Duo de Fermont [Humain]

Nom : de Fermont

Prénom : Duo

Surnom : Ola, à vous de voir, il n'est pas difficile. En faîte, il adore avoir un surnom pour chaque personne qui lui parle. Choissez-lui en un, il sera sûrement ravi!

Âge : 17ans, presque 18 maintenant!

Clan: Ben il n'est pas dans un clan, a quoi pourrait-il servir? Remonter le moral des troupes? Pourquoi pas, si l'idée plait?

Description physique: Duo est plutôt petit pour son âge, du haut de ses 1m 66. Certes ce n’est pas minuscule mais néanmoins, ce n’est pas forcément très grand vis à vis des monstres qui le dépassent souvent de trois têtes. Son corps est fermement dessinés, sans excès, montrant des années d’entraînement intensif pour garder la forme. Aussi, son torse fin mais plaisant à la vue reste dans l'androgénie qu’il trouve très envoûtant. D’ailleurs, Son torse est quelque chose qui saura ravir les plus difficiles d'entre vous, légèrement musclé et totalement lisse.

Son visage de porcelaine est d'une rare finesse et, surtout, exalte une innocence poétique et d’une magnificence féerique. C’est comme le visage des statues greques. Elles ne parlent pas, et pourtant, on se sent frissonner rien qu’a croiser leur regard inexpressif. Des lèvres délicates et rosées s’étirant souvent d’un sourire amical et chaleureux, un nez fin, un splendide regard bleu et des cheveux soyeux de la couleur des épis de blés.
Plus vieux qu’il n’y paraît, il s’entretient. Sport et régime équilibré font de lui ce qu’il est, un jeune homme beau, musclé et dans l’ensemble joliment fait, quoique, comme de déjà dit, manquant singulièrement de grâce. J’entends par-là une attitude digne d’un garçon de 17 ans, et non pas celle d’une enfant de 9 ans.

Duo est, en plus de tout cela, quelqu’un de très original. : ses fines lèvres, il aime légèrement les roser d'une touche simple de rose à lèvre pâle. De même, niveau goûts vestimentaires… C’est pas gagné non plus. On va dire qu’il porte de tout lorsqu’il à le loisir d’avoir sa garde robe et surtout, le temps. Une chemise et un jean, passant par les pantalons pattes d’éléphants et aux habits féminins. Ne pensez pas que c’est un travesti, c’est juste un homme original, quelque peu enfantin, qui à dans son enfance manqué de maman. Les couleurs qu’il apprécie sont plutôt gaies, allant du bleu au rouge en passant par le vert et le jaune. Voir même, de temps a autre, des tenues flashis. En bref, il met à peu près de tout excepté les couleurs sombres où alors, c’est qu’il est d’humeur morose ou tout simplement triste et peu enclin a sourire. Ce qui, avouons le, lui arrive très peu souvent. Et si cela devait arriver, ce serait sûrement le jour de la fin du monde, de la fin des Arnaiths.
Un visage d’ange, un look déjanté et des allures de gamin,
Voilà comment est Duo.

Description mentale: Il est difficile de définir le caractère aussi imprévisible qu’instable de Duo. On peut dire de lui qu’il est lunatique, ses humeurs sont sans cesse changeantes, toujours en évolution. Parfois, il peut être aussi agréable que la plus gentille des personnes puis se transformer en quelques secondes et se mettre a bouder juste comme ça, refusant obstinément d’ouvrir la bouche. A parce ça, il l’est réellement, obstiné. Têtu comme une mule, voir même pire, il est prêt à tout, et je dis bien tout, pour avoir ce qu’il souhaite.

Il semble assez simple au premier abord, on pense pouvoir tout connaître de lui, être assez intelligent pour le prévoir. Et vous aurez tout à fait raison de penser ainsi.

Je me dois de l’admettre, Duo est simple d’esprit. Pas bête, oh grand dieu non, juste, il n’a pas réellement l’idée de bien ou de mal. Ou du moins, des idées fausses dût a son passé troublé. Mais ne vous méprenez pas, Duo est un être extrêmement bon et généreux. Malgré ses airs de grands niais, voir parfois même, de grands Etalons c’est un homme qui ne tolère pas l’injustice et déteste la tristesse des autres. Dès que quelqu’un est triste, Duo fera tout pour l’aider. Voir même, tuer, pensant bien faire. D’où sa notion de bien et de mal faussé.

N’ayant pas été mauvais élève, il n’était pas non plus un premier de la classe. Bien sur si il y mettait du sien il pourrait être un élève très bon, voir même excellent, mais l’un des plus grand défaut de Duo est sûrement celui de la feignantise. Quoiqu’il en ait d’autre, évidemment. Ce qui, à l’opposé, pourrait être une qualité de ce jeune garçon c'est qu'il n'a pas beaucoup de mal à donner son amitié, voir même aucun, étant donné qu’il arrive à voir ce qui est bien chez une personne, même si celle ci est le pire des démons. Les autres disent évidement de lui qu'il est naïf, voir stupide. D’ailleurs, cette facette de sa personnalité n’est pas forcement la moins commune. Comme un niais, Duo trouve souvent de l’intérêt dans des choses inutiles ce qui le fait passer pour un parfait crétin. Ou plutôt, un parfait gamin.
Oui c'est ça, gamin est un mot parfait pour définir Duo.

Duo aime amuser la galerie, et ainsi il sort des inepties à longueur de journée. En faite, ce qu’il aime vraiment, c’est voir le sourire des autres. Il est très actif, sans doute trop au goût de ses proches qui doivent le supporter tous les jours. Car bien que gentil, il est parfois agaçant et parfois même collant. Mais il sait mettre de la gaieté et de la joie partout où il va.

Duo n’aime pas trop montrer ses sentiments pour le simple fait qu’il devient timide et maladroit. Physiquement parlant, il est maladroit. Mais il sait assez bien se rattraper. … Je dis bien ASSEZ bien. Néanmoins, avec les mots de ses sentiments, où lorsqu’on lui exprime ses sentiments, il devient tout flasque, tout rouge, trébuche sur tout ce qui traîne et voir sur ses pieds puis s’emmêle dans ses mots. En gros : Ca le fait passer pour un vrai crétin, même si ça a son charme…

Histoire:
-Italie, Venise, An 2271.


L’homme arriva en courant, valsant entre les tables et les meubles de son salon. Il jeta un petit coup d’œil à la pendule. Celle ci continuait son tic-tac habituel sans monter le moindre intérêt vis à vis de l’agitation de la maison à une heure aussi tardive. Ou alors, selon comment on tournait les choses, c’était une heure plutôt matinale. Il était quatre heures du matin. Richard se bloqua devant l’immense horloge. Se regardant dans la vitre derrière la qu’elle se balancait lentement le balancier, il arrangea sa cravate et poussa un profond soupir de fatigue. Sa femme, malgré tout l’amour qu’il lui portait, n’aurait elle pas put trouver une meilleur heure pour accoucher ?


Diable ! Le prénommé Richard bondit sur le siège de la voiture et démarra le moteur. Il sortit alors en trombe de la maison. La grille électrique se referma lentement derrière eux, comme si elle n’avait que faire de cette agitation tardive. Elle se verrouilla gentiment, avec toute la grâce conféré a ce genre de grille, puis le calme sembla retomber sur la demeure des de Fermont. Laurent allait naître.
Et la grande roue du destin commençait…

-Ohio, entre Cleveland et Canton, dans une petite ville du nom d’Akron. An 2298.

Au nord de la ville, il y avait un centre de recherche. En faite, avant, cette ville était réellement petite, elle avait une petite superficie de 160 km², à tout casser. Désormais elle s’étendait sur plus de 500 km², et la plus part des bâtiments étaient des centres commerciaux, des laboratoires, des centres de recherches et les sièges des plus grandes entreprises mondiales. Laurent était devenu chercheur. Passionné par les sciences, il avait fait de cette passion sa vie. La ligné des de Fermont s’étendait sur plusieurs génération. A l’époque recluse des ‘Cow-boys’, un riche anglais venu en amériques, surnommés Pied-tendre par tous les habitants du coin, était tombé sur plusieurs filon d’or inexploité. Il les avait exploités jusqu'à la dernière pépite et en avait jalousement fait sa fortune. Depuis, cette fortune se transmet, et celui qui à l’héritage doit veiller à le garder stable en continuant de travailler. Laurent avait un métier qui lui plaisait et qui, en plus de cela, payait bien. La vie était donc facile, même si la vie de célibataire ne lui convenait pas vraiment. Ses parents étant morts, il vivait seul. Pas pour longtemps.

La présence inexplicable d’un virus avait fait partir certaines personnes. Et beaucoup de gens voulait habité Arkon, puisque la ville était un laboratoire immense. Une femme justement se retrouva chez lui. Elle était magnifique, avec de long cheveux blonds et de grands yeux bleus. D’une gentillesse incomparable, très généreuse et cuisinant comme un chef, elle égayait le monde noir et morose de Laurent en lui offrant son amour. Ils vivaient donc ensemble depuis un an déjà et ni Laurent ni Victoire ne semblait se lasser.
Nous sommes en 2299. L’heure de la vengeance de la Terre sur les humains à sonné.

répondit machinalement Laurent, les yeux dans la paperasse. Il travaillait sur ce satané virus : La peste rouge.

Laurent commençait a s’inquiéter. Cleveland était tout près d'Arkon, ce n'était pas pour le rassurer. En faite, il était même terrorisé.

Laurent ne put retenir un profond soupir de soulagement. Il fit un sourire et annonça.


-France, Paris, Demeure des de Fermont. Mois de Janvier. An 2300.



Le concerné poussa un profond soupir de résignation. Si, lui, était d’une nature plutôt calme et posé, Victoire, elle, était super active. Il fallait toujours qu’elle fasse quelque chose, même si ce quelque chose en question était parfaitement inutile. La journée été belle, étrange pour un mois de Janvier. C’était un doux mois, au lieu d’être froid. Enfin, il n’allait pas se plaindre. Ils étaient installés à Paris, dans la vieille demeure de la famille de Laurent. Celui ici travaillait toujours sur le sujet, mais en France, là où il pensait être plus abrité du virus. Espérons que cela soit vrai.



Aie, la voilà qui se mettait à hurler. Il accouru et lui dégagea les bras d’un énorme sac de terreau. Il lui jeta un regards suspicieux puis il leva un sourcil interrogateur. Et de la voix la plus stupide qu’il soit il, il lui demanda alors.



Ce fut la seule réponse qu'il obtint. Elle s’étira de toute sa hauteur en souriant. Laurent sourit malgré lui avant de se rendre compte que le sac pesait plus lourd que prévu. Il se retourna et couru à la véranda puis il s’écroula à terre avec ledit sac. Vainqueur par KO, le sac. Le dos du pauvre Laurent le faisait évidement souffrire, car même à 29 ans, pour un scientifique sans force, c’était mortel ce genre d’épreuve. Victoire l’observait avec intérêt, un sourire en coin. Soudain, la voix de la radio qu’ils écoutaient tous deux en bruit de fond sembla devenir plus fort. Ils s’immobilisèrent et se turent.


La voix s’éteint. Le monde s’éteint. Personne ne semblait parler, les animaux ne chantaient plus, la nature elle-même semblait reprendre son souffle. Laurent redressa la tête en planta ses yeux dans ceux de Victoire. Elle semblait paniqué. Où aller ? Le virus était mondial, ils l’avaient bien compris tous deux. Laurent brisa alors l’irréel silence qui c’était installé.


Victoire plongea dans ses bras. Il l’y accueillit, l’enlaça, se serrant contre elle pour ne pas la perdre. Ne pas la perdre… C’était tout ce qui comptait désormais.

Pendant les mois infernaux qui suivirent, Laurent passa son temps aux sous sols, travaillant sur le virus et sur des antidotes. Et Victoire vivait seule dans l’immense maison. Personne n’avait ni le droit d’entrer dans les terres, et ceux qui rentraient devaient mourir : Voilà qu’elle était la loi. Evidement, leur lutte acharné ne leur apporta rien, si ce n’est la vis sauve. Et ils assistèrent à la radio à la naissance de Cyrano. Et à plein de chose encore : La fuite de six hybrides tigres proclamés dangereux et le marché aux créatures. La vie était revenue à la demeure des de Fermont pour le plus grand bonheur de Victoire. Laurent, quoiqu’un peu anéantis au début, reprit rapidement du poil de la bête. Ils refusèrent néanmoins d’acheter une créature : Parce que pour Laurent c’était un souvenir cuisant de son honneur perdu, et parce que Victoire trouvait cela proprement dégoûtant d’avoir un esclave, qui plus est, de ce genre là. La vie se passait bien, reprenant sa place et son droit.

Et ce qui devait arriver arriva. Victoire attendait un enfant. A trente-trois ans, elle était enfin devenue maman. Et Laurent, à quarante-deux ans devint enfin papa. L’enfant naîssa en novembre, le 2 pour être précis, de l’année 2313. C’était un beau garçon, qui avait un visage d’ange. Ils l’appelèrent Duo. Car c’était à seulement deux qu’ils avaient survécue à l’épidémie.

-France, Paris, Marquisat de Fermont.

Mais lorsque Duo eu cinq ans, lorsque Noah créa la Thianra, l’esprit perturbé de Laurent devint fou. Pour lui, les hybrides étaient des monstres et surtout, surtout, Duo devait vivre sans jamais rien savoir. Ce qui fut demandé fut accordé. Victoire suivit Laurent dans sa folie, puisque son enfant serait protégé. A eux deux, ils créèrent un monde utopique dans le quel vivait vivrait leur enfant. Les cours d’histoires étaient filtrés, il n’y avait rien sur les guerres et les morts. Les cours d’économies aussi étaient filtrés : Rien de mauvais ne devait être dit. Les professeurs devaient favorisés cette idée. Duo grandit donc dans un monde, dans son monde, de paix et sans guerre. Comment expliquèrent-ils les hybrides ? Simplement, ils lui dirent que c’étaientt de très vilaines créatures qui étaient nés on ne sait comment.

Duo n’avait pas le droit de sortir de l’enceinte du parc. Mais il ne s’ennuyait que très rarement : Tant de monde était là autour de lui. Tout le monde l’aimait, par pitié, d’être enfermé et ignorant, ou par amour. Tant de gaieté, de joie et d’innocence s’émanait du jeune garçon qu’il amenait avec lui la joie et la chaleur d’un foyer pour ceux qui n’en avaient pas et en manquaient. Et ses parents étaient toujours avec lui. Souriant et riant, offrant à Duo un passé sans tristesse, sans haine, sans rien de mauvais.

En Juillet 2322, Duo avait 9 ans. Il était alors déjà très intelligent, et surtout, très curieux. Il cherchait à savoir ce qu’il y avait dehors. Car, il y avait quelque chose dehors ! On entendait des bruits, des exclamations de joie. Cet été plus que les autres, la curiosité de Duo était en éveille. Tous les gens étaient ravis, et Duo surprit même le groupe des domestiques se réjouir et boire du champagne. Mais pourquoi ? Parce que j’allais bien ainsi que leur vie, me répondirent-ils en mentant effrontément. Duo avait sûrement l’air bête, mais tout de même, pour qui le prenaient-ils. Ils ne pensaient tout de même pas qu’il ne se doutait de rien ? Franchement ! L’envie d’aller jeter un coup d’œil était forte, mais en même temps, elle était oubliable. Laurent et Victoire étaient tous deux aussi heureux que les deux : Enfin, une équipe spécialisé allait mettre un terme à tout ceci ! C’était la signature de l’arrêt de mort des hybrides, des misérables créatures. Mais Duo s’en fichait. Duo voulait savoir, et Duo ne savait pas. Duo voulait voir autre chose que des images, et Duo ne voyait rien d’autre que sa maison. Et Duo voulait avoir des amis de son âge, et Duo n’avait que des domestiques. Duo, dans la fin de son adolescence, voulait des tas de choses. Mais lorsqu’on lui demanda ce qu’il voulait pour Noël cette année là, il répondit simplement d’un sourire chaleureux puis de ce que tous les parents voulaient entendre : Des jouets que je n’avais pas.

Car dieu sait qu’il en avait une bonne tripoté de jouet, à les revendre, il se ferait sans doute une fortune. Des robots, des ordinateurs, des consoles, etc. Mais son préféré était resté le puzzle d’un jardin de rose rouge et les Kapplas. Ces morceaux de bois avec lesquels les gamins faisaient des constructions jadis, le but étant de faire la plus grande ou la plus solide. Duo n’aimait pas trop la technologie. Il préférait les jeux de société avec les quels ont jouait à plusieurs. C’était de bon moment à passer ensemble. Mais à part quelques domestiques par-ci par-là, personne ne daignait jouer avec Duo. Ce qui entraîna celui ici, malgré toute la présence à ses côtés, vers un manque affectif cruel. Il voulait un ami, pas ces personnes payées pour lui faire des sourires. Et dans les domestiques, tout le monde disait de Duo que, certes, il était gentil mais beaucoup trop simple et ignorant pour être un bon civil. Oui, Duo était ignorant, mais pas par sa faute. Oh, il n’allait pas ce plaindre : Il vivait heureux. Mais ne pas savoir ce que c’est une guerre, avec des informations du monde extérieurs filtrés et soigneusement modifiés par les soins de ses propres parents, ça n’avait rien de drôle. Mais Duo aimait sa mère qui le peignait et le chouchoutait, comme il aimait son père qui lui racontait des histoires, des contes et des légendes, qui finissait tous bien. Le conte préféré de Duo était : Amour et Psyché , l’histoire souche de la belle et la bête.

Si, avait longtemps songé Duo, nous remplacions la belle par l’espèce humaine et la bête par celle des hybrides, alors peut-être, si nous pouvions leur donner du temps et de l’amour, elles révéleraient des êtres clairs, intelligent et droit ? Lorsqu’il en avait parlé à son père, celui ici c’était mit dans une colère folle et avait interdit ce conte à Duo. Et lorsqu’il en parla à sa mère, celle ci fondit en larme en demandant ce qu’elle avait fait à dieu.
Mais c’est qui dieu ?

Il grandit, nourrissant ses idées par son insatiable curiosité et son envie de croire en quelqu’un. Ne connaissant rien de la Thianra ou même des Arnaiths, il vivait simplement dans le paradis crée par les soins de ses parents. Mais ceux ci moururent de vieillesse. La colossale fortune revint à Duo. Du moins, elle aurait dû : Duo n’en avait touché qu’une minuscule partie, le reste lui étant destiné que lorsqu’il aurait un travail, comme le stipulait le testament de son arrière, arrière, arrière […] grand-père. Il utilisa tout l’argent pour continuer sa vie normale, ne voyant pas quoi faire d’autre, puis les huissiers vinrent et lui prirent tout en souriant. Et en pensant très fort : Ah, voilà encore un noble qui tombe. Ils le méritent.
En 2327, Duo se retrouvait à la rue avec comme seule connaissance les maigres détails qu’il avait put avoir en fouillant le bureau de son père. Duo était donc à la rue, dans un monde cruel qui ne pardonnait pas, et que Duo aurait sûrement beaucoup de mal à comprendre.

-France, Paris, Non loin du QG de la Thianra, novembre 2329.

Cela faisait un an et demi que Duo était à la rue. Il vivait encore chez lui, dans les pièces vide. Mais dans une il y’avait une cheminé et un lit, c’était devenu sa chambre. Il la nettoyait un temps soit peu, mais le reste de la maison tombait en ruine. On en était à la période de son anniversaire, et Duo commençait à s’inquiéter de devoir être tout seul encore une fois pour le fêter. Une bonne femme à l’allure forte avait pris Duo sous son aile, charmé par son innocence et par sa beauté de rêve de ce garçon. Duo la laissa faire, la remerciant dès qu’il en avait l’occasion. Elle le nourrissait, et lorsqu’il aidait, elle lui donnait un peu d’argent. Ce n’était rien, et le mode de vie de Duo laissait à désirer, mais il était heureux. Il était dans le ‘Dehors’. Pour lui, il n’y avait toujours eu-le ‘Dedans’, et rien d’autre. Maintenant, voir que le monde était plus grand et plus large qu’il ne l’avait connu, maintenant, il y avait le ‘Dehors’.

Il se baladait des les rues malfamés du quartier. Lors de sa première apparition, les gens l’avaient tous regardé passé, ce frottant les yeux, vérifiant si ce qu’ils voyaient été réel. Un garçon d’une magnificence et d’une beauté sans égale pour des gens comme eux vagabondaient dans leur quartier en souriant. S’intéressant à tout, posant des questions, il s’attira rapidement la gentillesse de tous les habitants. Les gens qui le croisait lui donnaient souvent des choses, des sacs de nourriture, des livres aussi parfois. Duo souriait joyeusement. La nuit était tombé depuis longtemps déjà. Duo ne trouvait pas le sommeille. Quelque chose l’en empêchait.

Mais cette fois ci quelque chose se passait. Il y avait de l’agitation là où il n’aurait pas dut en avoir, mais Duo ne s’en souciait pas d’avantage. Il avait remarqué quelque chose sur le sol, quelque chose qui brillait à la lumière de la lune. Il se pencha, les yeux rivés sur cette chose. C’était un liquide. Il tendit le doigt et le mit dedans. C’était rouge. C’était chaud. C’était ça, le sang ? Ce n’était qu’une tâche, mais Duo y vit comme une flèche de signalisation. Il leva la tête. Quelque part dans l’obscurité, deux yeux brillants l’observaient méchamment. Duo s’approcha, sa curiosité l’emportant sur tout le reste. C’était un garçon qui semblait être un peu plus vieux que lui à son visage. En faite, il semblait porter tout son passé derrière lui, Duo le lisait dans ses yeux. Il se tenait l’abdomen fermement, mais cela n’empêchait pas à son nectar de vie de se répandre là où il pouvait. Le garçon avait deux petites oreilles, dressés vers lui, et une queue qui s’agitait au fur et à mesure que Duo avançait. Il avait l’air menaçant, mais cela n’empêcha pas Duo de continuer à avancer. C’était un hybride, une créature, salement abîmé. S’il avait sut, il aurait put comprendre que c’était sans doute a cause de l’assaut majestueux des Arnaiths. Mais Duo ne savait pas. Duo ne savait même pas qu’on pouvait tuer de nous même. Duo ne savait pas qu’on pouvait être méchant. Car même en vivant dehors, les gens en lui souriant continuait à le garder dans le monde utopique des ses parents. Duo voyait dans cette créature une porte de sortie. Il lui fit un sourire et s’approcha encore. La créature montra les crocs en sortis les griffes. Duo ne s’en soucia pas d’avantage, il plongea sa main sous ses cheveux en cherchant son front puis il s’immobilisa.

Duo avait eu des compétences d’un peu chaque domaine. Si on le laissait faire, il pouvait tout faire. De docteur à éboueur. C’était, comment dit on déjà ? Un caméléon ? Mais les compétences étaient faibles, aucun domaine n’étaient réellement approfondis. Mais cela suffirait à soigner cette trace de balle. Il fit un sourire et observa la plaie, forçant gentiment les mains du garçon chat et les retirer. Il observa un instant le tout, p’uis il poussa un soupir et murmura pour lui même qu’il était salement touché. Enfin, il passa sa main son la nuque du garçon qui se débattit avec ses dernières forces. Il le souleva sans aucune gène apparente. L’hybride, serré contre le torse qui travaillait de Duo se laissa sombrer dans les méandres d’un sommeil réparateur. Duo le ramena chez lui, sans rien dire à personne. Il le soigna avec ce qu’il avait : Ses vêtements, un bout de métal chaud, une aiguille et du fil, une pince et d’autre produit de soin. La plaie n’était soigné que très rudimentairement, mais cela suffirait a se réparer sans laisser de trace. La créature ne se réveilla que cinq jours plus tard. Duo dormait à son chevet, étant donné qu’il n’y avait qu’un lit.

Duo apprit plus tard que cette personne s’appelait Riku. C’était un joli garçon avec des cheveux bleus. Tous deux faisaient la paire : Duo, extravertis et constamment joyeux, et Riku, toujours noir et morose, timide et renfermé sur lui-même. Mais l’hybride devint extrêmement possessif envers Duo, le couvant presque. Il quitta la Thianra afin de rester avec notre Duo, laissant une image de traître derrière lui.
L’amour qu’ils se donnent l’un l’autre est beaucoup plus fort qu’un simple amour familiale, mais ce n’est pas non plus un amour charnel. Leur amour est très ambiguë, laissant planer le doute.
Mais Duo s’en fiche.
Duo à un ami avec le quel jouer maintenant.

Talent(s) particulier(s): Faire rire, changer les gens d'idée, calmer les ambiances tendues, reconforter les gens de manière certes maladroite mais efficace, et plein d'autre mystères encore! [Note: Il sait aussi se battre, et ce n'est pas un mauvais combattant. Peut-être son allure joue t elle même un piège. Il ne faut pas le sous-estimer. Mais ne pas le surestimer non plus, ce n'est pas un as du combat.]

Maitre de: Duo maître de... Duo? Il est incapable de donner des ordres comme un maître et deteste être considéré comme tel.

Créature que votre perso désire: Encore une fois, Duo ne veut pas de créature. Reflexion faîte, ce devrait plutôt être lui l'esclave XD En même temps, une créature ne va pas cesser de le suivre et il se lira d'amitié avec lui. D'un certain sens, ce sera lui sa créature. (Mais qui, ha ha! XD)

Autres: Duo adore la littérature, la musique, enfin l'art en général. A part la sculpture. La sculpture l'ennuie profondément. Il aime se promener dans la Nature, qu'il trouve stimulante pour l'esprit créatif. Il aime aussi les moments de Enfin, Duo aime aussi la gentillesse, la sympathie... Comme beaucoup de personne en faite, donc pour faire simple, Duo aime enormement de chose.
Sinon, il n'aime pas voir d'autres personnes tristes, l'injustice sur lui ou sur un autre. Aussi, la simple idée de devoir étudier les sciences les révulse, il fuit les calculatrices et les mathématiciens comme la peste. Il ne supporte pas la sculputre car elle l'ennuie. Et malgrés les apparences, il evite tout semblant de brutalité. Et bien evidement, il déteste ... Qu'on ne le respecte pas xD
Duo ne voue pas une haine aux créatures. D'ailleurs, il les trouve plutôt mignonnes avec leurs oreilles et leurs queue. Oui, c'est tellement doux! Tellement mignon! Il n'est pas rare de voir Duo avec un postiche d'oreilles sur la tête d'ailleurs.

Signes particuliers :
-Il a la manie de se passer la main dans les cheveux, ou de les remettre en place, lorsqu'il est gené. Il les tripottes souvent.
-Sinon, il se balade souvent avec une sucrerire quelque conque: Glace, sucette [Ca c'est souvent] Bonbon... Mais jamais de chewing gum. C'est infecte. C'est mâcher qui est infecte.

Comment avez-vous connu Lost Soul? Ben... Euh.... Bon je me lance: Je suis Silue Ramachi [Oui je sais, changement flagrant] J'ai pensé a reprendre Silue, a la modifié a refaire sa fiche et tout et tout mais enfaite il s'avère que non, j'ai preferé prendre un personnage joyeux et gai, pour changer XD
Donc si on veut la source du touuuuut début, ce serait Cornelulus qui m'a fait découvrire le fofo.

Attention à ne pas te promener trop souvent avec tes fausses oreilles, il serait dommage de te faire abattre pour une méprise petit rêveur

Yeaah, ce serait dommage de mourire pour des oreilles en plastiques quand même XD

Merci XD [Du conseil et de la validation :p]