Prénom:Laïna
Surnom:Flèche
Âge:16 ans
Clan: Ben si c'est possible de faire parti de la thianra, je veux bien, sinon c'est pas grave.
Croisement: Léopard
Description physique:Laïna est ce que l'on peu appeler le type panthère dans toute son éloquance. Fine et élancée, sa démarche est celle du félin qui se tapi dans la brousse pour entrevoir une proie en toute discrétion. Son métissage avec un léopard ne se remarque pas au premier abord attendu que ses petites oreilles qui ressortent de sa chevelure fauve ne sont pas tâchetées comme ceux de son éspèce. son regard trahi celui d'une panthère et ses yeux sont couleur de braise ardente. Toute son attitude est à la fois féline et féminine ce qui attire beaucoup les regards qu'elle affronte avec toute la pudicité et la prestance de son jeune âge. Bien que son corps devienne celui d'une jeune femme magnifique, son visage garde ses traits enfantins de petite fille. Ses cheveux lui retombent sur les reins en cascade et sont rarement coiffés, le peigne étant pour elle un véritable instrument de torture. Son visage est craintif mais laisse très souvent la place à un sourire rieur lorsqu'un être lui parle et sa queue de léopard remue sans cesse.
Description mentale:Elle est entre l'enfant et l'adulte. Candide et joyeuse, elle sait toutefois prendre des décisions réfléchies lorsque la situation l'exige. De son caractère enfantin, elle garde son émerveillement aux choses qu'elle découvre avec une innocence déconcertante. Elle est curieuse de tout et sa franche naïveté en a séduit plus d'un. Elle est très sentimentale et lorsqu'elle s'attache, gare à ceux qui voudraient tenter de s'immicer sur son territoire. Mais en revanche, elle ignore le vice même si elle l'a souvent cotoyé et garde en elle l'adage que le monde est beau et gentil. Toutefois, elle a conscience que ses rêves et la réalité ne cohabitent pas. La haine qui se déchaine autour d'elle la fait souffrir mais elle n'en parle pas. Elle se contente de garder son sourire et de dire à qui veut l'entendre que tout ira bien. qu'un jour, le monde pourra vivre en paix avec une totale harmonie entre les différentes éspèces. Elle a facilement confiance et peut se laisser mener par n'importe qui s'il lui promet la paix. Pourtant, derrière cette apparente crédulité, se cache un être bien plus profond. Elle obéit à une philosophie de vie stricte mais n'oublie pas que parfois, il est nécessaire de se battre pour conserver ses croyances. Elle est capable de mettre sur pied une véritable stratégie de contre-attaque en seulement quelques minutes mais elle n'aura jamais l'idée de créer une offensive la première. elle excelle en particulier dans les combats de corps à corps où le jeu psychologique qui peut s'en dégager l'attire particulièrement. Le chaton tendre et innofensif peut ainsi révéler un véritable félin enragé. Elle chérie les matières artistiques en générale. Danse, chant, dessin, tout y passe. Elle possède du reste un véritable talent dans chacunes des matières qui en réalité lui permettent de fuir la dure véracité de la vie quotidienne. Elle aspire à la paix et bien que visiblement non violente, elle ne veut pas de domination. Elle est cependant prête à aider tout le monde, êtres humains comme créatures. Sa puissance physique est en outre impressionante et elle est championne dans l'art de la course.
HistoirePar un matin de printemps, des cris se firent entendre dans la forêt. L'annoncement d'une naissance prochaine sous le regard attendri du père qui restait auprès de sa compagne pour essayer de la calmer. Ils étaient si heureux. Leur amour donna bientôt le jour à une toute petite créature étrange. Ses deux oreilles étaient rousses et sa petites queue avait la couleur des léopards normaux. Elle fixait le monde autour d'elle sans emettre de son, ce qui inquiéta quelque peu ses parents. Lorsque son père tenta de lui faire peur pour la faire crier et s'assurer qu'elle était en bonne santé, la petite se mit à rire aux éclats, signe qu'il n'y avait pas lieu à un quelconque affolement. Son père lui sourit et l'embrassa tant sa fierté était comblée. Ils décidèrent de l'appeler Laïna. Les premiers mois se déroulèrent dans la joie la plus intense. La petite se révélait hardie et il fallait sans cesse que le regard de l'un de ses parents se pose sur ce qu'elle entreprenait. Personne ne venait jamais dans cette partie de la forêt mais la vigilence était de mise. L'adage le disait:"on est jamais trop prudent." Cependant, même si cette partie était restée sauvage, le gibier n'y abondait pas et il fallu un beau jour, se décider à s'éloigner des Terres pour trouver à manger. Le mâle prit en charge cette mission, certain que sa femme et sa fille étaient en sécurité. Il parti, l'esprit tranquille mais en ayant bien indiqué les consignes à suivrent au cas où. Quelques jours plus tard, alors que Laïna explorait le haut d'un rocher, des bruits se firent entendre. Pas le genre de bruits familliers d'un forêt normale et qui se respecte mais des bruits étranges mélés à une odeur angoissante. Surprise, la mère cessa toute activité pour ce concentré sur le danger. Elle ne mit pas longtemps à réagir. Ils étaient là. Pourquoi? Elle l'ignorait mais si elle tenait à sa vie et à celle de sa fille, il lui fallait fuir au plus vite. Elle s'approcha de sa fille doucement pour ne pas l'effrayer
-"Laïna? Si on jouait à un jeu!
- D'accord! A quoi tu veux jouer?
- On va faire la course, tu veux bien? Celle qui arrivera la première à la cachette de papa! Mais nous ne serons pas seule ma chérie, il y aura d'autres personnes. Ne t'en occupe pas, contente toi de courir jusqu'à l'arrivée. Et surtout, il ne faut en aucun ca, aucun, tu m'entends, que ces individus te rattrapent. Il ne faut pas qu'ils te voyent, ni maintenant, ni jamais, d'accord?"
Bien que la petite ne comprit pas pourquoi, elle acquiéssa et se mit sur ses petites pattes. Sa mère l'embrassa tendrement avant de lui dire de s'élancer. Elle s'éxécuta, sa mère prenant sa suite. Laïna avait beau faire la taille de trois pommes, sa rapidité n'en était pas moins véloce. Elle entendit plusieurs bruits d'autres courses et soudain un bruit sourd. sa mère cria, elle se retourna. Plusieurs hommes sans apparences félines se précipitaient vers elles. Sa mère était à terre et ne bougeait quasiment plus. Laïna comprit que ce n'était pas un jeu, ou tout du moins, il ne fallait pas perdre. A contre coeur, elle laissa sa mère et s'enfuit dans les profondeurs de la forêt. Elle se prostra dans une petite caverne et y resta, paralysée par la peur et la tristesse. Où était sa mère? Qu'en avaient-ils fait? Pourquoi les avaient-ils traqué? Et son père? Pour la première fois elle pleura. Lorsqu'enfin son père la retrouva, elle lui sauta dans les bras et s'accrocha à lui. Il pleurait aussi et lui rendit son étreinte. Ils étaient seuls maintenant. Maman ne reviendrait plus. Malgré cet épisode tragique, son père l'éleva dans la tolérance et le calme. Il lui apprit tout sur la chasse, la fuite, les techniques de combats au corps où à l'arme blanche. Il lui enseigna aussi l'organisation et la philosophie, la lecture, l'écriture, les mathématiques, le chant et tout ce qu'un bon père de famille monoparentale pouvait inculquer à sa fille unique. ils étaient si heureux tous les deux. Mais toute chose possède sa fin. Elle allait sur ses huit ans lorsqu'elle eut l'envie inintelligible d'aller voir ce qu'il y avait au bout de la forêt. Elle partie en ayant soin de laisser à son père un mot lui expliquant la situation pour ne pas qu'il s'inquiète. Elle lui promit de revenir dès qu'elle aurait apprit ce qu'il s'y faisait. A son arrivée, elle découvrit une immense cité où des milliers de personnes s'affairaient. Elle qui avait toujours vécu dans un paradis désert sentait monter en elle un vertige incommensurable. Intimidée, elle resta cachée à l'entrée de la ville quand une bande de personnes armées de fillets et de cages se jettèrent sur elle pour l'attraper. Elle leurs échappa mais sentit une corde se refermer sur son cou, qui manqua de l'étrangler.
-"Eh bien ma jolie, tu vas où comme ça? Soit pas timide, on va te trouver un maître qui va te dresser sale féline!"
L'homme se mit à rire d'une voix forte, suivit de ses compères. Où l'emmenaient-ils? Décidément, ces créatures ammenaient la peur partout où ils passaient. Elle fut revendu à prix d'or sur un marché où de nombreux de ses semblables s'entremélaient. Tous semblaient être ce que son père lui avait nommé esclaves. Et elle en faisait dorénavant partie. Elle regretta d'avoir laissé son père, mais s'était là l'instinct de la jeunesse de croire qu'ailleurs, c'était mieux. Elle atterrit chez une vieille grand mère et sa fille. La mémé était gentille et elle la prit très vite en affection. Elle lui passa un collier autour du coup en lui expliquant que maintenant elle vivrait avec. La jeune fille trouva cela très estétique sans compter que la fille de la mémé lui apprit à se vêtir correctement. Elle lui trouva un magnifique corset noir broder de surpiqûre rouge, et une petite jupe courte et plissée. Elle la coiffa, devint sourde par les cris que Laïna poussa et garda quelques cicatrices laissées par les giffes incogrues de la petite. Malgré cela, Laïna fut choyer en échange des services qu'elle fournissait avec le plus grand dévouement. La fille se maria un jour et partie vivre ailleurs, laissant l'enfant et la grand-mère seules. La vie continua jusqu'à ce que la mort ne vienne récupérer l'âme de la vieille femme. Laïna avait 11 ans. Elle fut revendue à un homme cette fois. Il était grand, musclé avec un regard d'un bleu de mer profonde. Il était beau et il en profitait. Il ammena Laïna dans une villa où il la fit rentrée par derrière. Puis, arrivés dans une pièce bien éclairée où un autre homme attendait, il la déshabilla et la fit osculpter sous tous les angles, jusqu'à la vérification de sa virginité. Laïna, bien que réfractaire, se laissa faire, se disant qu'il devait tout simplement vérifier sa santé comme l'avait fait la vieille dame du temps de son vivant. Elle décida de lui faire confiance. Elle fut nommée dans l'arrière maison, où plusieurs autres filles travaillaient. Ce qu'elle ne comprenait pas, c'est qu'ormis des jeunes filles félines, il n'y avait personne d'autre. Des hommes "normaux" passaient de temps en temps au bras de l'une des filles. Jamais les mêmes. Mais elle s'en moquait. Son maître était content d'elle, c'est tout ce qu'elle voyait d'interessant. Il la flattait, la prenait sur ses genoux et puis il commença à l'embrasser voir la tenir de façon étrange, ce que Laïna n'appréciait guère. S'était son maître et en plus, elle ne souffrait pas se faire tripoter comme ça. Pourtant elle aimait se blotir contre lui quand elle avait envie. Jusqu'au jour où il alla vraiment très loin. Laïna devint alors violente et prête à tout pour se défendre. Elle employa les techniques que son père lui avait apprit et s'enfuit, le collier restant bloqué à son cou. Elle partie loin, très loin. Elle changea de pays, vagabonda sur les Terres, erra dans le monde en savourant sa liberté retrouvée. Pour autant, aucune haine, aucune rancoeur ne vint obscurcir son âme. Elle grandit, n'ayant plus en tête que de retrouver le seul être qu'elle ait jamais aimé: son père. Elle ne se souvenait plus où il était et peut être avait_il bougé depuis. Elle s'en voulait tellement. Comme il avait dû être malheureux. Elle voulait trouver une famille et vivre en paix, avec si possible, son père à ses côtés.
Talent(s) particulier(s): Le combat, la course et les arts.
Style de combat:Toutes les technique de corps à corps et les armes blanches.