Meow?

Après avoir quitté Tigar pour aller un peu chasser puisqu'elle avait les crocs. Elle avait su trouver un joli petit lapin qui c'était surement encore perdu. Surement un autre maitre indigne qui l'avait abandonné dans la rue en croyant qu'un lapin savait vivre dans la ville!Elle décida à contre coeur puisque c'était elle ou lui de le manger. Ce ne fut pas très long que le petit lapin poussait son dernier souffle. Ensuite de cela elle partit marcher quand elle vu la silhouette d'une école. Elle y était jamais allée elle mais elle avait souvent passée devant l'école proche de chez elle. Elle décida donc de s'assoir sur un banc fixant l'école d'une drole de facon. Elle réfléchit quelque instant sur son passé , sur son présent et peut être si elle avait de la chance son futur. Quel triste peinture que ce mixte faisait.. Soupirante elle décida de sortir de son étuit son ami le plus fidèle, son violon. Après l'avoir soigneusement placée elle prit l'archet en main et en laissa s'écoule une douce plainte mélancholique. De toute facon à cet heure du matin personne ne viendrait l'embêter les humains qui devraient se lever très tot pour travailler seraient trop pressé pour lui prêter attention. C'est ainsi qu'elle continua à emplir l'atmosphêre de cette douce plainte.

Personne excepter Judicaël, bam, le cul de la putain. Il n'était arriver à Paris, la ville lumière qu'il trouvait si sombre, si désuète que depuis peut-être deux semaines que déjà il s'ennuyait de l'Allemagne, de sa maison, de sa mère... Que pouvait-elle bien faire en se moment? Il pourrait peut-être l'appeler. Oui...Oui...un coup de téléphone pour entendre sa voix, bien que ce lui soit interdit, proscrit par les Kartoffel. Mais où aller sans que personne ne le sache?
Il c'était lever tôt, bien trop tôt, probablement parce que l'appartement qu'on lui avait fournis, n'était pas meublé et que le vide de ce même appartement l'avait obséder... l'avait peut-être même réveillé. Le cul de la putain était sortit, premier arrêt, le premier salon de coiffure qu'il croiserait. Une femme, sympathique, un peu lourde dingue, lui avait refais ces mèches oranges sur le devant de ces cheveux d'une façon leste, légère, sans hésitation.
Puis, deuxième arrêt, un téléphone. Mais où? Une cabine peut-être? Mais où? Bam marcha longtemps, sans savoir où il allait sans vraiment y faire attention, finalement.

Il portait un pantalon troué au genou droit, effiler aux coutures des pattes, délavées, qui -semblait-il - ''avait fait la guerre''. Maintenant dénudés de tout l'attrait qui avait fait que la putain du cul de la putain l'avait choisit pour couvrir se dernier,il n'en était pas moins le préféré de Bam, son favori. Aux pattes amples, ce pantalon se portait avec une ceinture noir de fils électriques que Judicaël avait récupéré temporairement en attendant l'arriver de ces vêtements rester en allemagne. Il y avait ajouter un chandail noir aux manches courte semi moulant au col ample et filet qu'il affectionnait tout autant que son pantalon. Sur son torse , en lettre rose et fine on pouvait lire : Mein Geschenk♥. Le cou ce plaisait d'être habiller d'un collier peu large à piquants au bout rond d'un centimètre et demi de long du quel pendouillait, lâchement, simplement quelques trois chaîne argents. Au tout une paire de converse all star complètement défraîchie s'ajoutait. En plus des piercings et du casque écouteur massif de Sony qu'il portait à l'envers (c'est a dire la barre dans le cou sur le devant) il ne pouvait avoir l'Aire d'un ange même dans le noir.

Il avait pris ces médicaments pour faire changement et n'était pas plus agressif qu'exalté, c'est ce qu'on appelait ''les phases normales''. Dans le cas de Judicaël une de temps en temps et on était heureux. Et se téléphone alors?!? Bam laissa ces pas le mener au travers des rues, boulevards, ruelles, endroit et lieux divers de Paris jusqu'à ce qu'il débouche dans un petit quartier résidentiel. Butterfly de Smile dk jouant dans ces oreilles à fond...
Ay, Ay, Ay, I'm your little butterfly
Il tourna à droite, suivant son petit instinct humain bête et idiot.
Green, black and blue, make the colours in the sky
C'est là qu'il la vit.
I've been searching in the woods
Une école. Primaire ou secondaire, il n'en avait rien à battre, rien à foutre,elle était toutes ou presque toutes dotés de téléphones publiques le hall d'entrer. Il s'y dirigea
And high upon the hills
Le flux si envoûtant de sa chanson d'arcade fût massacré par le son léger et rassurant d'un violon, un instrument à cordes, probablement petit.

Judicaël se dirigea machinalement vers le song alors que Messiah du défunt anime Angel Sanctuary décidait de prendre la relève, de poursuivre le massacre auditif. Au bout des quatre minutes 16 que durèrent Messiah, Judicaël stoppa son Mp3 et découvrir la petite chose, la petite humaine chatte qui laissait se song brouillé sa musique, noyés ses idées préconçues. Comment osait-elle ? Judicaël eut une pensée pour sa flûte traversière qui se trouvait tapisse au fin fond du fouillis de son sac mais ne bougea pas d'un pouce... Non, il bougea tout son corps... Il ce laissa tomber sur le sol et la regarda d'un aire totalement détacher, sans rien dire, sans rien faire. À voir et à ne faire...

(♥ mon cadeau)

Millie qui grâce à ses multiples sens félins avait tout dabord entendu se cri déchirant provenant surement d’un lecteur de musique. Le fait qu’elle l’entendait si bien devait être que son propriétaire l’avait mis assez fort. Ensuite elle le sentit , un humain , un jeune homme.. enfin sauf si ses sens la trompait. Elle ne réagit pas assez vite vu que son cerveau était prit dans la douce mélodie qui sortait du violon. Quand elle le vit enfin elle seccoua légèrement la tête pour cacher ses oreilles de félins mais la seule chose qu’on pouvait encore percevoir était les deux petites touffes de poils noirs caractéristiques aux lynx. Une chance pour elle ceux-ci étaient dotés de petites queues donc elle n’avait pas besoin de s’en soucier, celle-ci était bien planquée sous sa robe. Elle le regarda alors bizarement quand celui-ci se laissa tomber parterre. Qu’est ce qu’il faisait ? en plus à la fixer avec se regard , c’était soit un fou soit un drogué mais c’était un humain .. un être dangereux pour elle. Sa deuxième réaction fut alors de se crisper et faire un lèger mouvement de recul arrêtant progressivement de jouer du violon. L’idée de fuir ne lui traversa pas l’esprit pourquoi ? parce qu’il ne bougeait pas.. il faisait que la fixer alors pourquoi ?..elle le découvrirait surement bien assez tot…

Les pupilles de Judicael ne se dillatais pas, elle ne se dillatait jamais et son regard était vide, totalement vide. Comme si le cul de la putain était dans un autre monde, une transe ou les vagues du silence empoignait froidement son coeur le méllant à la dance de son cerveau et aux pas déjà tracer d'une arcade si bien préparés, comme si quelque chose d'obsédant le prennait en force sans que cela n'existe vraiment. Mais cette situation amusait Judicael, ce silence, la petite créature apeuré qui semblait vouloir disparaitre, partir. Oh oui, cette situation l'amusait tellement.
Judicael se risqua un mouvement; Il se mit à mordiller le percing de sa lèvre se balançant subtilement vers l'avant et l'arrière.Gentillement, doucement, profitant de ce moment pour déscendre ces écouteurs dans son cou. Comme sa au moins il pourrait être certain d'entendre quelque chose si la petite chose s'amuserait à pousser un petit cris, un petit mot,quelque chose. Et sans prévenir, sans rien laisser paraitre il se mit a rire.
Hilard, un rire nerveux, un peu éffrayant. Judicael se mit à rire pour rien du tout, parce que la situation l'amusait au plus au point. Et son mouvement de balancement s'accéléra tandisqu'il riait toujours. Rien pour l'arrêter.Il attrappa un tas de brins de gazon au passage sans cesser de ce balancer, sans cesser de rire. Avant de finalement s'arrêter , le tournis au coeur et le vide au ventre. Il observa encore la petite créature avant de la tiré près de lui.

«' Te ferais pas de mal petite toi, j'ai juste quelques trucs à te demander tu veux?»

Même si elle ne voulait pas...La voix de Judicael avait été brutale, peu rassurante mais pas froide, non, pas froide, jamais froide, dénudé de tout sentiments. Il se mit a jouer doucement dans les cheveux de la demoiselle. Ils étaient si doux ces cheveux, si soyeux... Le trouble du cul de la putain l'empèchait d'agir comme toutes les personnes normales l'aurais fait, personne ne se serait mis à jouer avec les cheveux d'une inconnue comme sa, personne ne l'aurait forcés à poser son derrière à côté de lui... Mais bam, voilà c'était Bam.

Millie était déja pas vraiment habitué de voir un "humain" de si proche que quand il se mit à la regarder avec son drole de regard et à subitement éclater de rire tout en ayant enlevé ses écouteurs pour surement entendre sa réaction elle poussa un petit geignement en tentant de fuir mais trop tard, le temps de réaction avait été trop long et il s'était emparé de son fragile poignet dans sa main et l'avait tiré auprès de lui. Avant qu'elle ne touche sol à quelque centimètre de lui il avait dit sa.. cette phrase qui l'avait fait frissoner.

«' Te ferais pas de mal petite toi, j'ai juste quelques trucs à te demander tu veux?»

Réflection faite elle ne voulait pas du tout. Elle aurait préférée prendre ses jambes à son cou et fuir le plus loins possible de cet être humain mais trop tard. Maintenant elle était trop proche de lui. Quand il approcha sa main elle eut un sursaut et tenta de se décoller mais il la retira près de lui. Elle baissa un peu la tête quand celui-ci se mit à jouer dans ses cheveux. Qu'est ce qu'il lui voulait? et puis pourquoi est ce qu'il faisait sa? c'était pas déja assez terrifiant sa présence de loins qu'il devait l'attirer tout proche et lui jouer dans les cheveux? vraiment elle souhaitait ne pas être partit en quête de nourriture et ne pas avoir tomber sur se fou. Elle releva donc son regard au pupille rétrécitent en un fin trait sur le jeune garcons attendant ses suposés questions.

Judicaël eut un rire nerveux, mal contrôler, mal retenus...Un rire de bipolaire? Lorsque que les iris , si fine du félin caressèrent les siennes toujours de la même taille. Le soleil ne lui brûlait ni la rétine, ni ne faisait rétrécir ces petite pierres noirs de jais, au fond de ces yeux, de son regard si...étrangement dément. Dénudés de toute douceur, Judicaël pris un des cheveux de la petite créature et tira dessus le gardant pour lui tout seul, son précieux, à lui tout seul. Il se mit à l'enrouler autours de son doigt , son index , au milieux tapant de sa phalange. Le tenant par un bout alors que l'autre avait du mal à rester enroulé. Judicaël gardait toujours la petite chatte à côté de lui par il ne savait quel pouvoir magique, quelle...idée préconçue. Les questions dans sa tête affluait, ne tarissait pas mais par où commencer? Par le début? C'était trop simple, trop...normal, jamais le cul de la putain n'aurait cette réaction d'humain normal.
Le téléphone? Pourquoi ne pas commencer par là? Parce que se serait avouer son trouble. Avouer qu'il avait besoin de sa maman...D'Ariandre.Il soupira s'énervant contre le cheveu qui ne voulait pas rester en place, qui ne voulait pas s'enrouler autour de l'index de Bam. Alors, pour se venger de ce vilain fils humain, Judicaël sortit un briquet de sa poche. Cette chose qu'il aimait tellement, argent, brillant...

«Moi je suis un humain...»
Il mit le briquet en marche s'amusant de la joli couleur du feu, de la minuscule chaleur rassurante qu'il sentait danser au creux de la paume de sa main.
«Mais pas toi...»
Il laissa s'évader un rire peu rassurant soulevant le cheveux qu'il pendait sur son poignet attendant de subir son sors.
« Dis moi, non Humaine, qu'est-ce qui se passe ici?»
Et le cheveux brûla, suppliant silencieusement une deuxième chance à la vie... Judicaël laissa le briquet allumer et l'approcha du visage de la petite Lynx.

Puis il éteignit le briquet donnant un coup de répits à sa chaleur. Le sourire narcissique de Judicaël s'éteignit en même temps que la joli flamme disparut, comme s'ils étaient tout les deux liés, le sourire et la flamme décédèrent ensemble. Mais l'aire déçus du cul de la putain revient à la charge alors que les doigts féminin de l'homme dansèrent entre eux à la surface du briquet argent. La voix de Judicaël c'était faite comme la flamme du briquet, chaleureuse, peu rassurante synonyme de démence et de ...on ne savait quoi... Les yeux de Judicaël ne clignèrent pas complètement à la moitié de l'oeil, les paupières revinrent à leur point de départ et la rétine de Judicaël pointa sur celle de la petite Lynx attendant en apparence une réponse certaine.

Le regard de Millie semble se perdre quelque instant dans le regard dément du jeune homme.Elle fut brusquement rapellée à la réalité quand celui-ci tortillant innocement quelque seconde plus tot un de ses cheveux lui arracha brutalement. Elle poussa un petit geignement plus surprise que blessée par l’acte de celui-ci. Elle attendait toujours « capturée et docile » la question qu’il voulait lui poser. Celui-ci semblait prendre son temps , il avait surement remarquée la crainte de Millie mais ne s’en souciant point car il la gardait contre lui. Millie eu un nouveau sursaut à l’apparition d’une chose qu’elle n’appréciait pas tant que sa , un briquet. Après l’apparition de celui-ci l’humain se décida à parler.

«Moi je suis un humain...»

Elle ne prêta pas grande attention à cette affirmation son regard rivé sur la flamme dansante qui allait apparue du petit objet métallique.La chaleur que l’objet dégageait ne semblait pas faire plaisir à Millie.

«Mais pas toi...»

Elle poussa un simple grognement à cette parole si. Elle n’aimait pas tant que sa que sa « condition » soit si mauvaisement énoncée.

« Je suis peut être pas similaire à toi mais j’ai des réaction, des sentiments et des actes qui sont appellé humain donc je le suis autant que toi… ».

Mais ceci elle préféra le murmurer au cas ou que son « kidnappeur » soit du genre violent.

« Dis moi, non Humaine, qu'est-ce qui se passe ici?» Il ne le savait pas ? il venait peut être pas d’ici…mais devait-elle vraiment lui dire ?… Elle soupira.

« Ceux de ta « race » croit que parce qu’ils ont joué avec nos ADN nous sommes suposément à eux… donc ils nous traques et nous prennent pour animaux domestiques… »

Elle continuait de fixer la flamme sans vraiment montrer qu’elle n’appréciait pas mais elle ne pu se retenir de reculer quand l’humain posa le briquet allumer tout proche de son visage. Par pur réflexe elle souffla sur la flamme la faisait s’étiendre.

Pauvre pauvre petite flamme... Judicaël sembla triste de la voir ainsi assassiné mais ne réagit pas autre que le regard violent qu'il lança à la non humaine, la...modifier Adn-nement .Il ne sentait pas l'envi de ce venger pas pour le moment du moins. Une petite vengeance à la fois, le cheveu avait payé sa dette, la femme viendrait après, plus tard. Il porta ces mains à son cou et détacha la bande de cuir à pique argenté qu'il portait, cette chose qu'il aimait tant, dont jamais il ne serait séparé. Il détacha ensuite l'un des quatre fils électriques qui retenait son pantalon, ce pantalon qu'il aimait tout autant que ce collier. Le fils portait des bouts métalliques légèrement rouillés cadavres de souvenirs de prises électriques de toute sortes, pris que ce même fils ne reverrait jamais. Habillement, le cul de putain accrocha se fils à l'anneau métallique qui retenait l'une des chaînes du collier. Ces chaînes qu'il trouvait si belle, si douce...Comme sa petite Aline...
La pensée de sa petite soeur le frappa de plein fouet, de manière brusque et sanguinaire. Mais le cul de la putain remplaça cette pensé par ce ''jouet'' qu'il fabriquait, ce truc qui servirait à sa vengeance.

Ensuite, Bam pris le fils électrique par l'autre bout, ce fils tellement long qu'il faisait deux tours autours de la tailler de l'adolescent, l'autre bout de cette corde et fit un nœud créant ainsi un bracelet dans lequel il glissa son poignet avant d'attacher ''sa vengeance'' autours du cou de la petite créature non humaine.
Voilà, maintenant Judicaël s'était ''fait'' une nouvelle amie et cette dernière serait à lui, à lui tout seul...SON jouet.

«Maintenant tu est mon animal.»
L'envie lui pris de lui trouver un prénom. Un prénom pour la nouvelle créature, mais le temps et l'heure n'était pas au enfantillage, pas le temps de trouver de nom , il lui fallait d'abord comprendre, savoir et...voir.

«und du bist, der eigentlich als Tier?♠»

Est-ce que les animaux de cet endroit parlaient Allemand? Bam détacha son regard de la ''laisse'' qu'il avait mit à sa nouvelle compagne. Allait-elle comprendre? Judicaël pris un aire sérieux presque profondément sincère et rejeta ces cheveux vers l'arrière, dégageant ces yeux, son regard si étrange ou une petite lueur brillait...

(♠et tu est quoi au juste comme animal?)

Elle eu un petit frisson quand il posa ses yeux après avoir eu une drole de réaction passagère quand elle avait fait s’éteindre la flamme. Elle ne comprenait pas ce qu’il était en train de faire avec son colier et ses fils électriques mais quand il approcha ses mains du cou de Millie elle se crispa et tenta de repousser ses mains mains manqua et se retrouva avec une « laisse » que l’humain semblait contente de lui avoir mit. Elle poussa un petit cri et tenta en tirant sur sa « laisse » de briser le fils.

Quand il prononca cette phrase, cette phrase horrible aux oreilles d’une créature. Elle regretta amèrement de lui avoir expliquer la situation qui se tramait ici. Elle le regarda d’une facon inquiète elle ne voulait être le « chat » de personne et encore moins de lui qui semblait un peu dément.

Puis elle se calma quand il parla dans une autre langue, de l’allemand vu l’éducation de ses parents qui s’était basée sur la musique, la vie et les langues elle comprit le sens de cette question puis détourna le regard en agitant ses deux petites oreilles au bout desquelles une petite touffe de poils noirs tronaient fièrement.

« Je suis un lynx… enfin…croisée avec un lynx… »

C’est après cette phrase que son regard s’encra dans le sol pour ne pas se relever.

En fait, Judicael ne remarquait même pas ce que pouvait resentir la petite créature, il n'en avait, au fond, strictement rien à faire...Alors, elle avait beau se débattre autant quelle voulait, Judicael lui metterait coute que coute ce petite collier de sa composition. Une capture fort simpliste, mais tellement agréable, tellement...facile. Restait à l'apprivoiser maintenant. Son petit chaton semblait fort déçue, un peu triste de cette capture...Judicael caressa sa petite tête entre ces oreilles en écoutant attentivement les mots, les paroles, captant chaque virgule de sa voix. Un Lynx? Ohh!! Le cul de la putain n'en fut que plus exciter. Il c'était trouver un petit animal, pardon, une petite animale, une petite minette sensible et douce comme sa maman mais pas n'importe quel type, un chatton sauvage! Plus tard, Judicael irait lui achetter un véritable collier et une laisse assortie pour sa petite protégée, sa petite...ah oui, elle n'avait pas de nom. Que de détail, peu d'importance, Judicael se ferait un plaisir de lui en trouver un beau allemand plus tard...
Il pourrait peut-être faire un élevage. Un élevage de petite créature à moitier Félidés avec des prénoms allemand!

Le cul de la putain sourie sans cesser de caresser la tête de sa chouchoute repensant cette dernière scène dans sa tête, repensant à toutes ces petites choses qui venait de ce passer. Et maintenant, le téléphone, sa mère...Oui, il voulait absolument apeller sa mère. Il se releva la laisse toujours en main et regarda la petite Lynx du haut de ces jambes, du haut de ces échasses naturelles et purement humaines.
Schinken s'étira portant ces mains à toucher le ciel au dessus de sa tête, au dessus de cette boite tordue.

«du weißt, ob es ein Telephon gibt öffentlich das Innere?♣»
Lui demanda-t-il de la même voix, une question qui sonnait plutôt comme une affirmation. Une affirmation qui se voulait amicale. A tien...öffentlich (publique) sa sonnait bien pour un petit animal non? Judicael soutient le regard de sa protégée ce demandant si elle allait se lever ou faire la sieste...Dans les deux cas, il ne la laisserait pas toute seule, pas solitaire dans le rayon du soleil. Il ne pouvait risquer quelle ne prenne la décision de s'enfuir, vers sa véritable famille, elle n'en avait pas le droit...
Enfin, oui mais pas pour le bipolaire. Judi lui, n'avait pas le droit de voir sa maman et sa soeur ne voulait plus rien savoir de lui alors que son père était...ailleurs. Alors , offentlich non plus n'avait pas le droit! Tel en était sa décision définitive.
Il pointa ensuite l'école du regard et espérait bien évidement que sa mère, sa maman recoive son apelle ignorant totalement l'existence d'un quelconque décalage horraire...
(♣tu sais s'il y a un téléphone publique la dedans?)

Millie voyait bien qu’il se foutait un peu qu’elle gigotte, il fini par lui mettre le collier ignorant ses sursauts ou chignement. Elle releva peu après son regard quand celui-ci se mit en quête de la flatter. Surement pour qu’elle arrête de faire cette tête d’enterrement. Quand sa main se posa sur la frêle tête de Millie ses oreilles automatiquements s’abaissèrent pour laisser toute la place à cette main. Il semblait avoir apprécier qu’elle soit un lynx et pleins de scénario différent semblait débouler dans la tête de son nouveau maitre, ceci créa un frisson et un petit regard inquiet de la part de la féline. Qu’est ce qu’il pouvait bien imaginer à cet instant ?

Elle sentit un peu les mouvements de la corde quand son maitre se leva lui leva les bras au dessus de sa tête. Il semblait vouloir bouger elle se leva donc doucement regardant ce qu’il lui pointait. L’école ? il cherchait des téléphone publique…Dans ses souvenirs elle était rentrée qu’une seule fois dans une école tenter par sa curiositée.

« Si c’est pareil que dans mes souvenirs … il y en avait dans l’entrée.. »

Puis vu qu’il cherchait sa elle décida de le suivre s’il commencait à se diriger vers l’école.

Judicaël sourit à Millie et caressa une nouvelle fois sa petite tête, ces cheveux si doux, si soyeux. Si Aline-esque. Le cul de la putain enfouis sa main dans sa poche d'un geste leste et machinale, la laisse de Millie toujours après son poignet .Si doux était le souffle du vent matinal sur la peau de Bam qui savourait sa caresse alors qu'appocalipticodramatique osait chatonner au abord de ces tympans. Remonter les écouteurs n'avait été que simple, facile vu que prendre causette avec sa nouvelle créature ne lui tentait gère, pas envie, musique agréable...

Bientôt la musique pris le dessus et au fur et à mesure que les pas lents, léger, dansant de Judicaël marquait le sol, la chanson avançait et chantonnés sur les paroles devient aussi simple que de remonter ces écouteurs, qu'un bonjour amicale. Qui aurait cru que le cul de la putain s'avancerait pas à pas, une demi humaine demi lynx à sa suite, sa voix mi agréable mi inclassable s'élevant dans l'aire environnant. Mais bientôt une porte, puis le hall.
Et Judicaël sentit son cœur battre à tout rompre, sa mère était si loin, sa voix bientôt si près de son oreille de son tympant.
Une pièce et quelques autres.
Sa maman,seine kleine geliebte Mama(sa petite maman chérie).
Et le numéro composer , le son, une chanson de tonalité... Aller décroche.
Et puis sa voix, si douce, si...Schinken.

*«Guten Tag?»
**-Mama...
***«Judicael? Mein kleines Ganzes, meine Fäden! Wo bist du? Das geht gut? man sagt mich, daß du nicht mich rufen könntest Wie hast du machst? Du nimmst deine Arzneimittel wenigstens? Und Ariandre?»
****-Mama...du versäumst mich
•«Mich auch ich liebe Dich sage mich, wo du mein Lamm bist?»
-A paris maman.

Et la conversation fût couper.Encore ce bruit de tonalité et les larmes qui montèrent au yeux de Judicael trop pauvre en petite pièce de monais pour avoir fais duré la conversation plus longtemps. Il sentit les larmes lui montées au yeux sans qu'il ne l'est réellement voulus, insensible, larmes étranges qu'il ne voulaient pas... Et pourtant ces petite perles salées glissèrent sur ces joues alors qu'il tenait encore le combiné du téléphone contre son oreille tandis qu'une femme lui priait gentillement de racrocher le combiner, d'enfoncer sa carte d'appeles ou de glisser des pièces dans la fente prévue à cet effet mais rien a faire, le bipolaire était figer, glacés. La voix de sa mère, Judicael l'entendait en échos dans son esprit. Lorsque ces jambes se dérobèrent.
Il tomba, faillit, à genoux sur le sol une petite douleur vive le prennant sans prévenir, sans être prévue. Le cul de la putain n'en avait rien à faire, jamais, toujours insensible à la douleur.Les écouteurs dans le cou et les larmes sur ces joues, Judicael ne faisait même plus attention à la précense d'offtenlich, de Millie. Il essayait machinalement de cacher son visage derrière les mèches oranges qui tombait devant ces yeux. En vain, Rien à faire, baisser la tête ne mênnait à rien, au vide, aux larmes.
...Bam.

*Bonjour?
**maman
*** Judicael? Mon petit, mon fils! Où es-tu? ça va? on m'à dis que tu ne pourrais pas m'appeler!Tu prends tes médicaments au moins? Et Ariandre?
**** Maman...tu me manque
• Où es-tu mon petit agneau?

Millie ne tarda pas à suivre notre cher fou vers l’école. De quoi s’attendre de plus de son nouveau maitre ? il l’ignorait déjà, il avait remit ses écouteurs et avait avancés sans vraiment attendre de rétissance de Millie. Oui elle était docile mais à quel point ? au moins il aurait pu lui porter un peu plus attention mais on aurait dit qu’il avait prit pour acquis qu’elle ne se débattrait pas pour sa liberté. Alors elle s’arrêta un peu juste pour braver son autorité. Elle se planta net et ne bougea pas attendant sa réaction. Puis après avoir braver son autorité elle finira par le suivre… bon il passerait son coup de fils et après cela peut être qu’elle pourrait tenter une fuite… oui parce qu’elle ne voulait pas vraiment être un chat domestique… Puis elle le regarde faire , composer puis attendre comme si cet appel était une question de vie ou de mort. Il tentait bien de cacher tout ses sentiment mais en quelque sortent les sentiments ont des odeurs qui est difficile de cacher a un nez sensible. Elle l’écoutera donc parler, il appellait sa mère… élèment crutial dans la vie d’un enfant et elle semblait avoir une place très importante dans la sienne. Puis la ligne semble avoir couper parce qu’une sorte de brume semble avoir envahit ses deux grand yeux. Puis elle le sent un peu trembler comme s’il contenait quelque chose de dur à retenir. Puis voyant les larmes couler sur ses joues elle fige un peu, les larmes lui ont toujours fait mal à voir et puis doit-elle réagir ou il le prendra mal ? elle ne sait pas vraiment puis assistant à la scène sans vraiment réagir elle le voit flancher, tombant à genou puis se cacher. Il ne semblait pas vouloir montrer qu’il était humain et qu’il pouvait pleurer. Mais bon les larmes ne disaient pas que vous étiez « humain » juste que vous pouviez avoir mal et être blessé. Elle fini par réagir s’agenouillan en face de lui puis en le prenant dans ses bras. Ses deux bras firent facilement le tour de Judiceal qui ne semblait pas très « gros ». Tête contre tête elle ne s’avait pas vraiment comment il allait réagir à se contact rapproché mais elle s’attendait à tout.

"... pleure pas..."

Judicael se détacha complètement d'offentlich. Il n'avait besoin de personne!! Jamais, jamais...Il ne lui répondit même, la tête ailleurs, la tête avec sa mère, avec Adriandre, dans les nuages...Les nuages allemands.Il n'avait pas envie d'en parler avec le chat, pas envie, jamais envie d'en parler. Il ravalla toute ces pensées et poussa violement la pauvre bête loin de lui, brusquement.Puis il l'emmena avec lui remontant les écouteurs sur ces oreilles montant le volume de la musique à fond. Probablement qu'Offenlitch pouvait entendre le bruit de sa musique, beaucoup trop forte, la voit modifier par ordinateur, si les cochons dindes chantaient, c'est ce genre de voix qu'il devait avoir.

I need, I need you,I need you,I need you on the floor
Le sol déffilait sous leurs pas, les larmes avait cesser de coullés, plus du tout d'humiditer sur ces joues. Tout ceux qui croisait son regard, ces yeux, se frottait à de la colère pure, de l'envie, de la jalousie et de la haine envers les psychologues, les ailes, la bipolarité.
I need, I need you,I need you,I need you on the floor
Les maisons se dispèressèrent pour laisser place aux arbres.Et la chanson passa à la suivante.
Hey Mister Wonderfull how you are incroyable.
Si vraiment il avait eut le choix, Le cul de putain se serais retrouver loin de toute la civillation, en forêt. Une forêt Allemande. Loin de sa mère, loin de tout le monde tout seul avec son trouble.
Kiss me, cause Only you can make me happy
Mais la civillation le ratrappa bien assez vite. Les pas de Judicael devienrent plus rapide, plus brusque...Un skip rapide. La chanson ne l'interessait plus...
Bien vite, il se retrouvèrent pile à l'endroit ou Judicael le voulait...Le magasin animalier.