Puttee [Humain]

Nom : Dendeleïev
Prénom : Osman Pacha
Surnom : Puttee
Âge : 36 années
Clan: //
Description physique: Ah, Puttee… En plus d’avoir un caractère difficile comme vous verrez plus bas, son physique n’est pas des plus engageants. Il n’a franchement rien d’intéressant, normalement. Une peau claire toutefois légèrement halée, au grain épais formant des cales rugueuse sur ses mains et ses pieds, une tache de vin qui lui mange une bonne partie de sa joue gauche et continue sur son épaule. Ses cheveux, d’un brun des plus banal normalement et coupés n’importe comment, un champ de bataille parsemé d’épis fous, sont souvent teints en différentes couleurs, passant du vert au orange du jour au lendemain, au grand daim de son patron qui aimerait aussi qu’il arrêt de les attacher en de ridicules petits couettes partout sur sa tête. Ses yeux sont verts. Oui, verts, mais d’un vert si sombre qu’il en paraît noir, et d’un noir qui n’a rien d’attirant, qui ne brille pas. Deux grands yeux sombres protégés par deux long sourcils, quasiment toujours froncés, ridant ainsi son front et ne faisant que rajouter de l’ombre à sa personne. Suit ensuite un nez épaté, mais cela n’est pas naturel. Il a été maintes et maintes fois cassé qu’il a prit cette forme que l’on qualifierait d’asiatique sans qu’il n’ait pourtant une goutte de sang venant des pays du soleil levant, mais ce n’est pas pour cela qu’il est disgracieux. Non, il en est même charmant, constellé de taches de rousseur qui renforcent l’idée de grand gamin qu’on a de lui. Puis s’ouvre en dessous une large bouche légèrement balafrée sur sa gauche, risquant de s’ouvrir à tout moment quand Puttee sourit, dévoilant ses dents blanches et bien rangées. Souvent certains l’on prit pour un de ses mutants qui gambadent dans nos rues, du fait de ses grandes canines démesurées. En tout cas cela ne l'embête pas d'être comparé a une bête sauvage, c'est tellement... raaawrrr... Mais ce n’est pas la seule chose qui caractérise son sourire. Il possède les dents du bonheur. Oui, cet écart entre les deux dents de devant, plutôt prononcé chez lui. Mais vous ne risquez pas de le voir souvent dévoiler ses belles dents, non. Rarement il ouvre la bouche, à part pour dire oui, non, ou recracher la fumée de sa pipe. Une fumée épaisse qui s‘est imprégnée en lui, qui le suit partout. Une odeur de tabac qui en camoufle une autre. L’opium. L’opium qui a rendu sa mâchoire si carrée, la drogue qui 24h/24 lui explose les pupilles. Qui l’aide à supporter.

Mais passons donc se vice que Puttee ne prend même pas la peine de cacher et concentrons nous à présent sur le reste de son corps. Il faut le dire franchement, l’individu en question est athlétique sans que cela fasse bœuf pour autant. D’une taille environnant le mètre octante, l’homme possède des épaules carrées digne d’un footballeur américain, dans lequel est solidement implanté son large cou à la pomme d’Adam bien présente. Son torse est finement musclé, comme on le devine sous ses chemises ce qui ne manque pas de faire fantasmer ses collègues. A ses bras puissamment musclés suivent de grandes mains souvent ornées de chevalières, et à son bras droit pend une gourmette en acier à son nom, de laquelle il ne se débarrasse quasiment jamais au même titre que le collier au grosses perles noires et blanches qu’il porte autour du cou. Ses jambes sont étonnamment longues pour quelqu’un de son gabarit, ce qui rajoute la souplesse qui manquait à sa silhouette.

Style vestimentaire, Puttee laisse aux autres les habits complètement farfelus, et la plupart du temps est vêtu d’une chemise cravate tout à fait respectable ce qui contraste avec sa tête de mauvais gars. Mais si parfois il doit revêtir autre chose, vous le trouverez surtout habillé d’un simple jean t-shirt. Puttee reste sobre dans ses habits, et a toujours la classe.

Description mentale: Puttee, dans mon bureau ! Puttee, qu’est ce que vous vous êtes encore fait au nez ! Puttee, combien de fois faut-il que je le répète : un ordinateur ne fonctionnera pas plus vite si on le frappe ! Puttee, cela ne sers à rien d’injurier vos collègues ! Voilà ce que l’on entends à longueur de journée au bureau ou travaille le brave gars. On a tout de suite une mauvaise impression. Celle d’un beauf en puissance, qui meugle à longueur e journée contre le café froid, ses collègues trop bruyants, le temps qu’il fait dehors. Et cette impression est totalement vraie. De mauvaise compagnie, en plus d’avoir la main leste, monsieur à la critique facile. Alors il critique tout, même la longueur des jupes des jeunes filles. Et il frappe tout, même le plus bas des chiens. Puttee est aussi de mauvaise foi. Il n’aime pas avoir faux, et s’emporte souvent. Colérique, impulsif, il a bien des travers et on le fuit pour cela. Impoli aussi, sans grand sens de la morale, il vexe par ses dires, blesse et s’en contrefiche. Même, le mot « excuse » n’existe pas dans son vocabulaire, mais si jamais vous le vexez, vous, vous devrez vous excuser en rampant à ses pieds. Vulgaire, il traite tout le monde et tout, de son patron à sa corbeille à papiers. On peut le dire, Puttee a le sang chaud. Mais allez savoir pourquoi, cela plaît. Oui, cela plaît, au point qu’on l’appelle le Casanova du bureau du fait de sa nymphomanie mais aussi de la vitesse à laquelle il emballe les femmes, et même parfois, les hommes. Il est aussi un grand bagarreur, qui colle une droite à tout être qui l’approche d’un peu trop près, même si c’est sa propre grand-mère.

Mais si il n’a pas encore été viré, c’est bien parce que, même si ses mauvais côtés sont flagrants, il en a beaucoup plus de bons, ou du moins, cela compense mieux que bien. Rusé et dégourdi, c’est celui qui sauve tous les êtres de bureau en réparant la machine à café encore une fois tombée en panne. C’est celui aussi qui est capable de détendre l’atmosphère avec un grand sens de l’humour même si des licenciements vont bientôt tomber. Rarement il se trompe dans son boulot -Puttee établit des statistiques- et reste quelque de fiable et qui jamais n’a réclamé une augmentation, pourtant Dieu sait qu’il fait plus de boulot que ses congénères. Oui, cet homme au nez cassé est un bosseur comme les patrons en rêvent, et cela mérite bien les écarts de vocabulaire que Puttee a parfois… Mais le meilleur, c’est que derrière la carapace de super-macho qu’on lui prête se cache un gosse qui aime ceux qui l’entourent. Qui aime bien châtie bien, et plus il vous criera dessus, plus il vous aimera. Cela cache en fait une timidité maladive qu’il a refoulée jusqu’à paraître sans-tabou. Ce qui n’est pas plus mal du moment qu’il reste un tantinet de réserve en cet être pour éviter un jour qu’il vienne au boulot tout nu (Ah… Faut trouver un autre exemple il l’a déjà fait…).


Histoire: A cinq ans, sa mère l’a attachée à un poteau est s’est cassée. Pourtant, rien n’allait de travers dans sa vie. Il était né dans une famille de classe moyenne, aimante et sans problèmes. Alors qu’est ce qui les avait poussé à se débarrasser de Puttee ? Les dettes. Le père s’était endetté jusqu’au cou, et ils n’avaient plus de quoi s’occuper de Puttee. Le gamin en garda un amer souvenir. L’enfant crut que c’était sa faute, pourtant à cette époque il était adorable (oui oui, je vous le jure, un gamin de cinq ans adorable, cela existe !) et on eut d’autre choix que de le placer en foyer. L’enfant trouva vite une famille d’accueil. Mr. et Mme. Dendeleïev, en mal d’enfants, prirent ce jeune homme adorable sous leur aile et l’élevèrent. Il fut tout d‘abord pourri gâté par ses parents, pour ensuite être malmené par les gens de son école du fait de sa timidité plus que maladive. Puttee faisait des caprices gros comme lui, et ses parents lui accordaient tout, ce qui le rendait hautain avec les autres, aussi finit-il vite par se faire des ennemis et se faire lyncher. Jamais il ne dit rien à qui que ce soit, la timidité l’en empêchant. Il avait alors douze ans. C’est ainsi que commença sa longue descente aux enfers. Il fit d’abord de gros efforts contre sa timidité, les raclées qu’il se prenait à présent à chaque fois qu’il mettait le nez hors de son nez doré l’aidant à la vaincre.

Il fallut tout de même attendre ses quinze ans avant qu’il ose balancer son poing dans la tête de son oppresseur pour la première fois. Il envoya l’autre gamin directement à l’hôpital, et cela se termina au poste de police, comme toute altercation. Ah non, cela ne se finissait pas. Puttee bouillait de rage, de rancœur depuis ses longues années à attendre qu’un jour il arrive à extérioriser tout cela. Il s’emporta même contre les forces représentantes de l’ordre, en mordit deux avant de casser le bras à un autre. C’est à ce moment que pour la première fois son nez s’est cassé.
Ce fut illico presto direction maison de correction ainsi que le dédain des parents qui, en voulant en faire un poulain merveilleux en avait fait un âne baté. Là bas, ce ne fut pas lui qui fit la loi, bien au contraire. C’est à lui qu’on piquait la viande dans l’assiette et à qui on faisait des câlins dans la douche, et jamais il ne bronchait. Ce ne fut que au fil des mois que, au lieu de s’adoucir, il devint une brute épaisse qui sans s’imposer vraiment, finit par se faire respecter. Il fut relâché deux ans après sa majorité, car sans être pour autant devenu plus doux, il était devenu capable de se maîtriser et savait à présent différencier le bien du mal, peser le pour et le contre de si-je-lui-tape-dessus-ça-fait-quoi. Ses parents adoptifs ne voulurent plus le revoir et se contentèrent de lui verser une rémunération tous les mois. Juste de quoi vivre. Mais Puttee répugnait d’utiliser cet argent et du donc se trouver un job.

Ce fut difficile pour lui. Fiché, délit de sale gueule, on lui a tout fait. Ce n’est pas un mauvais garçon, ce n’est pas pour faire « style » qu’il sait mit à la drogue. Directement ce fut les drogues dures, celles qui vous rendent dépendants en une prise. C’était pour le soulager. L’aider à faire le vide, à se sentir bien quelques heures seulement par jour. Ce fut à partir de ce moment qu’il se mit à hanter les bars, à fréquenter la rue. Pourtant il était toujours frustré. Toujours toujours toujours. Las de cette vie de couillon qu’il menait, et pas un endroit où crier sa rage.

Ce fut lors d’une soirée qui se termina mal qu’il trouva le moyen de régler ses problèmes. Une bande de yankees l’avait mit par terre et l’avait laissé crever dans le caniveau, comme un rat mort. Ses pleurs de rage attirèrent un homme. Pentel qu’il disait se nommer. Il remit Puttee sur place, l’écouta pleurer sur son pauvre sort et l’invita à aller boire un coup avec lui. Puttee accepta, que voulez vous qu’il dise, « non merci, j’ai bien chialé maintenant dégage ? » Non, il accepta. Pentel parla à son tour de ce qu’il faisait, de sa vie. Ses soirées, il les passait dans la cave des bars, à se battre. Des combats de boxe clandestin. Il y emmena Puttee, et lui dit que se battre était un bon moyen d’extérioriser sa haine. Ce fut un nouveau départ pour l’homme. C’est de cette époque que vint son surnom. Ce fut Pentel qui le lui donna en quelque sorte. L’homme l’appelait « petit », mais son accent faisait « piuti ». Certains crurent que c’était son prénom, et tout le monde se mit à l’appeler ainsi.

Retours à la case départ. Puttee se fit bien latter, perdit beaucoup de sa fierté et tomba plus bas qu’il ne pensait un jour tomber. Les petits gosses contre qui il se battait en maison de correction, c’était des minables par rapport à ceux contre qui il se frottait, et en plus, il y avait dans le tas des mutants. Cela ne dérangeait pas Puttee, non, au contraire. C'était un nouveau challenge à surmonter. il les défiait, non pas par haine comme certains, mais pour jouer. Bien sûr l'homme bouffait le béton deux fois sur trois lors de ses combats (pire, il en riait et en redemandait parfois), mais ce genre d'affront lui permit de mieux les connaître. Ceux que l'on appellait mutants n'avaient en fait pas grand chose de différent avec les hommes. Puttee établit par rapport à eux une relation de confiance mélangée de curiosité, mais cela ne va pas plus loin. pour lui, ce sont des êtres vivants au même rang que les fourmis, les lézards ou même les hommes, et il se fiche complètement de savoir qu'ils sont des rejetons d'une expérience. Il en a parmi ses amis et parmi ses ennemis, ne fait aucune différence entre eux et les humains. Petit à petit, il s’étoffa, accumula savoir faire, force, vitesse, souplesse. Ce fut la remontée. Il avait connu la détresse, la folie, la drogue, le harcèlement, le vol, la prostitution, la faim, le froid, la haine. Tout, quasiment tout.

Il reprit confiance en soi, rit de nouveau et se remit à chercher un boulot. Et finit par trouver. Le mec qu’il avait mit à terre lors de ses quinze années avait une boite de pronostique sur tout et n’importe quoi. Il embaucha Puttee dans la branche des sports, et gagna le gros lot avec lui. Il n’avait pas besoin de lire la courbe qu’affichait l’écran de son ordinateur pour dire si un tel ou un tel allait gagner contre machin. Fou de sport, il maîtrisait à la perfection deux sports des plus côtés niveau paris. Une marge d’erreur presque nulle, il fut la poule aux œufs d’or de la petite entreprise. Sa vie se refit, ses parents redevinrent fiers de lui mais restèrent tout de même à l’écart. Puttee avait changé, beaucoup trop pour eux.



Talent(s) particulier(s): Bagarreur hors pair, il peut faire d’un bâton de sucette une arme mortelle.
Maitre de: Personne pour l’instant…
Créature que votre perso désire: Personne ?
Autres: Attention, il mord ! il s'amuse à faire peur aux chats, juste pour le plaisir de leur montrer qu'il grimpe plus vite qu'eux aux arbres. Sinon il est toujours shooté, que ce soit par acide, fumette, piqûre… Mais il boit relativement peu d’alcool, et si il en boit, c’est signe qu’il ne va pas bien.

Comment avez-vous connu Lost Soul? En quémandant un forum où je puisse jouer ce taré auprès d’amis.

Bienvenue!

D'abord, il faudrait un avatar pour "petit" xD

Ensuite, si tu pouvais parler des créatures, ce serait pas mal, parce que bon, là, rien, pa sune allusion, on ne sait pas ce qu'il en pense toussa

Voilà, c'est tout, quand ce sera fait, je te validerai

L'avatar il est là non? n_n' (j'en aurai un qui colle mieux plus tard)

Uiche, j'essyae de régler le problème des créatures... *se concentre, ne doit pas dévier... oh, la lune est là, le soleil est parti... j'aime bien quand y a du soleil tôt le matin, quand les oiseaux chantent... ils migrent en ce moment GRAAAH !!*

EDIT :

Citation :

Souvent certains l’on prit pour un de ses mutants qui gambadent dans nos rues, du fait de ses grandes canines démesurées. En tout cas cela ne l'embête pas d'être comparé a une bête sauvage, c'est tellement... raaawrrr...

Citation :

Les petits gosses contre qui il se battait en maison de correction, c’était des minables par rapport à ceux contre qui il se frottait, et en plus, il y avait dans le tas des mutants. Cela ne dérangeait pas Puttee, non, au contraire. C'était un nouveau challenge à surmonter. il les défiait, non pas par haine comme certains, mais pour jouer. Bien sûr l'homme bouffait le béton deux fois sur trois lors de ses combats (pire, il en riait et ne redemandait parfois), mais ce genre d'affront lui permit de mieux les connaître. Ceux que l'on appellait mutants n'avaient en fait pas grand chose de différent avec les hommes. Puttee établit par rapport à eux une relation de confiance mélangée de curiosité, mais cela ne va pas plus loin. pour lui, ce sont des êtres vivants au même rang que les fourmis, les lézards ou même les hommes, et il se fiche complètement de savoir qu'ils sont des rejetons d'une expérience. Il en a parmi ses amis et parmi ses ennemis, ne fait aucune différence entre eux et les humains.

Je voyais pas ton avatar T_T

C'est tout bon, fiche validée, you can play!

(vu ce qu'on voit sur mon avatar, qu'on le voie ou pas, ça revient au même... XD)

Mourchi ! *se prosterne*