Par une nuit mouillée, froide & sombre.

Angelo Borgia, jeune homme longiligne de seulement dix-huit ans, se précipite dans l'allée goudronnée qui mène à la porte de sa maison. Exceptionnel, n'est-ce pas, à dix-huit ans seulement, de posséder sa propre maison ? Mais le jeune homme l'est à bien des égards encore. Il plonge sa main trempée dans la poche de son blouson court, rentrant la tête dans les épaules pour tenter d'éviter à sa nuque de subir les assauts des goutelettes d'eau qui tombent du ciel. Peine perdue. Après quelques recherches infructueuses - et par la même occasion, quelques jurons vulgaires -, il trouve enfin ses clés, et fait jouer précipitamment le mécanisme de la porte, pour s'engouffrer chez lui. Imprudemment, il laisse la porte grande ouverte derrière lui, faisant quelques pas dans le minuscule hall, seulement éclairé de la lumière extérieure diffusée par les lampadaires pâles de la rue. Cela donne à la pièce, et à tout le reste de la maison - toute petite, cette maison, il n'est quand même pas bien riche - une atmosphère blafarde et comme figé, qui filerait des frissons le long de la colonne vertébrale. Seulement, si Angelo frissonne, ce n'est pas à cause de cette drôle de sensation que peut lui transmettre son habitat : il revient d'un raid nocturne, et il est trempé. D'ailleurs, en baissant le nez vers le sol, il constate des flaques d'eau formées par ses pas au sol, et étouffe encore une exclamation des plus malpolies. Décidément, c'est un abonné aux vulgarités.

Il ne ferme toujours pas la porte d'entrée, néanmoins. Malgré le froid ambiant, on sent clairement en entrant dans cette maison que le chauffage n'y est pas enclenché, à aucun moment de la journée. On peut mettre ça sur le compte de l'excentricité toute relative du propriétaire des lieux. Propriétaire qui s'avance d'un pas résolu vers un placard planqué dans un coin du salon, pour y fouiller avec ardeur. Il en ressort, victorieux, un pull sec, et enlève rapidement la veste et le t-shirt qu'il porte, pour enfiler le sweat directement sur sa peau nue. Il jette un regard autour de lui, fixant ses yeux chocolat sur le rideau de pluie laissé à sa vue par la porte ouverte. Ses épaules minces impriment un léger mouvement dédaigneux, et il s'éloigne vers la cuisine, sans prêter aucune attention à l'heure. Pourtant, cette heure est bien incongrue pour rentrer chez soi : 03 : 28. L'odeur que dégage ses vêtements n'indique aucun passage dans les lieux que l'on fréquente la nuit, comme les discothèques ou pourquoi pas, les maisons closes. Mais le temps ne se prête pas à une petite promenade solitaire.

Angelo garde négligemment son jeans noir mouillé, mais finit par quitter ses chaussures en cuir d'inspiration militaire, portées délacées, à côté d'une plante verte crevant de soif. Il revient dans ce qui semble être le salon, et s'asseoit assez lourdement sur un canapé recouvert de nombreux draps colorés. Apparemment, c'est là où il dort - bien qu'il n'ait aucunement l'intention de dormir présentement. Il regarde d'abord autour de lui, écoutant le silence, baigné dans la lueur pâle des lampadaires extérieurs, paraissant comme inquiet, sur l'oeil, ses iris imprimant de brusques mouvements qui prouvent - peut-être - sa mauvaise conscience. Et enfin, ses travers habituels réapparaissent. Il se laisse aller à ses rêveries silencieux, son regard étant comme déconnecté de son cerveau, les iris chocolat perdus dans le vide. Ses épaules minces sont légèrement affaissées, il a posé une de ses mains sur sa cuisse, l'autre reposant sur un coussin. Aucun mouvement n'agite son corps, il est dans un état d'abandon à ses réflexions tout à fait humain - et pouvant paraître étrange chez une créature de sa nature.

Enfin, il se lève, lentement, après avoir secoué légèrement la tête, ses mèches de cheveux fins soulignant ce mouvement. Il regarde autour de lui comme s'il était perdu, puis plisse les yeux en paraissant se rappeler ce qu'il fait ici. Bien sûr. Il s'avance vers une porte immaculée, et l'ouvre négligemment, pour se retrouver dans une salle de bain minuscule, face à un miroir parsemé de taches de rouilles. Cette pièce, ne possédant pas de fenêtre, ne bénéficie pas de la clarté patinée des lampadaires ; et c'est dommage car elle y gagnerait. Si sous l'influence de cette source de lumière blanche, le reste de la maison apparaît comme fantomatique, la salle de bain, en contraste, n'en paraît que plus sordide et sale. La créature panthère noire pousse un léger soupir en constatant l'état des lieux - désastreux cela va sans dire -, puis il se penche vers le miroir. Deux de ses doigts viennent écarter avec douceur ses paupières, et un troisième vient cueillir une lentille colorée. Il réitère l'opération avec l'autre oeil, puis grimace légèrement en constatant l'irritation de ses iris. Maintenant, il révèle entièrement sa réelle nature, avec ses deux yeux d'une couleur dorée caractéristique et révélatrice. Il pousse un léger soupir, frotte manichalement un de ses yeux, puis se redresse pour s'observer dans le miroir d'un oeil critique.

[Réservé !]

Si les souvenirs de l'Ombre étaient exacts, et c'était le cas. Il y avait au moins une créature qui avait certainement sû tirer son épingle du jeu, depuis le jour du massacre... C'est pourquoi l'Ombre partit en direction des logements Arnaith... Oh ils connaissait bien le chemin... Après tout n'était-il pas venu ici plusieur pour pas mal d'affaires à "traiter"... L'Ombre s'amusait presque d'y resonger tout en courant à l'abri des regard comme il faisait si bien... Il arriva vite dans ce quartier dont le manque de naturel le dégoutait temps...
Cependant il y avaitun problème qui pouvait poser pas mal de difficultés pour sa mission présente : L'assassin ne savait pas où vivait la personne qu'il cherchait... Cependant, dans un esprit prêt à toutes les extrémités, la solution des problèmes se trouvent très facilement... D'ailleur un des préceptes philosophiques de l'Ombre n'est-il pas : "On a la paix quand tous les ennemis sont morts."... C'est donc tout naturelement que deux meurtres plus tard, dont un par égorgement et l'autre par fracture de la nuque (entre autre) que l'Ombre apprit où se trouvait la maison de la personne qu'il cherchait de la bouche d'une jeune fille, que l'Ombre avait malheureusement surprise dans une ruelle avec son petit copain à se faire des mamours à l'abri du regard de leurs parents respectifs. Ce fut facile de faire parler la fille trop effrayée pour fuir, reboutonné sa chemise ou même verser une larme après avoir vu son copain subir la fracture de tout les os de son corps un à un... Elle commenca seulement à crier quand l'Ombre s'amusa avec elle pendant deux petites heures pour la faire parler. Quand l'Ombre eût suffisament "exploité" la jeune fille et qu'il ait obtenu toutes les informations qu'il voulait, il la saisit par la tête, la souleva du sol et s'en servit pour peindre sur le mur le symbole de la Thianra, marque-signature sur les lieux des meurtres perpétués par l'Ombre... Que la police et les Arnaiths cherchent la significations de ce signe :

L'Ombre était toujours là et leur en ferait baver... Mais vraiment...

L'Assassin ayant, en plus d'avoir collecté toutes les informations qui lui serait utiles, assouvit ses instincts pervers avec une fille d'à peine 17 ans qui avait finit en bouillie de cadavre avec son copain.

*Assemblés dans la mort... Héhéhéhé..."

Il se dirigea vers les lieux indiqués...

[...]

L'Ombre se glissa dans la maison avec une facilité déconcertante, mais il avait maintenant l'habitude... Toutes ces maisons étaient contruites sur le même modèle... L'Ombre se dirigea vers ce qu'il savait le point faibles de ces habitations. Une fois arrivé, il inspira doucement et commenca l'éxécution de son plan...

[...]

Alors qu'Angelo Borgia vaquait à ses occupations devant sa glace, il se fit un petit vent frais. Puis soudain un autre vent dans le sens contraire ! PAF ! Le Noir...

Le Courant venait d'être coupé. Mais le temps que cette information se fasse dans le cerveau du propriétaire de lieux, c'était déjà trop tard... Trois lames.. Non ! Des Griffes ! Trois griffes de créatures étaient sur sa gorge... Une voix tranchante et sombre déchira le silence soudain raisonnant dans la pièce comme si elle était émise de partout : La Voix spectrale de l'Ombre...

- "Ce n'est pas tant ton côté duplicite qui m'énerve... Ni même la honte de partager le même croisement qu'un être de déshonneur... C'est simplement le fait de ne pas te tuer encore... Tu peux m'être utile... Mais tu ne m'est pas le moins du monde indispensable... Alors ne cris pas... Angelo... Le cri ne franchirait jamais tes lêvres et ce serait dommage de tenter une chose stupide : Car les ténèbres sont le domaine de l'Ombre et il n'est pas né celui ou celle qui l'y battra..."

L'Ombre appuya un peu plus ses rasoirs naturels contre la gorge d'Angelo l'écorchant légèrement.

- "Ecoutes moi... Je suis là non pas pour te tuer... Je ne parlerais pas sinon... Je reprends les rênes de la Thianra... Et g^race à tes relations avec les humains, TU vas me procurer la liste des créatures libres et de toutes celles qui sont mortes, je veux également la liste des créatures capturée à la chute de la Thianra et leurs maîtres actuels...
Tu te demandes actuelement pour quelles raisons tu m'obéirais, n'est-ce pas ? Eh bien parceque je connais des méthodes bien plus lentes et plus douleureuses qu'un simple égorgement, et que tu ne peux pas te cacher de moi..."

L'Assassin relâcha un peu sa prise mais pas trop, histoire que son 'interlocuteur se détende un peu tout en restant prisonier...

Quand on est dans une maison qui n'est en aucun cas éclairée, que l'on se trouve dans la seule pièce illuminée par électricité, et que les plombs sautent, il y a de quoi se croire maudit. C'est la première réaction d'Angelo. Il est nyctalope, bien évidemment, mais la mise au point met quand même un petit moment à se faire. Il étrécit ses yeux dorés, qui renvoie comme deux miroirs la faible clarté émise par les lampadaires. Malheureusement, ses instincts se sont largement émoussés au contact des hommes, si faciles à berner et à impressionner. Il ne sent donc pas le souffle qui se faufile dans son dos, et n'exécutera aucun bond de côté qui aurait pu le sauver - pas de regrets, cette liberté prolongée n'aurait sans doute duré qu'un petit moment. Il a une exclamation de surprise quand il sent un bras lui aggriper la taille avec peu de douceur, et se raidit sensiblement en sentant des griffes froides et surtout acérées posées en travers de sa gorge. Mais qu'est-ce que ?... sera la seule pensée un brin cohérente qui lui traverse l'esprit. A noter : malgré la soudaineté de l'attaque, il n'a pas sorti ses griffes - pourtant présentes, et elles sont de belle taille -, ni retroussé ses lèvres sur ses crocs. Il est bien trop humanisé pour faire décemment face à des adversaires de son espèce et surtout pas un opposant de cette force-là. Si lui répugne à se battre et à sortir ses armes animales, il a très bien compris, a très bien senti que celui qui le maintient sous la menace de ses griffes peut être capable d'une violence extrême. Il ferme à demi les yeux, un frisson d'appréhension remontant le long de sa colonne vertébrale lentement. Cette manifestation de frayeur - de soumission, pourrait-on dire, mais une soumission toute relative encore - ne peut échapper à l'Ombre, car il a le dos collé contre lui. Il a un nouveau sursaut à l'audition soudaine de cette voix si... bizarre. Aucun autre adjectif ne vient à son esprit affolé.

L'Ombre a écrit:

- "Ce n'est pas tant ton côté duplicite qui m'énerve... Ni même la honte de partager le même croisement qu'un être de déshonneur... C'est simplement le fait de ne pas te tuer encore... Tu peux m'être utile... Mais tu ne m'est pas le moins du monde indispensable... Alors ne cris pas... Angelo... Le cri ne franchirait jamais tes lêvres et ce serait dommage de tenter une chose stupide : Car les ténèbres sont le domaine de l'Ombre et il n'est pas né celui ou celle qui l'y battra..."

Il se hérisse légèrement à l'énoncé de l'expression dédaigneuse "être de déshonneur", mais enregistre quand même l'information contenue dans la phrase prononcée. La créature qui a les griffes posées sur son cou est issu du même croisement que lui : panthère noire. Manifestement, l'autre a hérité d'une taille bien supérieure à la sienne, et d'une musculature plus encline à être développée... Ainsi qu'une discrétion dans les déplacements que lui-même a quelque peu perdu aux contacts humains. Il a un nouveau frisson à la menace explicite, et décide donc sagement de ne pas crier. Ce serait trop bête de mourir ainsi à dix-huit alors que... Alors que quoi ? Oh, les considérations du genre "ma vie est vide" ou "personne ne tient à moi" viendront plus tard, voire jamais. Pour le moment, seul s'exprime l'instinct de conservation, l'envie de vivre. Il ne veut pas mourir sous les griffes d'une créature - fusse-t-elle panthère noire -, et se demande très sérieusement si le fait de parler peut lui occasionner de graves et irrémédiables changements physiques au niveau de la gorge. Par prudence, il décide de se taire jusqu'à ce que l'autre lui pose une question explicite. Il se raidit un peu plus quand la pression exercé par les lames tranchantes sur sa gorge se fait plus forte, reculant légèrement la tête. Même si son seuil de douleur est légèrement abaissé par rapport à celui des humains, il n'aime pas souffrir, et fait tout pour l'éviter. Même dans son actuelle position.

L'Ombre a écrit:

- "Ecoutes moi... Je suis là non pas pour te tuer... Je ne parlerais pas sinon... Je reprends les rênes de la Thianra... Et grâce à tes relations avec les humains, TU vas me procurer la liste des créatures libres et de toutes celles qui sont mortes, je veux également la liste des créatures capturée à la chute de la Thianra et leurs maîtres actuels...
Tu te demandes actuelement pour quelles raisons tu m'obéirais, n'est-ce pas ? Eh bien parceque je connais des méthodes bien plus lentes et plus douleureuses qu'un simple égorgement, et que tu ne peux pas te cacher de moi..."

Un bref instant, le jeune homme muté se demande comment cette créature a pu le retrouver lui, et pas les autres membres de l'ancienne Thianra. Il délaisse vite cette interrogation, écoutant avec attention ce qu'il est censé faire. Bizarrement, l'idée de ne pas obéir à la voix sépulcrale ne lui avait même pas effleuré l'esprit. Son instinct animal lui dit clairement que l'homme qui le maintient prisonnier entre son corps et ses griffes n'est pas le genre de personnes qui acceptent les compromis. Ses pensées reviennent aux exigences de la créature-panthère. S'il croit que sa position parmi les humains est haute, il se fourre la griffe dans le globe oculaire, et ce, profondément ! Et voilà qu'Angelo se demande comment il va bien pouvoir faire pour réunir les informations demandées. Prises de risques et magouilles en perspective... Et d'ailleurs, il exprime ses doutes à voix haute, fronçant du nez avec un air perplexe - que l'Ombre ne pourra pas apercevoir d'ailleurs.

"Je ne suis pas haut placé dans la hiérarchie humaine. Réussir à récolter ces informations ne se fera certainement pas en un claquement de doigts."

Ah quand même, il répond, et se défend un minimum, avec une certaine mauvaise humeur. Mais il ne retient pas un soupir de soulagement quand il sent les griffes affûtées s'éloigner de quelques nanomillimètres de sa gorge fine. De tout le monologue de l'Ombre, l'agent double n'a pas bougé, crispé et tendu.

L'Ombre se laissa aller un petit rire qui n'était pas forcement sadique, chose à la fois curieuse et rare chez le tueur froid et méthodique de la Thianra... Sa voix morte résonna à nouveau dans la pièce, moins froide et plus moqueuse cette fois-ci...

- " Ne me prends pas pour une bille, Angelo... Je sais et tu sais que je sais que tes relations sont suffisantes pour savoir de quelles créatures les Arnaiths sont surs et des quelles ils ne sont pas... Et si tu apprends quelles créatures sont considérées comme ennemis, alors j'aurais déjà une bonne base de travail..."

L'Ombre cessa de rire et rafermit sa prise sur le coup d'Angelo.

- "Tu te demandes surement pourquoi l'assassin de la Thianra, se met à te raconter tout celà... Je vais même te faire la grâce de me le dire..."

L'assassin murmura alors derrière l'oreille :

- "Premièrement, pour la mémoire de tous je suis mort... Ce ne sera plus pour longtemps mais je profite de mon statut d'officiellemnt décédé pour te dire que personne ne te croirais si tu avouais que tu oeuvrais pour ma main... Secondairement, je compte sur la notion de "nationnalisme" que toute créature de la Thianra possède car si tu peux te faire passer pour un humain, il y aura toujours le risque qu'il te découvre alors que tu seras toujour chez toi parmis ton peuple si tu ne le trahis pas... Troisièmement, moi... Je ne tolérai qu'un pas vers la trahison, le second te sera fatal... Et pas comme j'ai l'habitude de tuer... Non tu auras droit à un traitement spécial... Pas pire que celui que je réserve à la chef des Arnaiths si jamais j'en ai l'occasion, mais qui te fera désirer la mort, je peux te l'assurer, à un point tel que je serais étonné que même la chair mise à vif tu ne tentes pas de tuer toi même... En cherchant à t'empaller sur je ne sais quel obstacle, qui bien sûr sera inexistant dans la salle, puisque je ne fais usage que de mes griffes et de mes poings... Oui, si tu me trahis tu risque de t'en mordre les doigts au sens propre du terme..."

L'Ombre sourit bien que cela ne se vit pas et ajouta d'une voix presque chantante qui étant spectrale muait sa voix en latanie étrange :

- "Contemple ma bonté, moi qui te laissera prouver ta bravoure à ton véritable clan avant ta mort..."

La créature lâcha ensuite un petit miaulement histoire d'énerver une peu son interlocuteur qui semblait peu enclin à discuter. Mais c'était peut-être mieux dans son intérêt après tout... Qui sait peut-être qu'un mauvais geste de l'Ombre et ce serait la fin... Mais c'était sans compter sur l'assassin, qui possédait un contrôlle suffisant de soi pour éviter ce genre de gestes malencontreux...

- "Je sens d'ici l'odeur du travail qui t'attends, je ferais mieux de te laisser... Dors bien, car tu vas en voir besoin...Héhéhéhéhé... N'ai crainte tu ne risque pas de me revoir avant un peu de temps... Ne cherche pas à me contacter tu gaspillerait ton temps pour rien..."

L'Ombre retira ses griffes de la gorge de l'agent-double et quand la lumière se ralluma dans la pièce, il n'y avait plus aucune trace de l'Ombre dans aucune pièce de la maison, car celui-ci était déjà loin...