† Lost soul †
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer HD9200/90 Série 3000
54.99 € 109.99 €
Voir le deal

 

 Blessure sans douleur

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Puttee
Humain(e)

Puttee


Nombre de messages : 29
Race : humain
Clan : //
Âge du personnage : 36 ans
Date d'inscription : 04/11/2007

Blessure sans douleur Empty
MessageSujet: Blessure sans douleur   Blessure sans douleur Icon_minitimeLun 5 Nov - 14:23

Tôt. Très tôt le matin. Si tôt que les oiseaux dorment encore, que le soleil n'apparaît pas encore dans le ciel. Si tôt que les rues sont calmes, que les lumières des maisons sont éteintes. Quatre heure du matin, le froid de la nuit mordant tout son corps, il est là, silhouette sombre recroquevillée sur un toit. Assis sur un toit, tel un roi en haut de sa tour.

Habillé d'un jean noir et d'un marcel de la même couleur, qui galbe son torse puissant faisant apparaître la courbe de son dos, prononcée et souple. Il se tient droit, les genoux ramenés vers sa poitrine, et hume l'air pollué de la ville. Son visage est en sang, une ouverture sur la tempe déversant le liquide poisseux et chaud sur sa joue gauche, se confondant presque avec sa tâche de vin. La peau des jointure de ses poings disparaît sous une épaisse couche de sang séché, le sien, mais aussi celui de son adversaire. Ses chevalières sont elles aussi couvertes de sang, comme si elles étaient une arme mortelle. Dans sa bouche le goût de sang est présent, mais il en a tellement l'habitude que cela n'est plus dérangeant.

Ses yeux à demi-clos ne voient qu'à moitié ce qui l'entoure, ma sa respiration est calme. Il est sain d'esprit, n'a plus une once de colère en lui après le combat qu'il vient de mener. La drogue a atténué sa douleur, et il ne sent plus ses muscles, comme quand le froid les engourdi. Il est pieds nu. Puttee a perdu ses baskets, et il ne se souvient plus comment. Des baskets blanches toutes neuves. Pas grave, il s'en rachètera. Pour l’instant il se gèle les orteils. Un vent agite ses cheveux teints en un vert foncé qui paraît noir sans lumière alors que son regard reste fixe dans l'obscurité. Il n'y a rien à voir pourtant. Il pense.

C'est dans ses moments de plénitude que la solitude se fait plus forte. Quand on a personne avec qui partager sa joie. Quand on se retrouve seul à être fier de soi parce qu'on a mit deux gars au tapis ce soir, mais qu'on s'est fait durement remettre en place par la suite, et qu'on est sorti du ring en se faisant porter par deux compagnon qui demain, seraient peut être ses adversaires. Alors son euphorie se retrouve tâché pas la solitude qui lui mords les entrailles plus fort que le froid. L'homme tousse, crache un peu de sang, qui dégouline le long de son menton, continue sur son cou tel un ruisseau immonde et ne s'arrête qu'en touchant le col noir du haut de Puttee.

Dans cinq heures, il devra aller bosser. Rester assis sur une chaise et se contenter d'aboyer sans jamais mordre. Non, il ne mords que la nuit, se défoule que dans l'ombre. Oui, bon, parfois des baffes se perdent en plein jour, mais jamais aussi fortes que la nuit. La nuit qui devient son obsession durant toute la journée, comme un bar devient le but d'un alcoolo. Il est accro à la violence, au sang, à la douleur.

L'homme se penche en arrière, étends ses jambes sur les tuiles glissantes. Relevé sur ses coudes, Puttee soupire et tousse de nouveau. Sa cuisse lui fait mal. la drogue se dissipe, bientôt il criera de douleur, ou presque. Alors à ce moment, il devra en reprendre et aura une soi-disant bonne raison. Un sale accro, c'est tout. Même pas honnête avec lui-même, même pas capable de se l’avouer.
Revenir en haut Aller en bas
Duo de Fermont
Humain(e)

Duo de Fermont


Nombre de messages : 37
Age : 34
Race : Humain
Clan : Riku, c'est un clan?
Âge du personnage : 17 ans
Date d'inscription : 09/11/2007

Blessure sans douleur Empty
MessageSujet: Re: Blessure sans douleur   Blessure sans douleur Icon_minitimeSam 10 Nov - 15:11

Duo n’arrivait pas dormir. Les seuls moments où il arrivait à dormire paisiblement, c’était ou bien dans un lit de plume d’oie, avec un édredon sur lui, ou alors dans les bras de Riku. Mais ce menteur de première classe s’était barré du jour au lendemain sans laisser d’explication valable à part un mot sur le lit avec marqué : Je reviens. Ce n’était pas pour rassurer Duo. Mais il avait lu dans un livre sur les chats qu’ils devaient un jour ou l’autre quitter la maison et qu’ils revenaient toujours. Ah, quand même.
Mais qu’est ce qu’il pensait là ? Riku n’était pas un chat tout de même !

Duo avait prit des résolutions. La première étant qu’il arrêterait d’enquiquiner Riku. La deuxième qu’il arrêterait de jouer avec la queue du même Riku. Et la dernière était qu’il arrêterait de penser a Riku. Duo se donna une bonne paire de claques mentales. Il se redonna quelques gifles mentales, histoire de ne pas faiblir sur ses bonnes résolutions. Non, il ne céderait pas, il était motivé à mort ! Car s’il y pensait toujours il allait sans doute finir par le dire a Riku et il passerait pour le parfait imbécile. Noon, non. Ca n’allait pas ce passer comme ca.


Et meeerdeuh ! Plus il essayait d’esquiver cette pensée, plus elle lui revenait, obsédante et inéluctable, comme une baffe en pleine tête. Il s’en serait bien mis, des baffes, si ça avait pu lui permettre d’oublier ces idées stupides ! Mais s’il s’en était mis, il aurait eu les joues toutes rouge et il aurait été moins attirant devant le dit Rik… AAArrrggggh mais qu’est ce qui lui prenait ? Dingue. Il était en train de devenir dingue. Dingue d’un gamin. C’était mauvais signe. Très mauvais. Alors pourquoi était il parti ? Un gamin ne part pas comme ca !



« J’ai un an de plus que toi, je suis ton aîné, alors tu dois m’obéiiiiir ! »


Duo s’était mit à hurler dans la rue, a quatre heures du matin. La réponse ne se fit pas attendre, il reçu un seau d’eau remplie et glaciale sur la tête. Par chance, elle était propre. Il fit une moue boudeuse. Sur le papier, oui, Duo avait un an de plus que Riku. Mais dans la vrai vie, Duo avait 10 ans de moins que Riku. Evidement, il ne lui était pas venu à l’esprit de dire ‘Tu es ma créature descend’. Riku était son ami, pas son jouet.

Duo plongea alors sur une gouttière, l’escalada rapidement et avec habilité, sauta sur le toit. L’air frais des hauteurs calmerait sûrement son cerveau et lui permettrait de penser à autre chose. Il baissa le regard et regarda alors les jolis motifs que faisaient les rues s’entrelaçant entre elles. Duo adorait ce qui était joli. Il se mit alors a faire l’équilibriste sur le toit, s’amusant comme un gamin a être au cirque. Tout cela en pensant à tout à fait autre chose. Riku par exemple.

Il se surprit à penser à son ami hybride et se mit une belle gifle mentale pour s’éclaircir les idées.
La gifle eu pour effet de déraper et glisser le long des tuiles. Il se rattrapa tant qu’il put en poussant un grognement. Ca faisait sacrément mal. Il se redressa en position assise, tout en se massant sa boite crânienne qui avait sauvagement cogné contre le toit. Il ne remarqua alors que là que ce toit était déjà habité. Tout sourire, oubliant déjà la douleur pour la quel il grommelait depuis cinq minutes déjà, il s’approcha de l’humain [Puisqu’il n’avait pas d’oreille, pour Duo c’était un humain] Il était recouvert de sang, tellement qu’on lui aurait dit une double peau. Et il était particulièrement effrayant, surtout de nuit.



« Salut ! Moi c’est Duo, et toi ? Pourquoi tu saignes ? Ca fait mal ? Comment t’as fait ? »


J’ai dit effrayant ? A, sans doute, mais pas pour Duo. Celui ici, tout sourire, c’était assis aux côtés de l’humain. Plus qu’un ami, Riku était devenu sa drogue. Compensant des années de solitudes affectives, devoir revivre seul était impossible pour Duo. Alors il souriait, de son plus beau sourire, a ce parfait inconnu.

Son pantalon était orange en velours. Il avait un T-shirt vert fluo avec des petites fleurs roses pâles. Sur son dos, il avait un manteau marron avec de la fourrure argentée à la capuche. Ses baskets étaient rouge et blanche, et enfin, trônant sur sa tête, il y’avait un magnifique béret marron. Ses cheveux dorés tombaient en batailles autour de la tête finement taillée du petit Duo. Son sourire semblait être une lumière, et ses grands yeux bleus-violets pétillaient de joie et de curiosité. Prit d'une impatiente enfantine et ne lui laissant même pas le temps de répondre, il repeta la question qui lui semblait vraiment necessaire maintenant. Les autres passeraient aprés.



« Au faite, c’est quoi ton nom ? »
Revenir en haut Aller en bas
Puttee
Humain(e)

Puttee


Nombre de messages : 29
Race : humain
Clan : //
Âge du personnage : 36 ans
Date d'inscription : 04/11/2007

Blessure sans douleur Empty
MessageSujet: Re: Blessure sans douleur   Blessure sans douleur Icon_minitimeMer 21 Nov - 18:58

Alors que Puttee commençait à s’endormir une voix raisonna. L’homme n’y prêta tout d’abord pas grande attention, mais le doute finit par s’installer en lui et son regard se dirigea vers la Lune, seule locutrice possible qu’imaginait l’homme. Tu dois m’obéir. Et puis quoi encore ? L’homme était aux basques de personne, et même si c’était la Lune en personne qui le lui demandait, ce serait non. D’ailleurs c’était absurde, cela ne pouvait pas être l’astre de nuit qui s’adressait à lui.

Puttee laissa s’échapper un long sifflement. Son cerveau ne tournait plus rond, l’individu se demandait quand les hommes en blanc viendraient le chercher. Ce fromage tout rond pendu dans le ciel parler. Et puis quoi encore. Il ferma ses paupières sous al fatigue qui le submergeait, mais cela ne dura pas longtemps. Une voix le fit sursauter au risque qu’il tombe du toit. Une voix qui résonna dans sa tête. La même voix qu’il avait prêtée un instant à la Lune. Le voilà dos droit, jambes croisées en un équilibre critique sur les tuiles du toit. Sa vue brouillée par la nuit qu’il avait vécue ne lui permettait pas de distinguer les traits de celui qui était à ses côtés, aussi le prit il pour une fille. Certes, même si sa vue avait été bonne, l’hésitation aurait été marquée devant cet androgyne vêtu de couleurs chatoyantes. Mais tout de même, avec un peu de jugeotte, Puttee aurait remarqué que c’était un homme. Mais pour l’instant voilà la demoiselle qui lui lançait des questions à la tête, sans qu’il ait le temps d’en placer une.

Drôle de comportement, que de questionner ainsi un inconnu ! Puttee cligna plusieurs fois des yeux, ne comprenant pas tout. Pourtant il se sentait poisseux de sueur et de sang, et jamais dans ces cas là il n’avait bonne mine. Un sourire lui échappa devant tant d’entrain et en des gestes maladroits il mit un de ses doigts sur la bouche de l’énergumène assis à ses côtés, qu’il retira ensuite lourdement.


« Une seule question à la fois, veux tu ? »

Un moment passa alors que Puttee cherchait dans les tréfonds de sa mémoire ce qu’avait prononcé la juvénile à ses côtés. Duo. Ca devait être son prénom. La mémoire lui revint et son regard brilla d’une lueur enfantine. Le jeu des questions réponses, il voulait bien s’y prêter, aussi, sur le même ton d’empressement de ce qu’il croyait être une jeune fille, il lui répondit.

« Je me suis battu et oui ça fait mal et t’as pas intérêt à faire comme moi sinon ta mère ne sera pas contente ! D’ailleurs qu’est ce que tu fais sur les toits à une heure pareille ? Ce n’est pas un endroit pour les jeunes filles ! »

Voilà il avait trahit sa pensée, à Duo de vouloir le rectifier ou non, qu’il le laisse croire ce qu’il veut ou pas. Sans gêne, Puttee continua à parler sans s’arrêter, si vite que cela en devenait assommant.

« Moi c’est Puttee et je trouve que niveau question creuse, tu es gagnante ! »

Ce n’était pas un reproche, et le sourire qui éclairait le visage de l’homme le démontrait. D’ailleurs il pouffait discrètement de sa situation. Assis là sur un toit, plein de sang à sermonner une jeune femme ! Ce devrait plutôt être lui qui devrait se faire passer un savon, que ce soit le sens imagé ou pas… C’est vrai qu’il faisait envie, couvert de sang et sentant le mufle à trois mètres. Appétissant, mais cela n’avait pas l’air de rebuter Duo qui s’amusait comme une gamine bienheureuse avec un jouet tout neuf.

La fatigue avait instantanément quitter Puttee, qui à présent ressentait une joie immense que de parler ne serais ce que quelques minutes avec une humaine tout à fait normale, sans avoir pour l’instant besoin de crier comme un fou furieux. Non, les enfantillages ne le mettaient pas hors de lui, et cela devait être une des bien rare chose contre laquelle il ne s’énervait que rarement…
Revenir en haut Aller en bas
Duo de Fermont
Humain(e)

Duo de Fermont


Nombre de messages : 37
Age : 34
Race : Humain
Clan : Riku, c'est un clan?
Âge du personnage : 17 ans
Date d'inscription : 09/11/2007

Blessure sans douleur Empty
MessageSujet: Re: Blessure sans douleur   Blessure sans douleur Icon_minitimeDim 20 Jan - 22:53

[Me voilaaaa, désolé du retard, j’ai vraiment plus le temps en ce moment u________u]

Duo observa intéressé son compère de toit. Celui lui avait jeté un regard plein de sous-entendu. Duo n’aimait pas ce genre de regard qui voulait, soit disant, tout dire, tout ça sans paroles. Duo ne les comprenait pas. Duo préférait parler. Ca, on comprenait toujours. Même si cette vision des choses le faisait sans douter parler trop aux yeux des gens… Aux yeux du monde même. Duo était une pipelette, d’un certain sens, il parlait même pour se prouver qu’il existait bien réellement.

Lorsque le doigt de cet inconnu se posa sur ses lèvres, Duo se paralysa de la tête aux pieds et plus aucuns sons ne sortis de sa bouche. Le visage de porcelaine de Duo était expressif, pas comme celui des statues aux qu’elles on attribue les sentiments que l’on souhaite. On lisait les sentiments de Duo sur son visage. Il ne cherchait jamais a caché ce qu’il ressentait, a part vis à vis des autres, vis à vis des sentiments les plus lourds : L’amour et l’amitié. Lorsqu’il était heureux, on le voyait. Pareil que lorsqu’il était triste. Il était donc là, tout sourire, l’air d’un parfait crétin, au milieu des toits de Paris, face à un inconnu à l’air plus psychopathe que sympathique. Avec sa tenue éclairée et sa mine radieuse, il avait l’air d’un lampadaire ambulant. Mais son sourire ébahit, son air enfantin, ses cheveux blonds mi-long qui lui tombait autour du visage avait l’art de le rendre incroyablement mignon sans qu’il ne fasse rien.

Quoiqu’il en soit, il ne pipa mot pendant que l’autre homme commençait lui-même à parler. Le doigt était déjà parti, mais Duo se tenait et écouta, ravis, la réponse du garçon. Celui ici rentrait dans le jeu de Duo. A ses risques et périls. Soit dit en passant, le seul risque qu’il courrait avec notre guimauve était une migraine atroce après l’avoir supporté pendant plus de quinze minutes. Mais malgré son air ailleurs et son attitude à s’occuper d’abord de lui, la lueur qui passa dans les yeux de son interlocuteur avant qu’il ne réponde n’échappa pas à notre Duo. Ce qui le fit sourire.

Il écoute donc la réponse de l’homme à ses côtés qui, ce qui surprit un tantinet Duo, répondit précisément à ses questions. Et même plus que précisément, il lui sortait les réponses au même rythme que celui des questions. Il s’était battu ? Quelque part, Duo se demanda avec qui, et comment. Et pourquoi même ! Mais il retint ses questions. Car il venait d’entendre qu’il avait mal. Forcément, s’il se battait, il prenait le risque d’être blessé.

A… Ma mère. Ma mère ne serait pas contente si elle savait que j’étais là ? De toutes les manières, elle était déjà morte. Que pourrait-elle dire maintenant ? Pas grand chose. De toutes les manières, Duo s’en fichait. Duo allait désormais où il voulait quand il voulait. Et surtout, il allait là où allait Riku. Il n’avait besoin que de Riku pour vivre. Il avait besoin d’une présence à ses côtés. Une présence sympathique.

Qu’est ce qu’il faisait à cette heure là ? Et qu’est ce qu’il faisait ici ? Les deux questions étaient de bonnes questions. Mais Duo ne savait pas quoi répondre. Outre peut être : Je cherche une quelconque source de réconfort puisque Riku n’était pas là. Et sans Riku, pas de réconfort. Où alors il faudrait créer à nouveau toute une relation. C’était possible, mais Duo, pour le moment, ne voulait surtout pas perdre Riku. Mais il voulait des amis, pleins d’amis !

… Jeune fille ? Pour les jeunes filles ? Duo était très androgyne, mais tout de même. Enfin, n’importe quel homme normal se serait sentit froissé, dans sa virilité et dans son honneur… Masculin. Mais Duo n’était pas un homme normal. D’abord parce que, malgré son âge, il n’était pas un homme mais un gamin. Et parce que son caractère ne c’était jamais développé dans ce sens. Il était ce qu’il était, point barre. Fille, garçon, pour lui ça n’avait pas vraiment d’importance.
Même s’il préférait les garçons aux filles.

Alors comme ça, il s’appelait Putte ? C’était étrange comme nom. Mais c’était joli. Duo l’aimait déjà. Putte… Comment ça gagnant ? Ses questions étaient toutes pleines d’intérêt et d’utilité. Enfin, Duo décida d’outrepasser la frustration pour cette fois. Il voulait parler. Il voulait être avec quelqu’un. Il voulait se faire un ami. Or il était bien parti, autant ennuyer notre pauvre Putte après, lorsqu’il se sentira rassurer.
Il ne c’était pas passé beaucoup de temps, en faite, la réponse qui suit fut lancée au tac tac. Seulement, le cerveau de Duo est capable d’analyser chaque chose très précisément et ce très peu de temps.



« Mes questions sont pas creuses, je tente juste de lancer une conversation, Monsieur ‘Je-sais-tout’. »


L’honneur sauf, Duo enchaîna sur lesdites questions creuses sans le moindre remord. En faite, il s’en foutait pas mal. Pour lui, ce n’était pas des questions creuses, mais des questions primordiales.



« Pourquoi tu te battais ? On t’a attaqué comme ça ? Tu veux que je te soignes ? Tu es un fumeur ? »


La question en elle-même pouvait paraître stupide. Mais pour Duo, elle était primordiale. Il n’aimait pas la fumée, et son père lui disait tout le temps, il aussi disait qu’il était ‘aphaltique’. Duo ne savait pas ce que c’était, mais c’était son père qui lui avait dit. Mais d’un certain sens, Duo considérait son père comme une personne méchantes, et les gens pas gentils disaient des choses méchantes et fausses. Tout du moins, c’était le point de vue de Duo.
Pour Duo, l’odeur pestilentielle ne le gênait pas plus que cela. Il commençait à s’habituer.



« Moi j’aime pas la cigarette. J’en suis allergique. Toi, t’habites où ? Qu’est ce que tu fais là ? T’as pas une maison où rentré, où quelqu’un t’attends ? »


Oui, pour duo, tout le monde avait au moins une personne sur lequel compter. Ses illusions utopiques n’étaient pas toutes vrais…
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Blessure sans douleur Empty
MessageSujet: Re: Blessure sans douleur   Blessure sans douleur Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Blessure sans douleur
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Au commencement, il y avait... la douleur...

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
† Lost soul † :: Paris :: Les toits-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser