de Bam, du moins physiquement, donnerais à croire à un jeune homme totalement épanouis…Ce qui est loin d’être le cas. Presque Imbère, les rares poils qui ose montrer le bout de leur nez sur son corps, son rapidement supprimés ce qui accompagne beaucoup le côté provoquant de se qu’il projette au gens, peu de convention pour Bam… Sa peau si parfaite, si laiteuse, si belle est pourtant trahis par une brûlure , une cicatrice plus distingues que les autres : elle parcoure une grande partie de sa cuisse se mélangeant à celle qui trôneront éternellement au bout de ces doigts et sur la paume de sa main, cette main qui a tant brûler...

Description mentale: Le physique de Judicaël Schinken ne cache en rien sa marginalité, anormal, autant qu’il est amoureux de tous ceux qu’il rencontre, littéralement. Ces sentiments son si emmêlés au fond de son cœur, si embrouillés, que certain on totalement disparut. Judicaël ne connaît pas la pitié ni la tristesse. Il n’est jamais ridicule, ou du moins ne l’as encore jamais été. Son air supérieur, légèrement pompeux, témoigne de l’état de psychose maniaco-dépressive, sa bipolarité, son trouble cyclothymique. Judicaël à du mal à gérer se trouble, il le sait, il l’assume, comme tout ce qu’il fait. Ce qu’il est. Pourtant, qui il est, Judi le cache chaque fois un peu. Jamais vous ne pourrez dire : Le cul de la putain ma dit clairement … Vous avez manquez une partie de sa phrase, manquez une partie du casse tête, tant pis… À moins qu’il n’en ressente parfaitement l’envi, il ne vous expliquera pas, ne vous répètera pas. C’est moment de générosité si rare, c’est un «Rebel», un anti-conformiste, il déteste la normalité, les lois et la volonté de l’étique. À première vue, il vous paraîtra insensible, totalement blasé, sa démarche nonchalante, sa manière de vous regarder, se sourire mesquin, tout vous dira : ne m’énerve pas. Et le briquet avec lequel il joue toujours vous montrera à quel point il est facile de l’enflammer. Colérique ? Non, Bipolaire…
Le «cycle» de Judicaël est très inégal, L’euphorie laisse souvent place à la Dysphorie du jour au lendemain sans avertissement, sans que personne ne s’y attende. Souvent, il se montrera violent, par le feu, physiquement, psychologiquement, le plus souvent dans une phase basse. Excessif, il réagit au quart de tour et aime bien contrôler, diriger les sentiments des gens, leur manière de vivre, de penser, de respirer. Lorsqu’il entre dans une phase «Haute» il devient complètement euphorique, il ris pour rien, danse sous la pluie, fais des choses que personne ne croyais possible venant de lui, chante.
Il a une extrême confiance dans ses pouvoirs et son charme. Il est convaincu et convaincant. Il ne permet aucune critique devenant facilement irrité et colérique. Sur le plan affectif, il a des aventures pour le plaisir de plaire, de connaître le changement, sans penser aux conséquences possibles. Il a une absence totale d'inhibition et de tact. Aucune empathie de sa part… Il devient «Un autre Bam». Souvent, il hallucine, des voix, des images…Il en parle, toujours, encore, jase jase… Si son entourage essaie de le calmer ou de lui conseiller du repos, il devient irritable et considère que ce sont les autres qui sont malade. C’est ainsi qu’il traduit ces phases Hautes. Les phases basses, sont…étranges. Judicaël est si déprimer, qu’il se brûle souvent lui-même. Il parle seul, se répond, ne bouge presque pas, reste coucher peu importe où et reste immobile… Parlez lui, il ne répondra probablement pas ce que vous voulez entendre. Flasque, dans ces moments, il ne ressent rien d’autre que de la peine, il pleure, pleure et souvent parle de suicide. Ne vous inquiétez pas si vous le rencontrez la première fois dans cet état, ne vous inquiétez pas, emmener le à l’hôpital, l’hôpital psychiatrique… Là ou on le forceras à prendre ces médicaments. Non, Judicaël n’aime pas ces médicaments, il les hais les effets secondaire qui n’ont d’effets que sur lui : mal de cœur, mal de ventre, mais il les prend. Enfin…la plupart du temps.

Histoire : Carbamazépine:
- Contrôle des troubles affectifs, surtout bipolaires ou il y a non-réponse au Lithium.
- Traitement de la manie aiguë (55-76 % de réponse au traitement)
- Anticonvulsivant (particulièrement les convulsions du lobe temporal)
- Douleurs neuropathiques
- Antidépresseur
- Troubles dystoniques chez l’enfant
- Sevrage des sédatifs/hypnotiques
- Sevrage de l’alcool.
- Contrôle du comportement agressif (donné seul ou en association avec le Lithium, les neuroleptiques et/ou les -bloqueurs).
- En association avec les neuroleptiques pour améliorer les symptômes de la schizophrénie.
- Améliore légèrement les troubles de panique.
- Traitement du stress post-traumatique.
- Diabète insipide.

«Non mais c’est quoi tout sa ?»
«L’ancien fais pas effet…»
«ah ?»
Cette silhouette, si grande, si musclé, avec son regard tellement paternel : Ariel Schinken. Le père de Judicaël ? Le géniteur plutôt. Pour Judicaël, ils n’ont tous les deux jamais eu aucun lien de parentés. jouant de droite à gauche sur la mince et fine bordure du verre de vitre a demi remplis d’un vin rouge foncé sucré. Un verre qu’il traînait avec lui depuis une heure de l’après midi sans jamais en avoir pris une goutte. Un comme une tentation pour le jeune adolescent en sevrage. Parfois, sur certain médicament, l’alcool joue un rôle d’annulation. Les effets, s’en trouve dissipés, estompés et souvent –comme dans le cas de Judicaël- complètement avalés. Ce fait, expliquais son attitude agressive de la journée en plus de sa phase basse, sa mine basse. Le regard dilué de Judicaël buvait à grande gorgés le liquide rouge lorsqu’il attrapa le verre entre ces doigts, ces cinq doigts goûtant presque le liquide. Rien a faire, Ariel était formel, ces propres doigts, de sa main velus et viril, empoignèrent le verre et le posèrent de l’autre côté de ces cuisses. Le Judicaël Jambon se traîna malencontreusement à sa suite, le torse et les jambes toujours coucher sur le bois du balcon arrière. C’est de cette façon qu’il fit un trou dans son chandail rose bonbon, le premier trou d’un engueulement à venir. La casquette au couleur du drapeau de l’Allemagne se retrouva couverte d’un casque à écouteur qu’Ariel enfonça profondément dessus.

«Tien, sa devrais te dompter vilain.»
Dit le paternel poussant le bouton Play du lecteur Mp3 faisant ainsi jouer le Cd «grain de sable» du groupe Tryo. Orff…et puis merde. Ainsi fût débuter le shuffle. Les yeux de Judicaël roulèrent vers le ciel comme s’il cherchait d’où venait se song si particulier. Il ferma ensuite les yeux et finis par s’endormir sous le soleil. Ariel finis par partir, emmenant le verre de vin avec lui. Il fallait réglés le problème Bipolarité tout de suite et avec la mère du petit.
«Émilie ?»
Aucune réponse. Ariel se rendit dans la cuisine ou il trouva sa merveilleuse femme s’amusant avec la petite sœur de Judicaël ; Aline. Débuta alors une grande discutions durant laquelle la question des médicaments était au centre.

«Quoi ? Une nouvelle prescription ? Encore ?!!»
Apporte-moi mes cachets!
«On à pas les moyens…»
Serre bien ma camisole
«qu’est-ce qu’on va faire ?»
Accélère encore le son de ta voix
«Je sais pas. Je sais pas.»
Ma techno-délire psychédélique
«Reste qu’on peut l’interner…»
Apocalyptico-dramatique...

Fin, point barre. Judicaël bien endormis n’entendais rien du tout, apocalyptico-dramatique par Tryo. de ce qui se discutait dans le petit appartement. Il n’entendit pas Le boum de son père s’écroulant sur le sol… Comme quoi, il est possible que tout arrive en même temps. Alors âgés de 11 ans, Judicaël ne bougea pas, n’entendit pas lorsque sa mère pleura et que sa petite Aline criait au réveil de son père inconscient. On vient tiré sur son chandail, on vient le secouer. Agressif, Judicaël assigna un coup non calculer au creux de l’estomac de sa mère avant de tomber sur le corps de son père.
Les lasers t'étranglent et t'enfoncent leurs dards
Accourant paniquer Judicaël appela lui-même l’ambulance. Hurlant à l’oreille de la femme au bout du fils qu’elle n’était qu’une incompétente et que si elle ne bougeait pas son gros cul mou, il viendrait le bouger lui-même. Rien à faire, aucune ambulance de libre avant 20 minutes, un accident sur la route et un incendie ayant incaparé ces dernières. Ainsi toute la petite famille partis en trombe vers l’hôpital le plus près. La vieille voiture démarra au bout de 30 secondes de guerre. Pas question de chigné, peine 15 minutes plus tard, les voilà dans la salle d’attente. Judicaël pencher au dessus du comptoir criant par la tête de la femme de l’autre côté.

«MAIS JE MEN TAPE COMPLÈTEMENT JE VEUX UN MÉDECIN PUTAIN ! TOUT DE SUITE !!!»

Rien a faire, la femme voulait d’abord qu’ils remplissent un formulaire. Énerver, hériter et maintenant violent, Judicaël agrippa le collet de cette femme et la tira vers lui devant les cris horrifier des autres patients autours devant la lame qu’il traînait sur lui maintenant pointer vers cette femme : Nicolinne. Derrière, un cris retentit, la mère de Judicaël avait crié. Alors Aline, se leva et courut vers son frère duquel elle pris la jambe.

«Judicachounet !! Fais pas mal à la femme ! Fais pas mal à la madame !»

Le préadolescent laissa choir sa lame sur le sol et deux hommes vêtus de blancs l’agrippèrent par les bras, par derrière. Il regarda son Aline à lui alors qu’on le traînait vers l’extérieur de l’hôpital une larme roulant sur sa joue.

«S’il vous plait madame, il…il va mourir…»
La jeune sauveuse pria la femme de faire ce quelle pouvait que sa maman remplirait le formulaire bleu pendant qu’on soignerait son père. La mère approcha du comptoir rempli le formulaire les larmes aux yeux, le visage rouge de honte face au trouble de son fils alors qu’on emportait le père dans une salle plus loin. Ils ne purent le sauvés.

«Judicaël…Il...est…ton père est…»
«Je sais.»
Et ils pleurèrent. Aline, Judicaël et leur mère. Un mois plus tard, alors que le deuil était encore présent, commença la nouvelle vie des Schinken. Le manque de moyens financier finis par gagner la famille, ils déménagèrent dans un vieil appartement miteux vivant de la prostitution de la mère et du petit boulot à temps partiel de Judicaël qui, bien évidement, ne suivait plus ces cours. À peine il savait lire qu’il savait tout faire. Ainsi il travailla dans une petite épicerie à l’âge de 14 ans et ramassa les pommes de terres à 14 ans et 3 mois. À 14 et 4 mois, on leur enleva Aline. Le département de la protection de la jeunesse leur pris Aline ! Judicaël commença à négliger ces médicaments jetant la boîte par ‘’ accident’’ ou encore la cachant. Ces Hallucinations auditive et visuel se décuplèrent. Les voisins commencèrent à jaser sur le compte, Judicaël sortait peu voir pas du tout souvent pendant des mois et ensuite, il était incontrôlable et sortait tard, rentrait saoul ou avec des filles plantureuse.


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Judicael Schinken
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MessageSujet: Re: Judicael Schinken: Bam...   Judicael Schinken: Bam... Icon_minitimeDim 25 Juin - 23:56

«Fallait s’y attendre. J’ai toujours su que derrière chaque putain il y avait un cul. »

D’autre avait pitié d’eu et leur donnait une botte de salade ou encore un litre de lait. Mais tous ou presque avait peur de Judicaël et de ces élans de violence. Bien vite, trop vite, les gens ne le surnommaient plus que le cul de putain. Fait que Judicaël connaissait bien évidement, fait qui faisait son complexe. Chaque mois, chaque phase violente était marquée par une nouvelle victime du fléau. Au bout de quelques mois peut-être un an, l’état du cul de la putain empira. Plus le choix, ce que la maternelle génitrice de Judicaël essayait de retarder n’était plus repoussable. Judicaël fût interner à Godfather gentiment surnommer The F*cking God par les clients de ce lieux maudit. On diagnostiqua une nouvelle fois la bipolarité de Judicaël comme avancer à un stade incroyablement profond, les doses de Lithium et de Carbamazépine fut doublé, sans résultat, puis triplé. Les comportement suicidaire de Judicaël se clamèrent jusqu’à disparaître presque complètement.
C’est à Godfather qu’il connus Ariandre, Schizophrène débutant. Ces parents étant trop radicaux et ne lui accordant aucun intérêt, le firent interner plutôt que ce donner la peine de payer le peu de médication qu’il demandait, le peu, si peu, de médication dont il avait besoin. Bien rapidement, les deux adolescents devinrent proches et lointain à la fois, vu qu’Ariandre ne s’attachait à personne du a sa schizophrénie. Lorsque le cul de la putain semblait trop se rapprocher, Ariandre ce détachait totalement. Tout ce justifiait toujours avec eux.

Cette fois, C’est les draps du directeur et des infirmiers qu’ils firent brûler. Dans ces phases hautes, Judicaël pouvait toujours compter sur Ariandre pour l’accompagner dans ces stupidités. Ils avaient, Le bipolaire et le schizophrène, causer une bataille de nourriture contre la table des petites racaille paranoïaque qui avait inclus les dépressifs, qui avait ajouter ceux qui hallucinait des fourmis et des insectes et ainsi de suite jusqu’à ce que tout les infirmiers et infirmières présent doivent intervenir afin d’empêcher que la débauche ne se transforme en carnage, en tuerie de pudding. Discrètement les deux incontrôlable était monté à l’étage et avait forcé la porte des appartements du directeur armé d’un paquet d’allumettes et de briquets volés dans les poches des différents infirmiers qu’ils voyaient défilés jours après jours. Certains, il fallait l’avouer, était idiot, comment, pourquoi, oublier ce genre de chose dans ces poches dans un asile…pardon, un internat? Bien vite, le feu pris au lit entier. Comme c’était jolie toute cette couleur, cette chaleur enveloppante. Comment s’en passer. Là dans un coin de la chambre, Judicaël s’assit, gentiment et se mit à chantonner la chanson du jour de son internement; Appocalypticodramatic de laquelle il ne savait pas se passer. Le feu pris les rideau;

« Eh p’tit con?!
Qu’est-ce que tu fais là?
Dis –moi petit con
tu viens franchir le pas?»


Résonnait la voix de Judicaël alors que le feu gagnait le tapis de la chambre s’approchant dangereuse des deux adolescents complètement subjugué par la voix de Judicaël ;

«Mais t’ignore le parfum
Enivrant, Obsédant
Qui te couvre d’ivresse
te transforme en détresse
Et peut faire de ta soirée Comme une éternité à crier!»


Et voilà Finalement debout près de la porte les allumettes bien serrés au creux de leur petit poing murmurant toujours le même refrain. À la suivante. Ils firent ainsi brûler les draps de tout l’étage. L’alarme retentit soudainement lorsque la quatrième commençait à prendre feu, à bouillir de chaleur. L’alarme effraya Judicaël qui n’avait pas pris ces médicaments à l’heure déjeuner ainsi dans sa phase basse, il laissa les infirmiers le retourner dans sa cellule et le placèrent «au trou». Le genre de salle fermée, close, qu’on ne peut ouvrir sans la clé;

«Verrouiller la porte»
Le genre de salle qu’un bipolaire déteste, hait, maudit. Judicaël s’y plia, pas vraiment le choix. Là ces hallucinations s’aggravèrent. Il disait entendre la voix d’un sauveur qui lui disait de suivre le chemin des papillons, des insectes volant et de se jeter au cœur du lac, toujours, se noyer, encore plus profondément dans sa démence, d’en finir avec cette vie qui ne voulait plus de lui. La voix disait que s’il survivait à la noyade, il serait digne de monter au paradis, mais que s’il mourrait, il devrait vivre en enfer pour le reste de l’éternité. Persuadé de son existence, Judicaël réussit, à convaincre Ariandre que le démon dans sa tête existait. Une semaine, sept jours qu’il passa dans le trou avant d’être libéré. On lui ouvrit la porte blanche et Judicaël approcha, dangereusement de son psychiatre ; Kartoffel, susurrant au ombre la vivacité de leurs mouvements.

«C’est qu’il fait noir la dedans.»

Puis Ariandre le suivit, coller à Judicaël comme la maman chatte à ces petits. Mais les choses se calmèrent… Devinrent plus…Douce? Suite à un, deux, plusieurs entretient entre le psychiatre et son patient. La voix dans la tête de Judicaël finis par se taire, son état était, presque stable. Les séances psychiatriques d’Ariandre furent augmentées et sa schizophrénie diminua grâce au médicament et au fait que petit à petit, lentement, ce garçon prenait conscience de sa maladie. À un moment, Ariandre fût muté dans un «pavillon ouvert» et pour plus de sécurité, on y envoya aussi Judicaël, il semblait que rien ne pouvait les séparés, et qu’Ariandre, le pauvre, se sentait plus à l’aise avec lui qu’avec n’importe qui alors que du côté de Judicaël, il n’y avait qu’Ariandre pour lui faire prendre ces médicaments sans trop de débâcle, sans trop de violence. Que demander de plus?
La relation Ariandre et Judicaël suscita plusieurs, voir, presque trop de rumeurs, selon lesquelles, Judicaël et lui, vivrais une histoire d’amour passionnelle, ou encore que si on les séparait, l’un mourrait par manque de l’autre. Et finalement, c’est ce qui se passa non?
Judicaël n’avait pas sa place dans un pavillon ouvert, il était trop violent envers les spécialistes, trop pudique de ce qui se déroulait dans son cerveau et les spécialistes du pavillon trop peu habituer à traiter des pensionnaires d’un état si avancer. Alors, on retira le cul de la putain de la ruche, le remplaçant par un autre. Ainsi les 16 ans de Judicaël furent fêtés dans un pavillon fermé. Le même que pour ses 15 ans. Mais cette fois, cette ultime fois, cet anniversaire fût des plus particulier, une journée que le pauvre n’oublieras jamais. Cette fois, Aline était présente. Au travers de cette vitrine de plastique transparent, Le cul de la putain peut voir sa petite sœur, une fois unique…

«Judicaël?»
-Aline?
«Judicachounet!! Est-ce que sa va? Il te traite bien?!»
-Judicachounet…? Sa fait longtemps que je l’avais pas entendus celle là, disait-il un petit sourire fatigué accrocher aux lèvres, maltraiter par un mal de tête; T’en fais pas kleiner stern. (Petite étoile)
«Ta voix est toute basse…»
-Je sais.

La discussion évolua en causerie sur diverses rencontres hasardeuses, sur les anniversaires manqués tout les je t’aime familiaux ratés. Ainsi Judicaël apprit qu’Aline prenait des cours de flûte traversière et quelle vivait son premier amour depuis quelques mois, trois mois. La demi heure, si courte, passa et on vient retiré Judicaël à la conversation, sous leurs deux regards mouillés de souvenir qui ne s’effacerait pas, jamais. Judicaël se débattit, violent, sournois, ils se mirent à trois pour le retenir sous le regard effrayer de sa jeune sœur…Elle ne revient pas pour les anniversaires suivant, plus aucun…
Deux semaines plus tard, il apprit la flûte traversière. On s’étonna qu’il soit si doué, si talentueux...
Lorsque «l’évènement critique» arriva, Ariandre manquait de Judicaël, il ne voulait plus bouger, plus manger, plus respirer sans lui… On le retrouva étrangler, mystérieusement stranguler par une chaîne de lacets de souliers solidement noués les un au autres. Ariandre Schlange est donc mort par manque de Judicaël, manque de son seul ami. Si sombre cette soirée fût… Pour tous, et ce fut à Kartoffel que revient la tâche d’annoncer la nouvel à la pauvre créature. Étrangement, Judicaël ne semblait pas affecter par la mort d’Ariandre, au bout de quelques minutes durant lesquelles le cul de la putain réalisa l’ampleur de la perte qu’il venait de subir, encore, plus jamais il ne pourrait manger tout les deux… Ou regarder, observer, le coulis de la pluie sur la vitrine des fenêtres. Judicaël sentit les larmes lui venir au yeux et sans qu’il ne puisse les retenir, couler sur son visage. Kartoffel serra l’adolescent dans ces bras, entre ces grandes ailes viriles. Le cœur meurtris, le psychiatre réalisa les progrès que Judicaël venait de faire. Il avait pleuré, lui à qui ce n’arrivait jamais avait pleuré.

«Pauvre petit, pauvre petit.»
La barbe mal rasé de l’homme grattait le cou de Judicaël qui n’osait pas bouger. Pas faire un seul mouvement… La mise en terre, vu bien lugubre, bien noir. Ils y étaient tous; la mère d’Ariandre, ces deux petits frères et sa grande sœur, toute une famille réunis pour la mise en terre de l’un de leur semblable. Schinken ne pleura pas, aucune larme pour le cul de la putain.
Le psychiatre d’Ariandre, les psychologues, les infirmiers, quelques patients du pavillon ouvert, chacun une moue au visage, certain pleurait et Judicaël non. Envelopper dans sa camisole, il jura à la voix dans son cerveau, fit le serment, de venger la mort de son compagnon, son Ariandre, par tout le moyens qui avait sellés leur rencontre. Ils rentrèrent tous, les uns après les autres, excepter le cul de la putain qui resta là, assit dans l’herbe, sous la voûte de nuage noir de cendre qui bientôt éclata de sanglot, de pluie glaciale, mais personne ne vient le chercher. Judicaël passa toute la journée, perdit sa soirée à attendre qu’Ariandre se relève de sa prison de terre et de bois, jamais il ne se leva, plus jamais il ne se lèverait. On vient le récupéré à l’heure du souper, vers les 18hrs30, on le libera de sa camisole de force et lui permis de manger seul, comme il aimait le faire avec Ariandre, Comme lorsqu’il était en vie. Il avala à grande cuillère la soupe qu’on lui servie et se sentit même assez généreux pour manger le plat principal en entier, et même le désert passa. On laissa ensuite Judicaël se balader sans sa camisole pour le reste de la nuit à condition que quelqu’un sache toujours où il se trouvait, pour le retrouver. Heureux comme un poisson dans l’eau, le bipolaire retourna sur la tombe d’Ariandre ou il écouta Recréation de Tryo partageant ces écouteurs avec le mort, en enfouissant un peu celui de gauche dans la terre, vers la prison de bois. Puis il laissa le vieux lecteur de Cd sur la tombe et glissa l’autre écouteur dans la terre pour laisser à Ariandre le soin d’écouter ce disque qu’ils avaient tant partagé, si souvent échanger. Il finis par se relever et mis son plan à exécution. Il retourna dans sa chambre, dans sa pièce à lui, pris les disques de Tryo, les trois briquets qu’il gardait cacher, tapis dans une paire de sous vêtements, trois caleçons.
«Pour Ariandre, pour Ariandre… »

Dit-il lorsque Kartoffel lui demanda ce qu’il comptait faire avec des sous vêtements. Le psychiatre donna un nouveau câlin à Judicaël et le laissa aller, doucement. Qui se serait douté de se qui se passerais ensuite? Judicaël grimpa les escaliers qui menait à l’étage des chambres du personnel et y mit le feu, à toutes les chambres, les unes après les autres, sachant bien que les gens qui y dormaient, seraient blessés. Il sacrifia son briquet dans la cuisine, cette dernière pris feu, un autre briquet mourut à l’intérieur du pavillon ouvert et le dernier à l’extérieur. Porte verrouiller, Judicaël envelopper par la chaleur, le feu, Bam…

«Et ouais, on a des nouveaux collèges
Collèges de l'impunité on va faire des bons élèves
Les enseignants seront armés,
Les classes en bétons armé,
Quand à la cour de récré,
Conçu en fil barbelé.»


Chantait-il traçant un grand B avec le spray d’un produit qui prenait feu lorsque soumis à une chaleur intense, sur un mur de béton, sur un mur faisant face à la tombe de Schlange.


Dernière édition par le Lun 3 Juil - 18:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Judicael Schinken: Bam...   Judicael Schinken: Bam... Icon_minitimeLun 3 Juil - 3:25

Puis un grand A;

«Et ouais, enfin une nouvelle éducation
Travail, famille, patrie
Éduquons la nation
Vos gosses sont des Junky
On les jette en prison
Ce sont des mal poli
Qu'on des parents indécis
»

Et finalement un M ; Bam, tic…tic…Bam. Bien vite, les lettres se mirent à briller de feu, briller de flamme. Puis? Il s’enfuit. Courrant au travers du bois vêtu d’un chandail noir, simple, sans marque et d’un pantalon de la même couleur. Direction? Aline Schinken. Bam frappa à nouveau, Ainsi l’appartement de cette dernière brûla, elle survécut, blesser. Ainsi la presse s’en donna à cœur joie ; Bam! Le pyromane de St-Petersbourg frappe pour la première fois! la population à peur.
Les établissements brûlèrent les uns après les autres jusqu’à ce que Judicaël sente que le feu d’Ariandre fût compris par tous. Mais le feu, si doux, et les médicaments si rares chez Judicaël…Il alla voir sa mère, une dernière fois.

«Maman, j’ai plus de médicaments.»
«Judicaël?! Tu m’as fais peur, qu’est-ce que tu fais ici? »
«Maman, j’ai plus de médicaments.»
«ah…»
Par chance, peut-être malchance, Maman avait connaissance d’un psychologue, généreux, amoureux d’elle, corpulent, et aisément corruptible. Il accepta de créer une ordonnance non daté pour Judicaël et s’engagea à lui en fournir une nouvelle chaque fois que le besoin s’en verra sentir.
Le nom de Bam était maintenant le surnom qu’on entendait retentir dans toute les chaumières chacun affirmait que la prochaine maison à brûler serait la leur… Les journaux, la presse, vorace corbeaux avide de nouvelles fraîches, s’en donnait à cœur heureux, toujours une nouvelle première page plus choquante que la précédente.
Bam! Le feu par le feu!
Bam! un fou brûleur de rêves!
Bam!...BAM! Vous brûlerez!

Ainsi Judicaël se vengea sur l’usine d’imprimerie… Bam! La presse en feu. Maintenant qu’Ariandre était honoré, il le faisait par amour. Cette chaleur si douce qui l’enveloppait à chaque fois que l’un des immeubles brûlait était tellement rassurante… Dans ce monde si froid… Mais, chaque chose à une fin n’est-ce pas?

BAM! Explose une station service. Le propriétaire est tué dans l’incident.
La semaine suivant ce gros titre, ces grosses lettres grasses et cruelles, Judicaël retourna sur les lieux de la grillade, les lieux encore chaud. Il erra quelques minutes peut-être une heure, sans but, tout seul, son cerveau saturé par les idées et les phrases qui lui passait par la tête à cet unique moment. Lorsqu’un vagabond, un homme de la rue, s’arrêta. Il s’approcha du bipolaire sans poser de question, sans rien faire d’autre que regarder l’œuvre de Bam, celui qui ce trouvait tout près de lui.

«C’est pas beau joli han?»
Aucune réponse. Judicaël n’avait pas l’intention de s’étaler en moult et moult discussion, pas le temps. Sa mère à l’hôpital, il devait…voulait aller la voir dans la journée, avant la soirée. Mais l’homme ne s’arrêta pas là.

«Je sais pas qui c’est qui à fais sa mais c’est idiot. Le mec n’avait rien demandé à personne. Un honnête homme qu’il était, il me donnait à manger, souvent même que gratuitement en plus!»
Judicaël osa finalement tourner la tête sans émotion. Il n’en avait eut aucune depuis la vieille.
L’homme voulus continuer.

«Arrhe maintenant qu’il est …partit dans l’autre monde…erff vais recommencer à faire les poubelles han?! Qu’est-ce que t’en pense petit?»

Judicaël regarda le vieil homme barbu partir, s’en aller, sans répondre. Amusé. Comme si Judicaël y était pour quelque chose… Bam ne culpabilisa même pas mais compris le mal de l’homme. Même souriant, le vagabond n’était jamais certain du lendemain. Il arrêta de prendre ces médicaments, pour voir, vérifier si ce sentiment le prendrait aussi. Radical? Evidement, mais il s’agit bien là de Judicaël Schinken…le cul de la putain, Bam.
Puis sa mère mourut…
Dès la première crise rapide… l’incontrôlable fut isolé, interner, dans le nouvel établissement de Godfather; Dawn. Il y passa trois mois sous suivit médicale et son état fut cataloguer contrôlable… On l’envoya à Paris. Chaque semaines, Judicaël doit se rendre à l’hôpital faire par de ces progrès, test de santé physique et mental et un rapport est envoyer à Dawn. À la moindre erreur, la chaîne se brise et Judicaël retournera en Allemagne.

Bam

Talent(s) particulier(s): La flûte traversière. Il commença à jouer de cette dernière parce que sa sœur en jouait. Tout simplement parce qu’Aline en jouait. Et il est doué, très doué. Par contre, il ne joue pas souvent, si peu que c’est plutôt un miracle de le voir en jouer devant publique. Cette flûte, elle fût le premier cadeau que Kartoffel lui donna. Toute brillante la plupart du temps, elle traîne déboîter, en morceau au fond de son sac four tout, inutile, délaisser. Parfois, Judicaël joue sur la tombe de sa mère, en son honneur pour ce faire un peu pardonner, excuser de ne lui avoir jamais rien jouer avec cette dernière.
Maître de : Horus et Millie
créature que votre perso désire: Judicaël ne s’est jamais posé la question, n’a jamais fait attention au autre créature qu’à Horus ou Millie. Probablement qu’il les veux toutes… Peut-être qu’il n’en veut pas peut-être que oui. Il reste indécis sur ce point.
Traduction des noms::
Schinken:: Jambon
Kartoffel:: Patate
Schlange:: serpent
Kleiner Stern:: petite étoile
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Noah
Chef de la Thianra

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MessageSujet: Re: Judicael Schinken: Bam...   Judicael Schinken: Bam... Icon_minitimeMer 5 Juil - 13:18

Graouh ! Désolée de l'attente >.> j'ai eu un tas de truc à faire etc. Certes je raconte mas vie mais quoi ?

Donc très belle fiche, j'aime beaucoup le côté un peu dérangé de ton personnage et l'avatar *_*

Bref fiche validée ! Bon jeu !
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MessageSujet: Re: Judicael Schinken: Bam...   Judicael Schinken: Bam... Icon_minitime

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