Une douce mélodie par cette sombre nuit.

Millie errait depuis quelque temps , elle n’avait plus nulpart ou dormait mis à part dehors et ou elle trouverait. Cette fois si elle s’était endormit sur se toit , qu’elle triste endroit pour dormir se dit-elle quand elle finit par se réveiller. Se redressant doucement les pieds dans le vide elle fixa les rues sombres , la nuit il n’y avait pas beaucoup de gens qui se balladait dans les rues. Elle tatona à coté d’elle jusqu’à mettre la main sur l’étuit de son violon.Puis le prenant contre elle, elle sourit doucement , innocement.

* C’est la seule chose qui me reste qui me fait penser à vous…c’est pour cela que je le perdrai jamais *

Elle sourit innocement à ses penser puis ouvrant doucement l’étuit elle s’empara d’un joli violon.Doucement elle se placa correctement et fermant les yeux elle se mit à jouer une douce mélodie.

* Sur les toit , personne ne croira que cette mélodie vient de làet nous serons alors tranquille , pour se soir en tout cas .. *

Puis innocement la féline continua d’ensorceler le silence de la nuit de par sa douce mélodie.

( à qui veut.. on dirait que personne veut >< )

La nuit tombait et recouvrait la ville de son manteau de ténèbre. La jaune féline ne s'en préoccupa pas d'avantage et continua de traquer sa proie. Personne ne s'en sortirait tant qu'elle aurait à décider de la destinée de ses futures victimes. Ils avaient voulu faire d'elle la pire tueuse que les temps n'aient jamais connu? Soit, mais ils en paieraient le prix. Son prix. Elle et elle seule décidait de qui vivrait ou mourait.

Le feu dans ses yeux, ses griffes prêtes à frapper, elle se déplaçait telle une panthère glissant sur l'herbe tendre d'un jardin anglais. Elle le sentait, il était là, tout près...

CHLAC!!

Il n'eut pas le temps de crier, il était trop tard. La faucheuse venait de l'emporter avec elle. Laïna sourit doucement avec férocité. Elle était satisfaite, cela s'était avéré plus simple que prévu. Couverte du sang de sa victime, elle laissa la dépouille trainée au milieu du corridor et s'en alla par les ruelles sombres de la nuit. Elle n'avait pas sommeil et ne voulait pas retrouver son grenier maintenant. Pourtant, elle en prit la direction sans vraiment savoir où elle se dirigeait.

Elle empruntait une petite rue déserte, toujours marchant de son allure traqueuse, lorsqu'elle entendit un son particulièrement doux. D'où venait il? lle voulait savoir. Au fond d'elle, elle sentait comme une attirance irrésistible vers cette mélodie, avec une très forte envie de chanter. Elle était maître dans l'art du chant autrefois, avant que la vie ne lui en fasse perdre le goût. Elle fit alors un bon spectaculaire qui l'emmena en haut du toit où elle atterit avec une souplesse déconcertante, sans un seul petit bruit. Elle se trouva derrière une jeune fille, qui visiblement jouait d'un instrument, assise sur le bord du toit. Laïna s'approcha doucement et se tâta un instant entre la possibilité de la tuer et celle de se renseigner sur sa présence en un tel lieu. Elle était visiblement jeune et sa mélodie triste. Son quotat expiré, Laïna opta pour la seconde solution. Il était tard et elle n'avait pas envie de se trouver encore plus tâchée que ce qu'elle ne l'était déjà. Elle alla s'asseoir à côté de la jeune fille et la regarda de ses yeux terribles.

"Quelle triste mélodie! En général, on m'a toujours dit que c'était les loup qui se plaignaient lors de la pleine lune!"

Millie qui n'avait sentit qu'un courant d'air lorsque la féline avait gracieusement attérit derrière elle.C'est pour cela qu'elle n'y avait pas vraiment porté attention sur le coup mais sentant des pas approcher ses oreilles frémissèrent avant de se tourner lentement vers ou venait le bruit.La tête déja tournée en la direction ou la féline s'assit elle n'eue qu'à ouvrir les yeux pour constater qu'on l'avait "trouvée".Elle sourit doucement lorsque celle-ci parla des loups.

" Hélas je ne suis pas une louve , autant que tu n'es pas humaine "

Elle sourit doucement alors que l'air et la proximitée avec la féline avait sur le coup trahit pour l'odorat de millie sa nature.Ceci l'avait un peu rassurée au fond d'elle.

" Elle est triste? pourtant je ne faisais que refletée l'ambiance qui règne ici.Mais il faut avouer que c'est pas vraiment joyeux ici..." dit-elle doucement.

La voix de la jeune fille au violon était particulièrement douce face à toutes celles qu'elle avait l'habitude d'entendre. Mais Laïna ne put s'empêcher d'étouffer un rire synique lorsque la créature à ses côtés constata qu'elle n'avait rien d'humain. Encore heureux! Ses oreilles dressées vers la violoniste, elle l'observait avec un regard qui ne pouvait refletter aucune humanité. Pour compléter le tout, elle sortit ses longues griffes et les rétracta, histoire de confirmer sa raison à la jeune fille. Laïna ne voulait rien avoir à être comparer à une humaine, jamais. Jamais elle ne voudrait leur ressembler et ils périraient tous pour la supprématie des crétaures.

La léopard frémissait et tremblait de songer à ces êtres sans scrupules, vides de tout, qui en avait autrefois profité. Mais c'était finit, finit!

"Encore bien heureux que je n'ai rien d'humain. Tu aurais péri à me dire l'inverse."

Elle faisait peur? Tant mieux. C'était son rôle, sa raison de vivre dorénavant. Ils n'avaient pas voulu d'elle en tant que créature pacifique et douce? Soit, ils récolteraient la plus violente tempête jamais vue. La jeune fille à ses côtés semblait être quant à elle, ce que Laïna fut autrefois, douce, gentille, pleine de bonté même si cela ne voulait pas dire se faire marcher sur les pieds. Elle ne put s'empêcher de sourire tristement en souvenir du bon vieux temps. La violoniste était un peu plus jeune qu'elle, cela se voyait. De un ou deux ans, pas plus, mais tout de même.

Elle trouvait l'endroit triste? Comme ce sentiment était étrange. Paris n'avait rien de déprimant. Plein d'humains à éventrer, de boutiques où mettre de l'ambiance, de petits enfants à terroriser. Non vraiment, Laïna ne trouvait aucune lugubrité à cette ville. Au contraire, c'était vivant. Enfin, de son point de vue. Il faut préciser qu'en comparaison avec le réseau de combat, il y avait de quoi s'amuser. Déjà, elle était libre. Ensuite, finit les cages sales et humides en cohabitation avec les rats, les combats avec les autres créatures, le feu à la paille pour que le spectacle soit plus prenant dans cette grande cage où s'entretuait déjà deux êtres qui au fond ne se détestaient pas. Elle soupira profondément, se décontractant un peu et fit baloter ses pieds dans le vide. Elle voulait oublier, tout depuis le début.

"Tu trouve que cette ville n'est pas jouyeuse? Tu es bien difficile. Moi je la trouve très... à mourir de rire. Mais bon, chacune ses goûts n'est ce pas? Peut être as tu cette impression car tu n'as jamais connu d'endroit triste et répugnant. Il y a des lieu pire que celui là, crois mon expérience. Ici au moins, il y a de quoi se loger correctement et vivre libre en gardant l'estomac plein. Sans parler de toutes les taquineries bonnes à faire aux humains. Tu devrais essayer, c'est vraiment distrayant."

Laïna n'avait pas mentionner les crimes car ils étaient réservé aux créatures qui savaient vraiment se battres et qui avaient une bonne raison de le faire. Mais elle se souvenait que même lorsqu'elle était encore innocente, Paris lui était toujours apparu comme la ville la plus amusante du monde. Il y avait longtemps, au temps de l'organisation secrète, avant son enlèvement, avant la mort de ses amis. Si elle avait eut encore des larmes à verser, elle l'aurait fait. Au lieu de ça, elle sortit ses griffes tranchantes et les netoya en les lèchant langoureusement tel que le ferait un véritable félin.

Elle sourit doucement écoutant la violoniste.

" Je la trouves triste oui , pour toi cet endroit est joyeux car tu as connu pire je n'ai surement pas vécue autant que toi mais pour moi se lieux représente la ville ou mes parents sont mort. "

Elle sourit doucement pis regardant la féline nettoyer ses griffes.

" Chacun encaisse sa douleur comme il le peut , certains souffre plus comme d'autre souffre moins mais ils paraissent souffrir autant que ceux qui souffrent bien plus qu'eux mais en silence. "

Elle réfléchit quelque instant puis dit doucement.

" Une féline souffrira en silence parfois par égo parfois parce que c'est simplement dans sa nature tandis qu'un être humaine est une personne qui se plaint même si elle a tout ce qu'elle désire elle continuera à se plaindre jusqu'à la fin de sa vie "

Elle sourit et doucement se laissa glisser coucher sur le dos fixant la lune.

" Peut être que les loups pleurent à la lune mais toute les âme de se monde le font car c'est la seule à nous écouter sans jamais nous faire de sermons ou nous dire que nous nous plaignons pour rien.Tu ne trouves pas? "

La féline regarda la violoniste, riant silencieusement à ses paroles. Aucun doute, elle était du genre à se poser des questions avant d'agir. La lune? Laïna s'en moquait éperdument, cependant, elle pouvait se souvenir que dans le passé, elle était sa plus fidèle confidente. Combien de fois avait elle chanté devant elle pour essayer d'apaiser les coeurs de l'époque? Le bon vieux temps.

"Je pense que cela dépend plus du caractère de la personne que vraiment de son éspèce. J'ai connu une humaine qui ne se plaignait pas et qui pourtant souffrait beaucoup. Tu sais, il y a des personnes qui sont capables de veiller sur les autres et porter leur douleur, la lune n'est qu'un astre immobile qui écoute mais n'appaise pas."

Elle s'était appaisée dans sa voix et devenait plus douce. Pourquoi? Elle n'aurait su le dire. Elle se souvenait tant de cette époque où elle faisait le tour de la ville, en essayant de suivre vainement les dirigeant de la Thianra. Et les sermonts qui s'en suivaient pour les bêtises qu'elle avait perpétré pendant cette course. Et il avait fallu que tout cela cesse. Le chef de la Thianra prenait tellement soin d'eux, sans parler du sous chef. Ils lui manquaient tant.

"Tu sais, c'est plus quand on est vraiment seul qu'on aime se plaindre à la lune. Elle ne peut pas nous répondre, ni même nous rassurez. Autrefois, j'étais comme toi, perdue et triste. Et puis j'ai été acueilli et quelle joie lorsque les autres venaient près de moi et sans rien dire restaient là sans un mot, seulemnt en montrant que malgré les horreurs du passé, ils étaient là et que je pourrais toujours compter sur eux. Aujourd'hui, c'est aussi du passé mais dans les moments difficiles, le temps me semble plus doux lorsque je revois leur visage. Ne crois tu pas que parfois, faire confiance aux autres et être en groupe peut être plus facile pour surmonter ses peurs et ses douleurs?"

Elle se surprenait elle même dans ses paroles. Elle n'appliquait même pas ses dires et n'en avait pas l'intention. Et pourtant, c'était bien elle qui venait de parler.

Elle l'écouta parler , elle avait autant raison que Millie l'avait. Seulement elles avaient deux opinions divergente en certains point puis l'écoutant parler elle sourit en coin.

" C'est bien être en groupe mais encore faut-il être vraiment sur que se son nos amis et qu'ils nous aiment et non pas nous tolère pour ne pas nous blesser. Si c'est des amis alors c'est bien être en groupe et c'est meilleur quand on se sent mal. Cependant on peut quand même se sentir seule entourer de 10personnes... tout dépend comment ils sont avec toi .. non? "

Puis elle ferma doucement les yeux ses oreilles vibrant aux différent sons.Alors qu'elle fermait les yeux ses oreilles eux semblaient devenir ses yeux. Elle resta silencieuse écoutant la réponse de la féline, elle aimait bien parler et savoir l'opinion des autres pour ainsi se forger une opinion encore plus solide.

Laïna s'amusait d'écouter la jeune fille. On voyait qu'elle ne connaissait pas vraiemnt le versant extrême de la solitude. Mais qui aurait pu lui en vouloir. Laïna avait formé une carapace de fer autour de son coeur mais elle n'était cependant pas injuste avec les siens. Sa priorité était même de les libérer et de les protéger du joug humain. Elle s'arrêta de se lécher ses blessures et fit frémir ses oreilles face au petit vent qui venait de la caresser. Aucunes créatures de ce monde ne méritait de souffrir. Mais les hommes étaient comme ça. Ils faisaient même souffrir leurs propres enfants. Il fallait peu de conscience pour oser ce genre d'attrocité ou alors, l'intelligence était la pire allégorie de cette planète. Elle se redressa et regarda la lune d'un air songeur.

"Ecoute, vu ce que tu as pu vivre je pense que ta vision est justifiée. Cependant, j'ai connu une petite créature, autrefois. Elle était douce, gentille et toujours prête à aider. Elle est née libre et a vu sa mère se faire massacrer par des hommes, lors d'une chasse pour on ne sait quel motif. Elle n'en resta pourtant pas rencunière tant sa naïveté était bonne. Elle croyait en l'homme tout comme en les créatures. Elle partie un jour, laissant son père seul et fut capturée pour sevir d'esclave. Elle avait six ans. Elle eut comme premier maître une vieille femme douce et généreuse qui lui offrit la même éducation ou presque qu'a ses propres enfants. Mais le bonheur ne dure qu'un temps. La vieille est morte, elle fut revendue à un tenancier de prostituées félines. Trop jeune, elle ne fit que faire la plonge, quelques courses bref, ce genre de truc. Le jour où il l'estima prête, elle l'assoma en se rebifant et s'enfuit. Jusque là, rien de bien interessant me diras tu. Sauf que tu as l'exemple de ta solitude au milieu de tous. Pourtant, ce n'est pas la pire. La jeune créature avait la même vision que toi. Elle fut recueilli par un groupe d'autre créatures qui l'épaulèrent et l'intégrèrent. C'est vrai que tous n'étaient pas ses amis mais ils étaient là quand même et l'aidaient à survivre. Et lors d'une battue, elle fut séparée et enlevée des siens. Elle entra dans le réseau mafieu des créatures de combat où elle goutta à toute l'horreur que la vie pouvait réservée. La douce féline rêveuse et solitaire apprit toute l'empleur de la solitude et de l'arrogance humaine."

En contant cette histoire, Laïna sentait une boule énorme au fond d'elle même. Elle respira profondément et reprit.

"Cette petite créature innocente est morte dans l'une des cages qui renfermait un combat terrible. Tout cela pour te dire que même si les autres ne sont pas tes amis, il est important qu'ils soient là. La tolérance est la clée de tout. Regarde, même si nous ne sommes pas amies, on peut s'allier pour s'entraider et en plus de n'être plus seules, avoir une chance de survie. Tu ne m'as pas l'air très performante au combat, même si tu sais à peu près manier tes griffes."

Elle tourna les yeux vers la créature, attendant une quelconque réaction. Elle était prête à la tester au combat s'il le fallait, sans lui régler son compte pour autant. Elle s'attachait à cette jeune fille aux idéaux si pur, si... proche de ce qu'elle avait été autrefois.

Millie écoutait puis tournant son regard vers la féline quand elle lui demanda si elle savait se battre.

" Je connais les bases et je suis rapides , j'ai peut être pas la force d'un taureau mais avec ma flexibilité et ma rapidité je suis aussi bonne qu'un tas de muslces ... "

Puis elle se redressa doucement.

" Seulement moi comparé à un tas de muscle je me bat que par nécessité... pourquoi tu me demandes sa? "

Regardant la féline maintenant assise en petit bonhomme rangeant doucement son violon.

Laïna regarda les rues desertes. La peur de rencontrer la féline traqueuse fasait ses fruits parmi les humains. Même les voyous prétentieux ne s'amusaient pas à jouer les héros. Elle bailla dans un long grognement en s'étirant tant qu'elle le put. La lune était haute dans le ciel et les heures tournaiient à une vitesse folle, lui faisant rappeler le pourquoi de sa venue à Paris. Elle se leva tranquillement, observant la jeune fille ranger son violon dans son étui. Il était temps pour Laïna de rentrer dans son trou, bien au chaud et à l'abri des regards indiscrets.

"En fait, pour rien de spécial. J'ai couru la ville toute la journée, il est temps pour moi de déguerpir. Je vais rejoindre mon grenier. Cependant, il est assez grand pour deux, si tu ne sais pas où aller. C'est sec, confortable et personne ne viendra t'y déranger. C'est toi qui voit. En plus il est situé sur une maison belle et très haute qui surplombe la ville de Paris, la vue y est imprenable. C'est là que je me suis réfugiée il y deux ans quand je suis arrivée."

Elle fit quelques pas avant de se retourner de nouveau.

"Au fait, si tu as besoin, je m'appelle Laïna. Enfin, de mon ancienne appellation. Aujourd'hui, les journaux m'appellent la traqueuse, Sekhmet, et autres nom débile."

Elle sourit doucement quand-t-elle dit que si elle voulait sa porte lui serait ouverte.

" Je verrai , je suis pas encore fatiguée mais sinon je viendrai te voir .. merci "

Puis quand celle-ci lui dit son nom elle sourit doucement.

" Et tu préfère qu'on t'apelle comment ? "

Puis réfléchissant quelque instant sur si elle lui avait dit son nom.

" Moi c'est Millie .. je sais plus si je te l'avais dit " dit-elle innocement.

[Edit de Noah : Millie c'est 7 lignes Pleines. Si tu n'as pas le temps de poster le matin, abstient toi. Ce n'est pas une course de rapidité]

Laïna regarda la jeune fille. L'invitation était lancée, pas besoin d'en faire d'avantage. De toute manière, elle n'était pas du genre à faire des chipotailles. Elle n'était pas une féline sociable et n'avait aucune envie de supplier le jeune fille à genou. C'était sa vie pas celle de la traqueuse.

"Ca m'est égal, personne ne m'appelle plus depuis longtemps!"

Elle lança un dernier coup d'oeil à Millie en haussant la tête pour faire comprendre qu'elle avait enregistré son nom. Puis d'un bon formidable et souple, elle s'élança sur les toits. Elle s'arrêta quelques toits plus loin et regarda la lune jouer à cache cache au loin, avec la Tour Eiffel. La mélodie du violon la possédait toujours et un soupçon de tristesse fit son apparition dans ses yeux de feu. Pourquoi était elle seule alors qu'il fut un temps où toutes les créatures de la ville étaient ensemble. Ses amis lui manquaient terriblement malgré la carapace qu'elle avait mis sur son coeur. Ces fois où elle avait courut les toits pour echapper à l'autorité, la fois où elle avait fait la rencontre du sous chef, ou bien encore sa folie d'aller dans le parc en compagnie de Say et Zek. Et maintenant, seule, à regarder cette ville maudite du haut de ses toits, sans aucunes nouvelles des siens. Il fammait qu'elle les retrouve. Elle s'assit sur les tuiles pour se plonger dans ses pensées. Elle était fatiguée mais n'avait aucune envie de rentrer dans son trou. La nuit était si douce et la lune si claire. Alors pour la première fois depuis des mois, elle entonna un chant de sa voix si douce et mélodique. Elle était la reine dans ce domaine quelques temps auparavant et n'avait rien perdu.

» durant la nuit
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» Sur les toits, la nuit